Après la finalisation des branchements des réseaux d'énergie électrique, de gaz naturel, des câbles téléphoniques, d'eau potable et des eaux usées, les tranchées sont recouvertes sommairement de pelletées de terre au lieu d'être bitumées une fois pour toutes. Après la finalisation des branchements des réseaux d'énergie électrique, de gaz naturel, des câbles téléphoniques, d'eau potable et des eaux usées, les tranchées sont recouvertes sommairement de pelletées de terre au lieu d'être bitumées une fois pour toutes. Lors de la 4e session de l' APW tenue dernièrement, des élus avaient saisi l' opportunité de l' ordre du jour pour soulever les préoccupations citoyennes et les carences avérées de certains services, engendrant la pénalisation du cadre de vie. A titre illustratif, un intervenant a déploré un problème récurrent : " Les services de Sonelgaz, de l'ADE, de l' ONA et certaines entreprises des secteurs public et privé font fi de la réglementation en vigueur. En effet, après la finalisation des branchements des réseaux d' énergie électrique, de gaz naturel, des câbles téléphoniques, d' eau potable et des eaux usées, les tranchées sont recouvertes sommairement de pelletées de terre. Les opérateurs concernés se dérobent à leurs obligations et abandonnent les chantiers sans procéder à la remise en état par le biais de bitume et autres ". Un autre élu s'étonne de la passivité des services techniques chargés du suivi et du contrôle des travaux. Il affirme que des trottoirs et des chaussées rénovés à coup de milliards de centimes sont détériorés à cause de raccordements et branchements qui auraient dû être programmés antérieurement. Ces anomalies intolérables perdurent au grand dam des citoyens qui évoluent, notamment en hiver, dans un environnement hostile et rebutant à cause de la gadoue et des flaques d'eau stagnante. Au cours de son intervention, le wali a concédé de la pertinence des propos des locataires de l' APW qui ont, à juste titre, pointé du doigt des défaillances et des carences impardonnables. D'un ton ferme, il a fustigé les responsables concernés et il les a mis en garde quant aux conséquences désastreuses qui en découlent. Dans ce contexte, il a sommé les présidents d'APC, les services techniques, les directeurs des organismes, institutions et administrations de s' impliquer impérativement afin d'annihiler ces dépassements inacceptables. Dans la foulée, il a exigé la coordination indispensable des directions dans la programmation des travaux souterrains et la remise en état dans les normes des sites concernés. H. B. Lors de la 4e session de l' APW tenue dernièrement, des élus avaient saisi l' opportunité de l' ordre du jour pour soulever les préoccupations citoyennes et les carences avérées de certains services, engendrant la pénalisation du cadre de vie. A titre illustratif, un intervenant a déploré un problème récurrent : " Les services de Sonelgaz, de l'ADE, de l' ONA et certaines entreprises des secteurs public et privé font fi de la réglementation en vigueur. En effet, après la finalisation des branchements des réseaux d' énergie électrique, de gaz naturel, des câbles téléphoniques, d' eau potable et des eaux usées, les tranchées sont recouvertes sommairement de pelletées de terre. Les opérateurs concernés se dérobent à leurs obligations et abandonnent les chantiers sans procéder à la remise en état par le biais de bitume et autres ". Un autre élu s'étonne de la passivité des services techniques chargés du suivi et du contrôle des travaux. Il affirme que des trottoirs et des chaussées rénovés à coup de milliards de centimes sont détériorés à cause de raccordements et branchements qui auraient dû être programmés antérieurement. Ces anomalies intolérables perdurent au grand dam des citoyens qui évoluent, notamment en hiver, dans un environnement hostile et rebutant à cause de la gadoue et des flaques d'eau stagnante. Au cours de son intervention, le wali a concédé de la pertinence des propos des locataires de l' APW qui ont, à juste titre, pointé du doigt des défaillances et des carences impardonnables. D'un ton ferme, il a fustigé les responsables concernés et il les a mis en garde quant aux conséquences désastreuses qui en découlent. Dans ce contexte, il a sommé les présidents d'APC, les services techniques, les directeurs des organismes, institutions et administrations de s' impliquer impérativement afin d'annihiler ces dépassements inacceptables. Dans la foulée, il a exigé la coordination indispensable des directions dans la programmation des travaux souterrains et la remise en état dans les normes des sites concernés. H. B.