"Il ne faut pas se focaliser sur l'entraîneur, il faut avant tout responsabiliser les joueurs", a dit le recordman des sélections (142) en équipe de France, Lilian Thuram, à propos des Bleus actuels et de Raymond Domenech. "Il faut se mettre à disposition de l'équipe", a martelé Thuram, se démarquant des critiques contre Domenech. "Joueur, je me suis toujours regardé en me disant : " Qu'est-ce que que je peux faire de plus pour l'équipe ?", critiquant implicitement certains membres de l'équipe actuelle, qualifiée de justesse pour le Mondial-2010 après le barrage gagné contre l'Eire et la main de Thierry Henry sur le but décisif. "Encore une fois, il ne faut pas se focaliser sur le sélectionneur", a répété Thuram aux relances de son ancien coéquipier en Bleu, Bixente Lizarazu, qui l'interrogeait. Thuram a seulement critiqué les choix du sélectionneur en défense centrale. "Si je devais faire un reproche à Raymond Domenech, a-t-il dit, c'est de ne pas avoir choisi quelqu'un, un mec en place pour cinq matches. Et même s'il se trompe, il faut recommencer". "Cela fait très longtemps qu'il aurait fallu essayer Abidal-Gallas, j'en ai discuté avec lui (Domenech), je lui ai dit. Jouer dans l'axe, c'est très délicat, il faut une symbiose entre les deux joueurs d'axe". Thuram a pris l'exemple de Julien Escudé, titulaire dans l'axe mercredi lors de la défaite contre l'Espagne (0-2), et fautif sur les buts. "Escudé est un très bon joueur, mais vous savez qu'il est lent, il ne faut pas le laisser en 1 contre 1, mais ce n'est pas l'entraîneur qui décrète ça, c'est l'intelligence du coéquipier, je vais le bonifier, respecter ses qualités". "Escudé, il joue extrêmement bien au ballon, cela veut dire que la première relance, c'est lui. C'était pareil avec Laurent Blanc (relanceur, ndlr) et Marcel Desailly (fort dans les 1 contre 1, ndlr)" dans l'équipe championne du monde (1998) et d'Europe (2000). "Il ne faut pas se focaliser sur l'entraîneur, il faut avant tout responsabiliser les joueurs", a dit le recordman des sélections (142) en équipe de France, Lilian Thuram, à propos des Bleus actuels et de Raymond Domenech. "Il faut se mettre à disposition de l'équipe", a martelé Thuram, se démarquant des critiques contre Domenech. "Joueur, je me suis toujours regardé en me disant : " Qu'est-ce que que je peux faire de plus pour l'équipe ?", critiquant implicitement certains membres de l'équipe actuelle, qualifiée de justesse pour le Mondial-2010 après le barrage gagné contre l'Eire et la main de Thierry Henry sur le but décisif. "Encore une fois, il ne faut pas se focaliser sur le sélectionneur", a répété Thuram aux relances de son ancien coéquipier en Bleu, Bixente Lizarazu, qui l'interrogeait. Thuram a seulement critiqué les choix du sélectionneur en défense centrale. "Si je devais faire un reproche à Raymond Domenech, a-t-il dit, c'est de ne pas avoir choisi quelqu'un, un mec en place pour cinq matches. Et même s'il se trompe, il faut recommencer". "Cela fait très longtemps qu'il aurait fallu essayer Abidal-Gallas, j'en ai discuté avec lui (Domenech), je lui ai dit. Jouer dans l'axe, c'est très délicat, il faut une symbiose entre les deux joueurs d'axe". Thuram a pris l'exemple de Julien Escudé, titulaire dans l'axe mercredi lors de la défaite contre l'Espagne (0-2), et fautif sur les buts. "Escudé est un très bon joueur, mais vous savez qu'il est lent, il ne faut pas le laisser en 1 contre 1, mais ce n'est pas l'entraîneur qui décrète ça, c'est l'intelligence du coéquipier, je vais le bonifier, respecter ses qualités". "Escudé, il joue extrêmement bien au ballon, cela veut dire que la première relance, c'est lui. C'était pareil avec Laurent Blanc (relanceur, ndlr) et Marcel Desailly (fort dans les 1 contre 1, ndlr)" dans l'équipe championne du monde (1998) et d'Europe (2000).