En Algérie rien, si l'on juge par les divers témoignages, n'est fait pour soulager l'autiste et sa famille et il sont plus de 39 milles cas, selon une récente statistique du ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l'étranger. En Algérie rien, si l'on juge par les divers témoignages, n'est fait pour soulager l'autiste et sa famille et il sont plus de 39 milles cas, selon une récente statistique du ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l'étranger. La journée mondiale de sensibilisation à l'autisme a été décrétée par l'Assemblée générale des Nations Unies en 2008 et fixée au 2 avril. Une façon d'attirer l'attention des gouvernants et des ONG sur la nécessité de suivre et d'aider à l'intégration des autistes dans la société. Bien qu'il soit très peu connu, cet handicap est très présent chez la population. Un handicap qui, souvent, perturbe la vie de toute une famille. Si parfois l'enfant autiste est pris en charge par ses parents, qui rencontrent, par ailleurs, d'énormes difficultés à lui trouver une école, pour l'autiste adulte, le quotidien est souvent fait de railleries et de moqueries. Heureusement qu'il est dans sa bulle, sommes-nous tentés de dire. Si dans les pays dit développés la situation reste aussi dramatique, en Algérie rien, si l'on juge par les divers témoignages, n'est fait pour soulager l'autiste et sa famille et il sont plus de 39 milles autistes, selon une récente statistique du ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l'étranger. Une «raison» qui a fait que Djamel Ould Abbès a déclaré "l'année 2010, année de l'autisme". Il en a fait l'annonce lors d'une visite d'inspection au Centre médico-pédagogique pour enfants inadaptés mentaux et à l'Ecole des jeunes sourds à Alger. Le ministre a indiqué lors de cette même visite que le gouvernement a pris la décision de construire, dès cette année, deux centres nationaux de l'autisme, un à Annaba et un autre à Baraki (Est d'Alger). Une bonne initiative qui est loin, très loin de répondre aux attentes de ces milliers d'autistes et de leurs familles comme en témoigne Mme Chitour Bahia, mère d'un autiste et Mme Safia Bouarioua, secrétaire générale de l'"Association de l'Enfant Autiste" (A.E.A). La première raconte son désarroi quand elle a appris que son enfant était autiste; elle qui n'avait rien vu venir pendant les deux premières années de l'existence de Yanis. La seconde veut briser la solitude des mamans en tentant par le truchement de son association, d'aider ceux qui ne savent pas comment appréhender cet handicap, soit par ignorance, par manque de moyens, ou par solitude. OAA La journée mondiale de sensibilisation à l'autisme a été décrétée par l'Assemblée générale des Nations Unies en 2008 et fixée au 2 avril. Une façon d'attirer l'attention des gouvernants et des ONG sur la nécessité de suivre et d'aider à l'intégration des autistes dans la société. Bien qu'il soit très peu connu, cet handicap est très présent chez la population. Un handicap qui, souvent, perturbe la vie de toute une famille. Si parfois l'enfant autiste est pris en charge par ses parents, qui rencontrent, par ailleurs, d'énormes difficultés à lui trouver une école, pour l'autiste adulte, le quotidien est souvent fait de railleries et de moqueries. Heureusement qu'il est dans sa bulle, sommes-nous tentés de dire. Si dans les pays dit développés la situation reste aussi dramatique, en Algérie rien, si l'on juge par les divers témoignages, n'est fait pour soulager l'autiste et sa famille et il sont plus de 39 milles autistes, selon une récente statistique du ministère de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Communauté nationale à l'étranger. Une «raison» qui a fait que Djamel Ould Abbès a déclaré "l'année 2010, année de l'autisme". Il en a fait l'annonce lors d'une visite d'inspection au Centre médico-pédagogique pour enfants inadaptés mentaux et à l'Ecole des jeunes sourds à Alger. Le ministre a indiqué lors de cette même visite que le gouvernement a pris la décision de construire, dès cette année, deux centres nationaux de l'autisme, un à Annaba et un autre à Baraki (Est d'Alger). Une bonne initiative qui est loin, très loin de répondre aux attentes de ces milliers d'autistes et de leurs familles comme en témoigne Mme Chitour Bahia, mère d'un autiste et Mme Safia Bouarioua, secrétaire générale de l'"Association de l'Enfant Autiste" (A.E.A). La première raconte son désarroi quand elle a appris que son enfant était autiste; elle qui n'avait rien vu venir pendant les deux premières années de l'existence de Yanis. La seconde veut briser la solitude des mamans en tentant par le truchement de son association, d'aider ceux qui ne savent pas comment appréhender cet handicap, soit par ignorance, par manque de moyens, ou par solitude. OAA