Le représentant du gouvernement a précisé qu'il est impérieux de "stratifier" et classifier les PME compte tenu de la réalité algérienne et de l'environnement international en prenant des mesures de soutien et d'accompagnement, en relevant les forces, les faiblesses et l'expertise des PME/PMI. Le représentant du gouvernement a précisé qu'il est impérieux de "stratifier" et classifier les PME compte tenu de la réalité algérienne et de l'environnement international en prenant des mesures de soutien et d'accompagnement, en relevant les forces, les faiblesses et l'expertise des PME/PMI. «L'axe de la sous-traitance est stratégique dans l'intégration économique de l'appareil de production et l'émergence des capacités de sous-traitance nationale permet notamment la réduction des coûts en devises en faisant appel à des entreprises étrangères. Plus de 260 mille petites et moyennes entreprises sous-traitantes, notamment dans le BTPH. Il est donc nécessaire de doter nos institutions dédiées spécialement en valorisant ce potentiel», a affirmé, hier, le ministre de la PME et de l'Artisanat, Mustapha Benbada, lors de l'ouverture de la 2e réunion plénière en formation workshop du comité ad hoc intitulé "Développement et renforcement des capacités des PME'' qui s'est déroulé à Alger. Le représentant du gouvernement a précisé qu'il est impérieux de "stratifier" et classifier les PME compte tenu de la réalité algérienne et de l'environnement international en prenant des mesures de soutien et d'accompagnement en relevant les forces, les faiblesses et l'expertise des PME/PMI. Ainsi, il recommande un bon fonctionnement d'un fonds pour la promotion des PME en activant ses sources de financement, car, dit-il, «il existe un déficit en matière d'intermédiation financière d'où la nécessité de coopérer entre les établissements financiers et les PME. Aussi, il convient de créer un centre national de développement de la sous-traitance». Insistant sur les perspectives de développement de la PME, il estime que ces entreprises sont le noyau indéniable de la croissance économique, de la génération d'emplois et de l'accumulation des richesses, comme c'est le cas aux Etats-Unis d'Amérique et en Italie où le développement durable est assuré par les PME. «Il faut absolument développer les filières actuelles de la PME à forte valeur ajoutée en optant pour la diversification de l'économie et les exportations hors hydrocarbures. Ainsi, la densification de l'économie passe inéluctablement par le tissu de la PME dont la création de 200 mille PME vise la création de 1,5 million de postes de travail. Il s'agit d'un challenge qui est à notre portée» a-t-il souligné. Prônant la compétitivité des PME et la mise à niveau adéquate, le ministre a rappelé que le programme du gouvernement tend à mettre les moyens financiers et humains pour rajuster et moderniser 20 mille PME afin d'améliorer les capacités de gestion et d'organisation des PME, peaufiner le système qualité et perfectionner les ressources humaines. Pour sa part, le président du Conseil national économie et social (CNES), Mohamed Seghir Babès, a exposé les grandes lignes des comités ad hoc en précisant que la création de 15 comités ad hoc, notamment pour ce qui est de celui inhérent au développement et au renforcement des capacités des PME, et parmi d'autres, celui relatif aux acteurs du marché dans leur articulation (sphère de la production marchande et sphère bancaire-sphère financière", vise surtout à suivre et à évaluer l'organisation de l'économie. «Le comité ad hoc de la PME tend à lever l'équivoque entre le mandat de ceux qui activent les politiques publiques et ceux qui procèdent à l'analyse et à l'évaluation de ces mêmes politiques publiques» a-t-il indiqué. Babès accorde une importance capitale aux PME dans la croissance économique en soulignant «qu'elles forment l'essentiel de l'ossature du secteur privé et sont les plus aptes à porter l'immense double défi de création de la richesse et d'emploi». Pour Zaïm Bensaci, président du CNCPME, le comité ad hoc permet d'apporter la perception réaliste des problèmes de la PME en intégrant les exigences du contexte de la crise internationale et se préparer pour y faire face. Il a notamment soulevé les obstacles rencontrés par les PME, tels que «l'accès aux sources de financement, la fiscalité et le foncier industriel qui sont des questions récurrentes» a-t-il dit. Il a, par ailleurs, mis l'accent sur la nécessité d'innover et de développer la recherche et développement et les technopoles et la mise à niveau rapide des PME. Le CNES a décidé de boycotter la réunion de l'assemblée générale de l'association des conseils économiques et sociaux prévue en mai et juin prochains à New York (USA). A. A. «L'axe de la sous-traitance est stratégique dans l'intégration économique de l'appareil de production et l'émergence des capacités de sous-traitance nationale permet notamment la réduction des coûts en devises en faisant appel à des entreprises étrangères. Plus de 260 mille petites et moyennes entreprises sous-traitantes, notamment dans le BTPH. Il est donc nécessaire de doter nos institutions dédiées spécialement en valorisant ce potentiel», a affirmé, hier, le ministre de la PME et de l'Artisanat, Mustapha Benbada, lors de l'ouverture de la 2e réunion plénière en formation workshop du comité ad hoc intitulé "Développement et renforcement des capacités des PME'' qui s'est déroulé à Alger. Le représentant du gouvernement a précisé qu'il est impérieux de "stratifier" et classifier les PME compte tenu de la réalité algérienne et de l'environnement international en prenant des mesures de soutien et d'accompagnement en relevant les forces, les faiblesses et l'expertise des PME/PMI. Ainsi, il recommande un bon fonctionnement d'un fonds pour la promotion des PME en activant ses sources de financement, car, dit-il, «il existe un déficit en matière d'intermédiation financière d'où la nécessité de coopérer entre les établissements financiers et les PME. Aussi, il convient de créer un centre national de développement de la sous-traitance». Insistant sur les perspectives de développement de la PME, il estime que ces entreprises sont le noyau indéniable de la croissance économique, de la génération d'emplois et de l'accumulation des richesses, comme c'est le cas aux Etats-Unis d'Amérique et en Italie où le développement durable est assuré par les PME. «Il faut absolument développer les filières actuelles de la PME à forte valeur ajoutée en optant pour la diversification de l'économie et les exportations hors hydrocarbures. Ainsi, la densification de l'économie passe inéluctablement par le tissu de la PME dont la création de 200 mille PME vise la création de 1,5 million de postes de travail. Il s'agit d'un challenge qui est à notre portée» a-t-il souligné. Prônant la compétitivité des PME et la mise à niveau adéquate, le ministre a rappelé que le programme du gouvernement tend à mettre les moyens financiers et humains pour rajuster et moderniser 20 mille PME afin d'améliorer les capacités de gestion et d'organisation des PME, peaufiner le système qualité et perfectionner les ressources humaines. Pour sa part, le président du Conseil national économie et social (CNES), Mohamed Seghir Babès, a exposé les grandes lignes des comités ad hoc en précisant que la création de 15 comités ad hoc, notamment pour ce qui est de celui inhérent au développement et au renforcement des capacités des PME, et parmi d'autres, celui relatif aux acteurs du marché dans leur articulation (sphère de la production marchande et sphère bancaire-sphère financière", vise surtout à suivre et à évaluer l'organisation de l'économie. «Le comité ad hoc de la PME tend à lever l'équivoque entre le mandat de ceux qui activent les politiques publiques et ceux qui procèdent à l'analyse et à l'évaluation de ces mêmes politiques publiques» a-t-il indiqué. Babès accorde une importance capitale aux PME dans la croissance économique en soulignant «qu'elles forment l'essentiel de l'ossature du secteur privé et sont les plus aptes à porter l'immense double défi de création de la richesse et d'emploi». Pour Zaïm Bensaci, président du CNCPME, le comité ad hoc permet d'apporter la perception réaliste des problèmes de la PME en intégrant les exigences du contexte de la crise internationale et se préparer pour y faire face. Il a notamment soulevé les obstacles rencontrés par les PME, tels que «l'accès aux sources de financement, la fiscalité et le foncier industriel qui sont des questions récurrentes» a-t-il dit. Il a, par ailleurs, mis l'accent sur la nécessité d'innover et de développer la recherche et développement et les technopoles et la mise à niveau rapide des PME. Le CNES a décidé de boycotter la réunion de l'assemblée générale de l'association des conseils économiques et sociaux prévue en mai et juin prochains à New York (USA). A. A.