Les sirènes répétées de micro-partis sur la situation interne du pays, plus exactement avec la convalescence du président Abdelaziz Bouteflika, faisant en quelque sorte un grand vacarme politicien, sont en réalité accueillies avec l'indifférence la plus totale par l'opinion publique. La quasi-totalité des Algériens pensent que ces manœuvres sont un tort flagrant à la légitimité populaire du président de la République, Monsieur Abdelaziz Bouteflika, et une insulte contre le peuple qui l'avait choisi, mais, aussi, une insulte proférée contre les Institutions de l'Etat et à son gouvernement. Ces nains politiques, qui n'ont aucune assise organique proprement dite, ni ancrage politique au sein de la société, après avoir échoué dans leur appel sans raison pour l'application de l'article 88 de la Constitution, ont trouvé un autre os à se mettre sous la dent : ils sont contre les visites de travail et d'inspection effectuées par le Premier ministre, M. Abdelmalek Sellal dans chaque wilaya. Ils sont irrités par les décisions économiques et sociales dégagées par M. Sellal, sur instruction du président Abdelaziz Bouteflika au profit des populations de chaque région. Ces micro-partis, pour ne pas dire des cellules composées de 10 à 15 personnes, non connus du reste par le grand public, s'acharnent à se faire une place en usant par excès de déclarations aux médias, juste le temps de verser leur venin sur la République. En contrepartie, ils feignent d'oublier que c'est toujours la légitimité du programme politique du président Bouteflika qui est de mise, et non pas leur amalgame pro-ingérence étrangère ni leur sordide propagande. En effet, ils n'ont, entre autres, que l'appellation, aucun crédit sur le plan politique, mais le plus ridicule aucun programme. Ce genre d'individus qu'on retrouve, également, grâce à des infiltrations assez bien pratiquées dans les grands partis à l'image du FLN et du RND, et ce sont eux qui sont la cause des remous graves que traversent ces deux formations. Une menace d'ailleurs pour l'ordre social et démocratique de l'ensemble de la société algérienne. Il faut que ces individus, qui ont pris d'eux-mêmes le chemin contraire de la cohésion nationale et qui, malheureusement font une politique de folklore, sachent que le temps des rêves, des illusions et des pressions médiatiques intolérables sur le citoyen sont bien révolus et qu'ils n'ont aucun pouvoir ni autre influence de débattre de la situation ou des problèmes du pays. Il y a dans ce domaine plus d'engagés qu'eux. Il faut que cette minorité, qui a pris la lourde responsabilité de créer de la confusion et tendent leurs mains à l'aventure, sachent aussi qu'un sursaut national d'une ampleur sans précédent et une mobilisation ont surpris les ennemis extérieurs de l'Algérie. Le peuple dans son écrasante majorité n'a jamais paru aussi conscient, aussi confiant en le président Bouteflika et les institutions de l'Etat qu'en cette période. Un message adressé à tous c'est de savoir que le peuple ne saurait en aucun cas se plier au moindre diktat venant de l'intérieur ou de l'extérieur du pays. Donc tout ce qui a pour but de perturber le climat serein dans lequel baigne l'Algérie depuis 1999, est une adversité flagrante à combattre collectivement et qu'il ne faut pas laisser le terrain libre aux ennemis ni permettre à ces manœuvriers de la politique d'arguer du fait de la convalescence du chef de l'Etat, ni des visites fructueuses du Premier ministre à l'intérieur du pays profond. Ces questions n'ont pas lieu d'être. Tout le monde a connaissance que c'est toujours Abdelaziz Bouteflika, en sa qualité de Premier magistrat, qui dirige le pays et ses institutions, qu'il suit au jour le jour l'évolution du développement et le quotidien des populations, mais aussi le cheminement dangereux des situations régionales et internationales.