Dans un esprit pour une meilleure gestion économique et de recherche de son efficacité, les pouvoirs publics mènent un "exercice" des plus comptables dont l'objectif reste de tendre vers plus d'harmonisation. Cet engagement concerne en premier lieu, la mobilisation des ressources financières, l'ouverture sans exclusive à l'investissement privé national et aux IDE, la mise en place de nombreux mécanismes novateurs en vue d'une grande efficacité de cette ouverture. On dit à ce sujet, que les bases essentiellement d'un développement dynamique du marché national des biens de production, d'investissement et de consommation sont définitivement fixées comme des priorités absolues. D'une manière générale les avancées constatées et endossées par l'action du gouvernement sont liées à l'atteinte des buts et objectifs et qui sont inhérents à la mise en œuvre effective de cette efficacité de développement. La mise en synergie de ce modèle de gestion, est une préoccupation gérée à travers une cohérence qui se veut un point de départ fondamental en ce qui concerne les grands axes et la définition d'un processus de développement économique et social décentralisé. La planification est en train de se succéder dans le but d'amorcer et d'approfondir les résultats et les prises en charges des nouvelles préoccupations des populations. A cette étape précise, le programme quinquennal 2010/14, a retenu tous les outils enserrant l'ensemble de l'économie pour garantir et la cohérence entre les régions, et la "diffusion" des effets de ce développement aux populations. La répartition du progrès économique illustre la démarche suivie, et qui tend à préciser et à enrichir progressivement le potentiel de chaque wilaya tant dans son contenu que dans ses objectifs économiques et sociaux et dans sa méthodologie, organisation dans le cadre de la décentralisation du développement durable. Face à ces choix, le chef de l'Etat a, au cours des réunions restreintes qu'il a consacrées à chaque département ministériel, retenu un certain nombre de conclusions sous forme de recommandations, d'orientations et d'instructions en matière d'objectifs et de politique de développement. Elles concernent plus particulièrement la nécessité d'orienter et de concentrer l'intervention des pouvoirs publics vers la construction de l'économie au service de la nation. Avec cette stratégie affirmée comme condition déterminante, la volonté politique accorde une priorité absolue aux problèmes de développement et d'amélioration des conditions de vie des populations, surtout que le programme quinquennal mis en œuvre éclaire cette volonté par une vision et des objectifs pour la résolution des problèmes de fond de la société algérienne. L'objectif final visé par le Président est d'asseoir le développement du pays sur des secteurs modernes valorisant les ressources naturelles et capables de couvrir les besoins principaux du marché national, atteindre une forte augmentation des emplois nouveaux, une forte dynamique dans la distribution du revenu national engendrant considérablement les moyens modifiant le niveau général de la population. L'étape actuelle exige donc de tous de se préoccuper de la "riposte" à la crise économique mondiale, la suppression de l'obstacle moral entre l'administré et l'administration afin que toute la collectivité nationale s'ouvre sur l'avenir. Peut-être qu'ainsi il sera possible de consolider tous les "terrains" d'entente pour une réelle et définitive relance de la modernisation reposant sur des structures justes en parallèle avec le progrès capable d'offrir une démarche rationnelle sérieuse en ce qui concerne la transformation de la société algérienne. En définitive, la sauvegarde et la consolidation des acquis ne peuvent que renforcer le sentiment nationaliste des Algériens et, partant, l'évolution du pays en rapport avec les grandes lignes définies par le programme présidentiel.