Le candidat Abdelaziz Bouteflika sera réélu aujourd'hui, et on n'a pas dépensé l'argent public pour sa campagne, on a fait appel au patronat et les partis politiques pour son financement a déclare Sellal dans une conférence de presse, en ajoutant que de grosses cylindrés nationales ont financé cette campagne Abdelmalek Sellal, directeur de la campagne électorale du candidat indépendant Abdelaziz Bouteflika, qui a animé avant hier, une conférence de presse au centre international de presse (CIP) à déclare que Le candidat Abdelaziz Bouteflika sera réélu aujourd'hui, en raison des résultats du bilan très satisfaisant de sa campagne vue la contribution des trois importants partis de l'alliance présidentielle qui ont mis tous leurs moyens à la disposition du président candidat. Sellal à précise aussi que « Le candidat Abdelaziz Bouteflika n'a pas dépensé l'argent public pour sa campagne, on a fait appel au patronat et les partis politiques pour son financement. Même la contribution financière de l'Etat pour chaque candidat sera justifiée au niveau du Conseil constitutionnel par des comptes », en ajoutant que de grosses cylindrés nationales ont financé cette campagne et on a pas eu recours à des opérateurs économiques étrangers.Dans ce sens, il a précise qu'au départ 5096 permanences ont été ouvertes pour la campagne et grâce à la participation des autres organisations, on s'est retrouvé avec 12 659 bureaux de permanences éparpillés à travers tout le territoire, ce qui fait 3 fois de plus que la campagne de la présidentielle de 2004. Quelques 2878 meetings et plus de 27 943 rencontres de proximité ont été organisés dans toutes les villes et villages du pays, dont 33 wilayas ont été visité par le candidat Abdelaziz Bouteflika .Le conférencier qui a fait savoir que son candidat a fait plus de 4 millions 600 mille signataires lors de sa candidature à l'élection présidentielle. C'est pourquoi aujourd'hui, d'après Sellal, on attend un taux de participation autour de 60 à 80 %. Pour Sellal, le candidat Bouteflika sollicite une forte participation aujourd'hui pour donner une leçon aux « ennemis » de l'intérieur et de l'extérieur que le choix du président se fait par son peuple et que l'Algérie ne reçoit pas des leçons de l'extérieur.