La Russie a réussi à surmonter la période de récession et à renouer avec la croissance économique, a fait remarquer Vladimir Poutine. Depuis le début de l'année, le PIB russe va croissant, a déclaré récemment Vladimir Poutine lors d'une rencontre avec des représentants des milieux d'affaires russes. "La période de récession est terminée, c'est évident. Nous constatons que de janvier à novembre, le PIB s'est accru de 1,4%, selon les estimations du ministère du Développement économique", a-t-il indiqué. "Et bien que le quatrième trimestre ait été marqué par un certain ralentissement de la croissance, la tendance est évidente, on progresse", a-t-il ajouté. La croissance économique s'explique par le fait que la Russie a surmonté deux chocs, à savoir la baisse du prix du pétrole et les sanctions extérieures, tandis que les investissements étrangers directs dans l'économie russe ont doublé en 2017 pour atteindre 23 milliards de dollars, avait précisé le Président russe lors de sa grande conférence de presse, le 14 décembre à Moscou.
"La Russie équilibre ses dépenses militaires par son économie" Les dépenses militaires de la Russie n'affecteront pas ses programmes sociaux et ne ruineront pas son économie, a souligné jeudi le Président Vladimir Poutine lors de sa grande conférence de presse à Moscou. Dans un entretien accordé à Sputnik, un général turc à la retraite a particulièrement retenu ce passage. La position pondérée de la Russie dans cette question montre que le pays veille à l'équilibre entre le rapport de forces dans le monde, d'une part, et ses propres ressources économiques, de l'autre, a indiqué à Sputnik Armagan Kuloglu, général-major des Forces armées turques à la retraite. "Par cette déclaration, le dirigeant russe a manifesté une position réfléchie et modérée de la Russie à la différence de la stratégie agressive de l'Amérique qui envoie en Europe ses militaires et ses armes. Les propos tenus par M.Poutine montrent que c'est justement la Russie, et non les Etats-Unis, qui est un pays intervenant pour le maintien de la paix et de la stabilité dans le monde", a souligné l'interlocuteur de l'agence. Et d'ajouter que la déclaration de M.Poutine concernant les dépenses militaires devrait être considérée dans le contexte de sa récente décision de retirer progressivement le contingent militaire russe de Syrie suite à la victoire sur Daech dans ce pays. "Le retrait de Syrie d'une partie des militaires russes est par ailleurs une démarche susceptible d'apporter des avantages économiques à la Russie. […] La Russie équilibre ses dépenses militaires par son économie", a résumé M.Kuloglu. Evoquant les dépenses militaires russes, Vladimir Poutine a souligné qu'elles étaient équilibrées, afin d'assurer la sécurité du pays et de ne pas porter préjudice à l'économie du pays. "Nos dépenses militaires sont chiffrées à près de 46 milliards de dollars, alors que les Etats-Unis prévoient de dépenser pour les mêmes fins en 2018 près de 700 milliards de dollars", a notamment rappelé le chef de l'Etat, précisant que les dépenses militaires des Etats-Unis étaient 15 fois supérieures à celles de la Russie.
"L'investissement direct étranger a doublé en 2017" L'économie russe a surmonté la baisse du prix de pétrole et les sanctions extérieures, alors que l'investissement étranger direct dans l'économie russe a doublé en 2017, a affirmé Vladimir Poutine. L'investissement étranger direct dans l'économie russe a doublé en 2017, pour atteindre 23 milliards de dollars, a déclaré le Président russe lors de la conférence de presse tenue ce jeudi à Moscou. La Chine est le pays qui a le plus contribué à cette hausse. Le montant des grands investissements (plus de 100 millions de dollars) chinois en Russie a doublé en glissement annuel. De nombreuses grandes transactions avec un investissement direct ont été signées avec la Chine en début d'année. Parmi d'autres grandes transactions avec participations étrangères, on peut noter les émissions de capital additionnel d'AvtoVAZ (pour 1,6 milliard de dollars, achat par Rostec et Renault-Nissan), de FosArgo (252 millions de dollars) ou encore de l'entreprise sidérurgique TMK (176 millions de dollars). Une grande contribution à la dynamique positive a été apportée par les Bahamas, les Bermudes, les îles Vierges britanniques et Chypre - leur part totale dans les investissements dans le capital des compagnies russes représente près de 75% (sans cela, les investissements étrangers dans le capital s'élèveraient à seulement 742 millions de dollars, au lieu de 2,9 milliards). Dans l'ensemble, les investissements dans le capital de base en Russie ont augmenté de 2,3% au premier trimestre en glissement annuel, ce qui est un signal positif après trois ans de baisse (données de l'agence fédérale des statistiques Rosstat). Sachant qu'au deuxième trimestre cette hausse était encore plus élevée (6,3%). Toutefois, d'après la Banque centrale, cette tendance était liée à des facteurs temporels spécifiques, notamment le passage de grandes commandes auprès des entreprises russes et les investissements dans les grands projets d'infrastructure (le pont du détroit de Kertch et le gazoduc Sila Sibiri). Le ministère russe du Développement économique a doublé ses prévisions de hausse des investissements en 2017 jusqu'à +4,1%. Selon le ministère, leur augmentation s'élèvera à 5,7% d'ici 2020 dans le scénario de base (qui sert à calculer le budget). La croissance économique est attribuable au fait que la Russie a surmonté deux chocs, à savoir la baisse du prix de pétrole et les sanctions extérieures, a souligné M. Poutine. En outre, il a décrit l'inflation actuelle en Russie (2,5%) comme la "plus basse" de la nouvelle histoire du pays.
2% de croissance en 2017 L'économie russe poursuit sa croissance entamée en 2016 après deux ans de récession. La reprise s'effectue moins rapidement que prévue, mais le gouvernement estime que la hausse du PIB dépassera 2%. Les autorités russes prévoient plus de 2 % de croissance en 2017, a annoncé le Premier ministre russe Dmitri Medvedev, s'exprimant au Sommet d'affaires et d'investissement de l'ASEAN. "Des progrès ont été enregistrés l'année dernière, et cette année, l'on pourra voir un assez bon redressement. On estime qu'à l'issue de l'année en cours, la croissance du PIB dépassera 2%", a-t-il indiqué. "En quoi consiste le sens de cette politique économique? Avant tout, en ce que nous avons assuré un soutien anti-crise aux branches prometteuses, au secteur bancaire. Certaines mesures de soutien sont toujours maintenues, de même que nous avons maintenu un cours flottant et une stabilisation de l'inflation", a poursuivi le ministre. Selon la première estimation rendue publique lundi par l'agence des statistiques Rosstat, la croissance du produit intérieur brut s'est élevée à 1,8% sur un an au troisième trimestre contre 2,5% au deuxième. En août 2017, le taux de croissance annuel du PIB en Russie sera de 2%, a annoncé le ministre russe du Développement économique, Maxime Orechkine, en visite à Paris pour rencontrer les chefs de grandes entreprises françaises. Le ministre russe du Développement économique, Maxime Orechkine, a évoqué la situation économique actuelle en Russie lors d'une rencontre dans le cadre du Mouvement des entreprises de France (Medef) qui a eu lieu mardi 29 août à Paris. Il a ainsi évoqué la croissance de l'économie russe observée pendant le mois d'août 2017. "Nous nous attendons à ce qu'en août, la croissance revienne à un niveau supérieur à 2% et que nous obtenions un taux de croissance annuel supérieur à 2%", a dit le ministre à l'issue de la réunion. S'exprimant à propos du cours du rouble, M. Orechkine a souligné qu'il demeurerait stable pour le reste de l'année. "Les facteurs qui ont influencé le rouble au cours de la première moitié de l'année n'ont plus autant d'importance. Et nous nous attendons à ce que le rouble soit assez stable et reste proche du niveau actuel, que nous considérons comme justifié. Nous nous attendons à un rouble stable dans les prochains mois", a expliqué le ministre russe du Développement économique.
La réelle situation dans l'économie russe révélée La période de croissance régénératrice de l'économie russe est quasiment terminée. Même si sa vitesse n'est pas très élevée, elle est déjà proche de la vitesse optimale potentiellement atteignable au vu de la structure actuelle de l'économie, a déclaré la présidente de la Banque centrale russe, Elvira Nabioullina. La présidente de la Banque centrale russe, Elvira Nabioullina, a présenté ses appréciations de l'évolution de l'économie russe lors de son discours à la Douma d'Etat (chambre basse du Parlement russe). "L'économie est en croissance même si sa vitesse n'est pas très élevée. Selon nos estimations, la croissance se poursuit avec une vitesse proche de la vitesse optimale potentiellement atteignable au vu de la structure actuelle de l'économie et de la capacité de production", a annoncé Mme. Nabioullina. D'après la présidente de la Banque centrale, la croissance du PIB sera d'environ 1,8% cette année. "D'un côté, c'est un fait très positif qui signifie que l'économie s'est rétablie plus vite que beaucoup ne l'attendaient. D'un autre côté, cela signifie que la période de croissance régénératrice est quasiment terminée. Selon nos estimations, nous avons rattrapé 95% de la chute économique qui avait eu lieu depuis 2015", a expliqué Mme. Nabioullina, soulignant qu'avant la fin de l'année, toute la récession pourrait déjà être reconstituée. En octobre, Vladimir Poutine a annoncé lors du forum d'investissement "La Russie appelle" que la stagnation en Russie avait pris fin et que l'économie russe affichait une reprise stable. Il a ajouté qu'en trois trimestres de 2017 la production industrielle en Russie a augmenté de 1,8% et que le PIB accusait une croissance depuis quatre trimestres d'affilée. Vladimir Poutine a signalé que les industries automobile, pharmaceutique, chimique et alimentaire, ainsi que la production d'équipements électriques affichaient une croissance particulière.
La France désapprouve les sanctions des USA La France désapprouve les sanctions extraterritoriales des USA qui compliquent les relations avec la Russie, affirme le ministre français de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, en visite officielle à Moscou. Selon lui, Moscou et Paris doivent travailler ensemble pour répondre aux nouveaux défis dans l'économie et la géopolitique. Le ministre français de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a annoncé lors de sa visite à Moscou que Paris désapprouvait les sanctions extraterritoriales américaines qui compliquent les relations avec la Russie. Ayant rappelé la rencontre entre les dirigeants français et russe qui a eu lieu à Versailles en mai dernier, M. Le Maire a affirmé que Moscou et Paris devait continuer à travailler ensemble pour répondre aux nouveaux défis dans l'économie et la géopolitique. Selon lui, un partenariat économique à long terme existe déjà dans certains domaines entre les deux pays, notamment dans le secteur énergétique, gazier, de l'énergie atomique, de la construction d'avions, des lignes ferroviaires et de l'exploration spatiale. La semaine dernière, Bruno Le Maire a rencontré son homologue russe Maxime Orechkine en marge de la XXIIIe session du Conseil franco-russe sur les questions économiques, financières, industrielles et commerciales. Parmi les questions à l'ordre du jour figurent l'état actuel et les perspectives des relations économiques et commerciales entre Moscou et Paris dans des domaines significatifs tels que l'énergétique, la construction d'avions, les lignes ferroviaires et l'exploration spatiale. Le soutien commun accordé au petit et moyen business ainsi que la coopération visant la promotion des projets innovateurs constituera également l'un des sujets-clés de la rencontre. La signature de certains documents bilatéraux portant sur une coopération dans les domaines indiqués est également en vue.
À qui les sanctions européennes ont-elles laissé le champ libre sur le marché russe? Après que l'Union européenne a imposé des sanctions à la Russie, certaines entreprises tchèques ont dû se retirer du marché russe, cédant ainsi leurs places aux représentants d'autres pays dont la Chine, a déclaré à Sputnik Jaroslav Hanák, président de l'Association de l'industrie et des transports de la République tchèque. L'introduction des sanctions antirusses a eu un effet négatif sur l'activité des entreprises tchèques sur le marché russe, estime Jaroslav Hanák. "Il n'y a pas longtemps, j'ai visité un grand salon de construction mécanique à Ekaterinbourg. J'ai mesuré combien les sanctions antirusses de la part de l'Occident avaient affecté les entreprises tchèques en Russie. Une grande partie du salon était consacrée à la coopération russo-chinoise. Il y avait des tramways et des locomotives qui ressemblaient beaucoup à ceux produits en Tchéquie", a-t-il souligné. Il a également attiré l'attention sur le fait que les pays membres de l'Union européenne respectent rigoureusement les sanctions antirusses ce qui a considérablement réduit leurs relations commerciales avec la Russie. Dans le même temps, le volume des échanges commerciaux entre les Etats-Unis et la Russie est resté le même, ce qui ne peut que faire réfléchir. Selon lui, les sanctions antirusses et les contre-mesures de Moscou ont provoqué une baisse des exportations tchèques vers la Russie de 3,7 % à 1,6 %. Pourtant, au cours des sept premiers mois de l'année 2017, le volume des échanges entre la République tchèque et la Russie a augmenté de 35,4% et a atteint 4,8 milliards de dollars. Les exportations tchèques ont augmenté de 14,5%, et atteint 1,5 milliard de dollars. "Cette reprise est due à l'établissement de contacts directs entre les différentes régions et les entreprises tchèques et russes. En outre, la visite actuelle du Président Zeman ainsi que les deux forums business auxquels participeront des hommes d'affaires des deux pays à Moscou et à Ekaterinbourg devraient aider à restaurer les contacts anciens et établir de nouveaux contacts fructueux", a-t-il conclu. L'Union européenne a décrété des sanctions contre de Moscou en mars 2014 en raison de la crise ukrainienne et du rattachement de la péninsule de Crimée à la Fédération de Russie. En réaction, Moscou a limité ses importations de marchandises en provenance de pays ayant introduit des sanctions à son encontre.
Quel est le pays européen le plus frappé par les sanctions antirusses? Des économistes allemands ont mené une recherche afin d'estimer les pertes subies par les pays européens dûes aux sanctions à l'égard de la Russie. Et leur pays se retrouve en tête de liste. L'Allemagne est le pays européen qui a subi la réduction la plus drastique de ses exportations suite aux sanctions antirusses, indique le journal Frankfurter Allgemeine Zeitung se référant aux résultats de la recherche d'économistes de l'Institut de Kiel pour l'économie mondiale (IfW). "L'Allemagne subit presque 40% des pertes des pays occidentaux, tandis que les autres acteurs géopolitiques […] sont touchés dans une moindre mesure", apprend-on de la recherche. Selon l'Institut, les exportations du Royaume-Uni vers la Russie ont chuté de 7,9% et celles de la France de 4,1%. Les pertes des Etats-Unis ont été moins significatives, leurs exportations vers la Russie ne s'étant réduites que de 0,6%. Les pertes mensuelles de l'Allemagne attribuables aux sanctions antirusses sont estimées à 727 millions d'euros. Les auteurs de la recherche soulignent également que seulement en 2015, les pays occidentaux ont perdu 44 milliards d'euros, dont 90% en UE. L'Union européenne a décrété des sanctions contre Moscou en mars 2014 en raison de la crise ukrainienne et du rattachement de la péninsule de Crimée à la Fédération de Russie. En réaction, Moscou a limité ses importations de marchandises en provenance de pays ayant introduit des sanctions à son encontre.
La Crimée séduit les investisseurs chinois Des milieux d'affaires chinois estiment que l'économie de la Crimée offre de larges possibilités pour les investissements, selon l'ambassadeur russe en Chine. L'ambassadeur russe en Chine, Andreï Denissov, a annoncé mercredi lors d'un entretien avec des journalistes russes que les Chinois trouvaient intérêt à investir dans l'économie de la Crimée. "L'intérêt concret des partenaires chinois pour les investissements dans la République de Crimée est un phénomène nouveau de cette année. Il s'agit du tourisme, de l'agriculture, du traitement des produits agricoles, de la viticulture, des ports. Bref, l'intérêt a été traduit d'une manière assez concrète, et nous espérons qu'il va prendre corps", a fait savoir le diplomate. "À tout le moins, les vins criméens trouvent en Chine un accueil très chaleureux. Et pas seulement les vins", a-t-il commenté. Il a ajouté que d'autres régions russes voudraient également coopérer avec la Chine. "Je ne parle même pas de l'Extrême-Orient, bien que la coopération au niveau des régions frontalières tienne certes le haut du pavé. Il est réjouissant de voir nos autres régions s'y joindre. Je citerais en particulier la ville et la région de Saint-Pétersbourg, qui participent activement aux échanges. Nos partenaires chinois témoignent d'un grand intérêt pour les régions méridionales, pour Sotchi", a souligné l'ambassadeur. Selon lui, dans les relations russo-chinois, il y a des "champions". "Je tiens à mettre en relief la République du Tatarstan. Ses dirigeants et milieux d'affaires mettent à profit le développement des rapports avec laChine et les possibilités qu'ils offrent. La coopération concerne non seulement l'extraction et le traitement des matières premières, mais aussi les hautes technologies et des cités scientifiques", a résumé le diplomate. Soit dit en passant, à l'issue d'une visite en Crimée en septembre dernier le comte Jan Bernadotte af Wisborg, cousin du roi de Suède, a déclaré qu'il était prêt à aider les vins locaux Massandra à entrer sur les marchés européens. Depuis sa réunification avec la Russie, la Crimée devient progressivement un centre d'attraction des investissements étrangers malgré les sanctions antirusses. Ainsi, des entreprises du bâtiment italiennes se sont entendues l'année dernière avec des partenaires locaux pour construire les complexes résidentiels "Village italien", qui devraient être achevés d'ici 2020. Les entrepreneurs de ce pays ont également fait savoir qu'ils souhaiteraient lancer une production d'huile d'olive sur la péninsule.
Moscou promeut un projet de développement de la Zone arctique La Russie a rédigé un projet de loi destiné à développer économiquement sa Zone arctique, en y instaurant des zones de base où l'Etat assurera la création de l'infrastructure et les entreprises développeront des projets prometteurs. Le ministère russe de l'Economie a préparé un projet de loi sur le développement de la Zone arctique de la Russie, qui prévoit entre autres des engagements réciproques irrévocables de l'Etat et des investisseurs dans les zones de développement de base des régions nordiques. La première rédaction du projet de loi a été concentrée sur le règlement par l'Etat d'un large éventail de questions de développement de la Zone arctique et la création de zones de développement de base. Mais ensuite, le texte a été renvoyé pour réécriture afin d'être consacré spécifiquement aux zones de base. Le projet de loi a pour objectif de créer les conditions pour un développement économique et social tous azimuts de la Zone arctique russe par le biais de la formation de zones de développement de base dont la tâche consistera à mettre en valeur des centres de matières premières minérales en Arctique, à attirer des investissements et à développer la Voie maritime du Nord (ou passage du Nord-Est). Les engagements réciproques irrévocables prévoient que l'Etat s'engage à créer une infrastructure, octroyer des facilités et des préférences ainsi que des régimes spéciaux de l'activité économique. Les investisseurs, pour leur part, s'engagent à investir dans des projets.