Une simple comparaison des prix des fruits et légumes disponibles sur les étals le mois de janvier permettra, sans conteste, de remarquer qu'ils ont subi une nième hausse durant le mois en cours. Le constat est identique dans tous les points de vente. Une simple comparaison des prix des fruits et légumes disponibles sur les étals le mois de janvier permettra, sans conteste, de remarquer qu'ils ont subi une nième hausse durant le mois en cours. Le constat est identique dans tous les points de vente. Depuis le début de l'hiver, les prix des produits maraichers n'ont connu aucune baisse perceptible par le consommateur. Une simple comparaison entre les mêmes fruits et légumes disponibles sur les étals en janvier permettra, sans conteste, de remarquer qu'ils ont subi une nième hausse durant le mois en cours. D'aucuns ne peuvent soutenir le contraire puisque le constat est identique dans tous les points de vente. La pomme de terre est cédée actuellement à 45 dinars, les petits pois à 150 DA, l'artichaut à 60 DA. Le poivron refuse de descendre en dessous de la barre des 120 DA, la tomate, de mauvaise qualité de surcroit, est exposée à 60 DA, les courgettes à 80 DA. Quant à l'haricot vert, ce produit plafonne à 200 DA. Pour les fruits de saison, l'orange vacille entre 120 et 140 DA et la mandarine entre 150 et 160 DA. L'explication d'une telle situation réside, somme toute, dans des arguments pas du tout convaincants. La rareté des produits serait à l'origine de ces hausses de prix. Le circuit informel y serait aussi pour beaucoup, nous a-t-on affirmé. Constantine dispose de 35 marchés de détail, de 10 marchés hebdomadaires et d'un marché de gros. Selon certains responsables, c'est au niveau de cette dernière catégorie que 60% des fruits et légumes sont écoulés hors du circuit formel. Et, partant, la libéralisation des prix se pratique sans le moindre contrôle. D'autres soutiendront que bon nombre de maraichers vendent leur production « sur pied ». C'est-à-dire avant sa récolte, ce qui contribue largement dans le renforcement des pratiques spéculatives et accentue les disparités des tarifs d'un « grossiste »à un autre. Le consommateur s'est tôt rendu compte que son « budget- marché » subit une fluctuation incessante. Les priorités seront ainsi définies et, progressivement, certain produits seront bannis du couffin. La majorité des citoyens s'approvisionne uniquement en tomate, pomme de terre, oignon, courgette et, accessoirement, en poivron. N. D. Depuis le début de l'hiver, les prix des produits maraichers n'ont connu aucune baisse perceptible par le consommateur. Une simple comparaison entre les mêmes fruits et légumes disponibles sur les étals en janvier permettra, sans conteste, de remarquer qu'ils ont subi une nième hausse durant le mois en cours. D'aucuns ne peuvent soutenir le contraire puisque le constat est identique dans tous les points de vente. La pomme de terre est cédée actuellement à 45 dinars, les petits pois à 150 DA, l'artichaut à 60 DA. Le poivron refuse de descendre en dessous de la barre des 120 DA, la tomate, de mauvaise qualité de surcroit, est exposée à 60 DA, les courgettes à 80 DA. Quant à l'haricot vert, ce produit plafonne à 200 DA. Pour les fruits de saison, l'orange vacille entre 120 et 140 DA et la mandarine entre 150 et 160 DA. L'explication d'une telle situation réside, somme toute, dans des arguments pas du tout convaincants. La rareté des produits serait à l'origine de ces hausses de prix. Le circuit informel y serait aussi pour beaucoup, nous a-t-on affirmé. Constantine dispose de 35 marchés de détail, de 10 marchés hebdomadaires et d'un marché de gros. Selon certains responsables, c'est au niveau de cette dernière catégorie que 60% des fruits et légumes sont écoulés hors du circuit formel. Et, partant, la libéralisation des prix se pratique sans le moindre contrôle. D'autres soutiendront que bon nombre de maraichers vendent leur production « sur pied ». C'est-à-dire avant sa récolte, ce qui contribue largement dans le renforcement des pratiques spéculatives et accentue les disparités des tarifs d'un « grossiste »à un autre. Le consommateur s'est tôt rendu compte que son « budget- marché » subit une fluctuation incessante. Les priorités seront ainsi définies et, progressivement, certain produits seront bannis du couffin. La majorité des citoyens s'approvisionne uniquement en tomate, pomme de terre, oignon, courgette et, accessoirement, en poivron. N. D.