Après les enseignants, les adjoints de l'éducation entament à partir d'aujourd'hui un mouvement de grève d'une semaine renouvelable en signe de protestation contre les «promesses non tenues» du département de Boubekeur Benbouzid. Ce mouvement de débrayage, qui fait suite à la grève des enseignants, devrait mobiliser au moins 50 mille agents affiliés au seul Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE), nous a indiqués hier lors d'un entretien téléphonique leur porte-parole, M. Fertaki. Dans une déclaration au Midi Libre, le responsable dira qu'«aucune réponse» n'a été donnée par le ministère de l'Education à leurs revendications. Il s'agit de la révision de la classification du personnel des adjoints de l'éducation en la revoyant de la catégorie 7 à la 10 ainsi que le droit à la promotion au poste de conseiller à l'éducation, une réduction du volume horaire, actuellement de 36 heures par semaine, à 28 heures, l'ouverture de cycles de formation pour le recyclage et la suppression de la permanence durant les vacances scolaires et enfin la réintégration des adjoints de l'Education retenus en mars 2009 dans les listes d'aptitude pour bénéficier de promotion au poste de surveillant général. «Pour l'instant, les promesses de la tutelle n'ont pas été tenues», regrette notre interlocuteur, ajoutant qu'un appel a été lancé à tous les adjoints au niveau du territoire national afin de rallier le mouvement. Il a ajouté que le mouvement se poursuivra «jusqu'à satisfaction totale de nos revendications». Confiant, M. Fertaki a assuré que ce mouvement «aura un écho favorable auprès du personnel comme cela a toujours été le cas». A rappeler que les adjoints de l'éducation ont organisé, du 16 au 19 novembre 2009, une grève nationale pour exiger la satisfaction de leurs revendications. Quatre mois après, les doléances des concernés ne sont toujours pas prises en charge par la tutelle. Y. D. Après les enseignants, les adjoints de l'éducation entament à partir d'aujourd'hui un mouvement de grève d'une semaine renouvelable en signe de protestation contre les «promesses non tenues» du département de Boubekeur Benbouzid. Ce mouvement de débrayage, qui fait suite à la grève des enseignants, devrait mobiliser au moins 50 mille agents affiliés au seul Syndicat national des travailleurs de l'éducation (SNTE), nous a indiqués hier lors d'un entretien téléphonique leur porte-parole, M. Fertaki. Dans une déclaration au Midi Libre, le responsable dira qu'«aucune réponse» n'a été donnée par le ministère de l'Education à leurs revendications. Il s'agit de la révision de la classification du personnel des adjoints de l'éducation en la revoyant de la catégorie 7 à la 10 ainsi que le droit à la promotion au poste de conseiller à l'éducation, une réduction du volume horaire, actuellement de 36 heures par semaine, à 28 heures, l'ouverture de cycles de formation pour le recyclage et la suppression de la permanence durant les vacances scolaires et enfin la réintégration des adjoints de l'Education retenus en mars 2009 dans les listes d'aptitude pour bénéficier de promotion au poste de surveillant général. «Pour l'instant, les promesses de la tutelle n'ont pas été tenues», regrette notre interlocuteur, ajoutant qu'un appel a été lancé à tous les adjoints au niveau du territoire national afin de rallier le mouvement. Il a ajouté que le mouvement se poursuivra «jusqu'à satisfaction totale de nos revendications». Confiant, M. Fertaki a assuré que ce mouvement «aura un écho favorable auprès du personnel comme cela a toujours été le cas». A rappeler que les adjoints de l'éducation ont organisé, du 16 au 19 novembre 2009, une grève nationale pour exiger la satisfaction de leurs revendications. Quatre mois après, les doléances des concernés ne sont toujours pas prises en charge par la tutelle. Y. D.