Il y a de fortes chances que les Verts préparent la prochaine CAN en Afrique du Sud pour au moins trois raisons ... Nous écrivions dans l'une de nos précédentes éditions qu'il y a de fortes chances que les Verts préparent la prochaine CAN en Afrique du Sud pour au moins trois raisons : la proximité de ce pays de l'Angola où aura lieu la Coupe d'Afrique, la possibilité d'organiser des rencontres amicales et, enfin, l'occasion aux joueurs de s'habituer à un pays qu'ils auront l'occasion de revisiter l'été prochain, s'ils arrivent à se qualifier en Coupe du monde. Toutefois, les responsables de la fédération pensent à trois autres options : se préparer sur place en Angola, le faire à Alger ou en France. Chacune de ces trois options a un avantage. Commençons par l'Angola : sur les quatre sites accueillant la CAN, un site se trouve en haute altitude et si l'Algérie tombe dans le groupe qui jouera dans cette partie de l'Angola, elle doit se préparer sur place avant son premier match pour des raisons évidentes d'acclimatation. Dans ce cas, les joueurs seront regroupés au début de l'année pendant deux ou trois jours à Alger avant de s'envoler vers l'Angola vers le 4 janvier pour y rester au moins huit jours avant leur premier match prévu entre les 11 et 13 janvier. La deuxième option, c'est de se préparer sur place à Alger pour pouvoir disputer une ou deux rencontres amicales devant les supporters algériens avant de s'envoler en Angola juste avant le début de la phase finale. Là, il faudra vraiment convaincre Saâdane concernant les conditions de préparation, surtout que le sélectionneur national exige de travailler dans la sérénité. Enfin, il reste la France et l'hôtel le Castellet qui permettra aussi aux Verts de disputer quelques rencontres amicales de préparation et qui assurera sans doute une grande tranquillité aux joueurs avant un rendez-vous aussi important. Mais comme on ne sait pas encore si l'Algérie jouera en haute altitude ou au niveau de la mer, la décision finale sera prise au lendemain du tirage au sort. M. S.
