Jeudi, c'est l'arbitre béninois Koffi Kodjia qui a décidé que l'Algérie soit éliminée. C'est vrai qu'on attendait beaucoup de ces retrouvailles entre les deux barragistes africains d'Oum Dourman. Mais, un match de foot étant une explication à onze joueurs contre onze, les débats se sont déroulés autrement. Ainsi en a décidé Kodjia et son arbitrage qui a scandalisé plus d'un, y compris les joueurs égyptiens : «Si on a gagné par quatre buts, c'est à cause des trois expulsions. Avec une telle supériorité numérique, ça devenait plus facile », a estimé l'attaquant égyptien Imad Meteeb. Conseiller du président de la Fédération algérienne de football (FAF), M. Kader Berdja, est quant à lui «outré » non seulement par la manière d'arbitrer de Koffi Kodjia, mais se demande comment ce référé a-t-il été désigné pour arbitrer à ce niveau de la compétition. Ce sinistre « homme en noir» est venu confirmer que l'arbitrage africain est parmi les moins bons au monde. Le feuilleton a débuté avec le carton jaune totalement injustifié infligé à Halliche, présumé auteur d'une faute, puis son expulsion : « c'est le penalty, suivi de l'expulsion de l'un des piliers de la défense de l'équipe qui a déstabilisé nos joueurs !», a déclaré Kader Berdja. Le Béninois ne s'est pas arrêté là, il a été trop indulgent avec le gardien de but Fawzi Chaouchi qui a été auteur d'un geste condamné par l'entraîneur Rabah Saâdane. Cependant, nombreux sont convaincus que le «naufrage» des coéquipiers du très combatif Madjid Bougherra, est dû à l'expulsion de joueurs clés, à un moment où la possibilité de renverser la vapeur, n'est pas simplement une vue de l'esprit. Quoi qu'il en soit, la partie avait été complètement faussée, jusqu'à perdre tout de la saveur qu'on lui avait prédit. Pour clore le débat, Kader Berdja estime qu'il faut surtout retenir «le soutien de tout un pays à ses joueurs. En effet, malgré la déception, l'Algérie reste toujours derrière son équipe nationale ! ». A. S. Jeudi, c'est l'arbitre béninois Koffi Kodjia qui a décidé que l'Algérie soit éliminée. C'est vrai qu'on attendait beaucoup de ces retrouvailles entre les deux barragistes africains d'Oum Dourman. Mais, un match de foot étant une explication à onze joueurs contre onze, les débats se sont déroulés autrement. Ainsi en a décidé Kodjia et son arbitrage qui a scandalisé plus d'un, y compris les joueurs égyptiens : «Si on a gagné par quatre buts, c'est à cause des trois expulsions. Avec une telle supériorité numérique, ça devenait plus facile », a estimé l'attaquant égyptien Imad Meteeb. Conseiller du président de la Fédération algérienne de football (FAF), M. Kader Berdja, est quant à lui «outré » non seulement par la manière d'arbitrer de Koffi Kodjia, mais se demande comment ce référé a-t-il été désigné pour arbitrer à ce niveau de la compétition. Ce sinistre « homme en noir» est venu confirmer que l'arbitrage africain est parmi les moins bons au monde. Le feuilleton a débuté avec le carton jaune totalement injustifié infligé à Halliche, présumé auteur d'une faute, puis son expulsion : « c'est le penalty, suivi de l'expulsion de l'un des piliers de la défense de l'équipe qui a déstabilisé nos joueurs !», a déclaré Kader Berdja. Le Béninois ne s'est pas arrêté là, il a été trop indulgent avec le gardien de but Fawzi Chaouchi qui a été auteur d'un geste condamné par l'entraîneur Rabah Saâdane. Cependant, nombreux sont convaincus que le «naufrage» des coéquipiers du très combatif Madjid Bougherra, est dû à l'expulsion de joueurs clés, à un moment où la possibilité de renverser la vapeur, n'est pas simplement une vue de l'esprit. Quoi qu'il en soit, la partie avait été complètement faussée, jusqu'à perdre tout de la saveur qu'on lui avait prédit. Pour clore le débat, Kader Berdja estime qu'il faut surtout retenir «le soutien de tout un pays à ses joueurs. En effet, malgré la déception, l'Algérie reste toujours derrière son équipe nationale ! ». A. S.