Les élèves du lycée Therkhouch-Ahmed, au centre-ville de Jijel, ont finalement repris les cours après avoir observé une journée de grève, afin de dénoncer les désagréments auxquels ils font face au sein de leur établissement depuis quelque temps. En effet, ces lycéens ne pouvaient plus supporter d'étudier au milieu des eaux usées, dégageant des odeurs nauséabondes, qui provenaient du tuyau d'évacuation des maisons voisines qui a éclaté dans la cour de leur établissement. Pour faire entendre leur voix, les lycéens ont refusé de rejoindre les bancs de leurs classes et ont tenu un sit-in devant le portail du lycée, avant de se diriger vers la direction de l'éducation de Jijel pour exprimer leur ras-le-bol d'une situation qui n'a que trop duré. Ces lycéens ont fait savoir à leurs interlocuteurs qu'ils n'avaient pas l'intention de reprendre les cours tant qu'une solution n'est pas trouvée à leur calvaire. Car en plus des odeurs qui s'y dégagent, les eaux usées ont envahi une bonne partie de la cour de sport, ce qui représente un handicap lors des séances de sport. Ces jeunes grévistes ont finalement obtenu gain de cause, car les autorités concernées ont intervenu rapidement et ont mis fin à ce bourbier qui a duré deux semaines. Les élèves ont finalement repris les cours dans de meilleures circonstances dès mardi. Faut-il rappeler que le lycée Terkhouche est connu pour sa bonne réputation et n'a jamais connu un tel problème. S. M. Les élèves du lycée Therkhouch-Ahmed, au centre-ville de Jijel, ont finalement repris les cours après avoir observé une journée de grève, afin de dénoncer les désagréments auxquels ils font face au sein de leur établissement depuis quelque temps. En effet, ces lycéens ne pouvaient plus supporter d'étudier au milieu des eaux usées, dégageant des odeurs nauséabondes, qui provenaient du tuyau d'évacuation des maisons voisines qui a éclaté dans la cour de leur établissement. Pour faire entendre leur voix, les lycéens ont refusé de rejoindre les bancs de leurs classes et ont tenu un sit-in devant le portail du lycée, avant de se diriger vers la direction de l'éducation de Jijel pour exprimer leur ras-le-bol d'une situation qui n'a que trop duré. Ces lycéens ont fait savoir à leurs interlocuteurs qu'ils n'avaient pas l'intention de reprendre les cours tant qu'une solution n'est pas trouvée à leur calvaire. Car en plus des odeurs qui s'y dégagent, les eaux usées ont envahi une bonne partie de la cour de sport, ce qui représente un handicap lors des séances de sport. Ces jeunes grévistes ont finalement obtenu gain de cause, car les autorités concernées ont intervenu rapidement et ont mis fin à ce bourbier qui a duré deux semaines. Les élèves ont finalement repris les cours dans de meilleures circonstances dès mardi. Faut-il rappeler que le lycée Terkhouche est connu pour sa bonne réputation et n'a jamais connu un tel problème. S. M.