Les prix du pétrole ont nettement baissé durant la fin de la semaine écoulée, en fin d'échanges européens, plombés par les chiffres décevants de la demande aux Etats-Unis, en dépit d'un recul inattendu des stocks de brut américains. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars cédait 1,27 dollars à 75,05 dollars. Au même moment, le baril de "brut léger texan" (WTI) pour livraison en mars également (premier jour de cotation de ce contrat), perdait 1,23 dollars à 76,51 dollars. Au lendemain d'une baisse de plus d'un dollar, les cours du brut restaient sous la pression des inquiétudes liées à l'économie chinoise. L'annonce jeudi d'une croissance à deux chiffres au quatrième trimestre (+10,7%), a encore renforcé la crainte que Pékin ne resserre sa politique monétaire et budgétaire pour éviter la surchauffe de son économie. En outre, les cours étaient affectés par un recul de la demande aux Etats-Unis, notait un analyste chez Calyon, qui qualifie la demande en essence de "médiocre". La consommation d'essence était en repli de 0,2% sur un an et celle de produits distillés s'affichent en baisse de 6,8%, selon des données publiés par le département américain de l'Energie (DoE). Par ailleurs, si les stocks de brut ont baissé la semaine dernière contre toute attente de 400.000 barils, leurs niveaux restent très élevés. Les stocks de produits distillés (dont le gazole et le fioul de chauffage), observés de près en période hivernale, ont reculé de 3,3 millions de barils du fait d'une vague de froid aux Etats-Unis, mais restent supérieurs à leur niveau d'il y a un an. Les prix du pétrole ont nettement baissé durant la fin de la semaine écoulée, en fin d'échanges européens, plombés par les chiffres décevants de la demande aux Etats-Unis, en dépit d'un recul inattendu des stocks de brut américains. A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mars cédait 1,27 dollars à 75,05 dollars. Au même moment, le baril de "brut léger texan" (WTI) pour livraison en mars également (premier jour de cotation de ce contrat), perdait 1,23 dollars à 76,51 dollars. Au lendemain d'une baisse de plus d'un dollar, les cours du brut restaient sous la pression des inquiétudes liées à l'économie chinoise. L'annonce jeudi d'une croissance à deux chiffres au quatrième trimestre (+10,7%), a encore renforcé la crainte que Pékin ne resserre sa politique monétaire et budgétaire pour éviter la surchauffe de son économie. En outre, les cours étaient affectés par un recul de la demande aux Etats-Unis, notait un analyste chez Calyon, qui qualifie la demande en essence de "médiocre". La consommation d'essence était en repli de 0,2% sur un an et celle de produits distillés s'affichent en baisse de 6,8%, selon des données publiés par le département américain de l'Energie (DoE). Par ailleurs, si les stocks de brut ont baissé la semaine dernière contre toute attente de 400.000 barils, leurs niveaux restent très élevés. Les stocks de produits distillés (dont le gazole et le fioul de chauffage), observés de près en période hivernale, ont reculé de 3,3 millions de barils du fait d'une vague de froid aux Etats-Unis, mais restent supérieurs à leur niveau d'il y a un an.