Scolari : «Les joueurs sont prisonniers et n'ont aucune liberté.» Auteur de 3 buts en autant de rencontres depuis le début de la compétition, l'attaquant brésilien Neymar a décidé de faire saliver les fans blaugrana, lors d'un entretien accordé aux journalistes catalans d'El Mundo Deportivo : «Les fans du Barça n'ont pas encore vu le meilleur Neymar lors de cette Coupe des Confédérations. Je peux encore faire plus. Je suis très heureux d'avoir marqué contre l'Italie et d'atteindre les demi-finales. Ce n'est pas la première fois que je marque de cette façon. Je me suis beaucoup entraîné pour marquer en dehors de la surface» a expliqué le numéro 10 de la Seleçao. Iniesta : «Neymar est un talent pur» Actuellement au Brésil pour y disputer la Coupe des Confédérations avec l'Espagne, tout comme Neymar avec la Seleçao, Andres Iniesta s'est exprimé sur son nouveau coéquipier au Barça : «Neymar est un talent pur avec d'énormes qualités. C'est un grand transfert pour le club. Il est très jeune. Nous allons essayer de tout faire pour qu'il se sente à l'aise le plus rapidement possible. Vous savez, je ne vois rien qui puisse venir contrarier la relation entre Messi et Neymar», a déclaré Andres Iniesta dans les colonnes de Sport. David Luiz apte face à l'Uruguay Contraint de céder sa place face à l'Italie «4-2», au défenseur bavarois Danté, David Luiz devrait bien tenir sa place mercredi, pour la demi-finale de la Coupe des confédérations contre l'Uruguay à Belo Horizonte. L'ancien joueur du Benfica, actuellement à Chelsea, mais fortement courtisé par le PSG, aurait recu le feu vert du staff médical, pour tenir sa place en compagnie de Thiago Silva, dans l'axe de la défense brésilienne, face aux coéquipiers de Luis Suarez. Scolari : «Les joueurs sont prisonniers et n'ont aucune liberté» Auteur d'un excellent départ durant la phase des poules lors de cette Coupe des Confédérations, le Brésil, dirigé par Luis Felipe Scolari, n'a pas le droit à l'erreur, en étant contraint de gagner le trophée final pour rassurer les millions de supporteurs brésiliens. A un an du coup d'envoi de la Coupe du Monde, le sélectionneur Scolari, affirme, selon Lequipe.fr, que son groupe devra gérer les grandes attentes : «C'est plus dur à contrôler. Il y a 500 agents (de police), 500 personnes qui s'occupent des pubs et du marketing. Etre dans cette équipe, au Brésil, est terrible. Nous ne pouvons pas sortir, les joueurs sont prisonniers et n'ont aucune liberté.» l'ancien manager de Chelsea, tente néanmoins de préserver le même climat et ambiance, qui a permis à la Selecao de remporter le sacre mondial en 2002. «C'est différent car les joueurs sont plus jeunes. Mais ils se rapprochent, se lient d'amitié et savent que l'unité du groupe fera notre force.»