Le ministre des Affaires religieuses et de wakfs, Bouabdallah Ghlamallah a souligné, hier, à Alger que l'exercice des différents cultes était toujours garanti en toute liberté et sérénité en Algérie. "L'Histoire retient que l'Algérie, qui a connu différentes religions, du christianisme à l'Islam, a toujours garanti à ses diverses communautés religieuses le libre exercice de leurs cultes respectifs", a précisé M. Ghlamallah à l'ouverture des travaux d'un colloque international sur «L'exercice des cultes, un droit garanti par la religion et la loi". Concernant l'objectif de ce colloque auquel participent des spécialistes algériens et étrangers ainsi que des représentants d'institutions de différents pays, M. Ghlamallah a précisé qu'il visait à "dissiper le malentendu" autour de "prétendues restrictions à l'exercice des cultes" en Algérie, soulignant que la société algérienne "est tolérante et n'attente aucunement à la liberté d'autrui, chrétiens et juifs compris". Soulignant qu'"aucune église n'a été fermée dans le pays", le ministre a indiqué que l'"Algérie a garanti aux chrétiens l'exercice de leur culte en toute liberté et sérénité dans les lieux destinés à cet effet conformément à l'ordonnance régissant l'exercice des cultes, promulguée en 2006". L'archevêque d'Alger, Ghaleb Bader, a, pour sa part, souligné qu'il n'y avait "aucun dépassement dans l'exercice du culte chrétien en Algérie", se félicitant de l'ordonnance régissant l'exercice des cultes, promulguée en 2006. Dans ce contexte, l'archevêque d'Alger a affirmé qu'il «approuvait totalement" les dispositions générales prévues par l'ordonnance, d'autant plus qu'elles «rejoignent les principes de l'Eglise sur l'exercice du culte chrétien dans des lieux destinés à cet effet». O. A. Le ministre des Affaires religieuses et de wakfs, Bouabdallah Ghlamallah a souligné, hier, à Alger que l'exercice des différents cultes était toujours garanti en toute liberté et sérénité en Algérie. "L'Histoire retient que l'Algérie, qui a connu différentes religions, du christianisme à l'Islam, a toujours garanti à ses diverses communautés religieuses le libre exercice de leurs cultes respectifs", a précisé M. Ghlamallah à l'ouverture des travaux d'un colloque international sur «L'exercice des cultes, un droit garanti par la religion et la loi". Concernant l'objectif de ce colloque auquel participent des spécialistes algériens et étrangers ainsi que des représentants d'institutions de différents pays, M. Ghlamallah a précisé qu'il visait à "dissiper le malentendu" autour de "prétendues restrictions à l'exercice des cultes" en Algérie, soulignant que la société algérienne "est tolérante et n'attente aucunement à la liberté d'autrui, chrétiens et juifs compris". Soulignant qu'"aucune église n'a été fermée dans le pays", le ministre a indiqué que l'"Algérie a garanti aux chrétiens l'exercice de leur culte en toute liberté et sérénité dans les lieux destinés à cet effet conformément à l'ordonnance régissant l'exercice des cultes, promulguée en 2006". L'archevêque d'Alger, Ghaleb Bader, a, pour sa part, souligné qu'il n'y avait "aucun dépassement dans l'exercice du culte chrétien en Algérie", se félicitant de l'ordonnance régissant l'exercice des cultes, promulguée en 2006. Dans ce contexte, l'archevêque d'Alger a affirmé qu'il «approuvait totalement" les dispositions générales prévues par l'ordonnance, d'autant plus qu'elles «rejoignent les principes de l'Eglise sur l'exercice du culte chrétien dans des lieux destinés à cet effet». O. A.