La monnaie européenne reculait davantage hier face au dollar pénalisée par un regain d'inquiétude sur la situation budgétaire de la Grèce et sur les risques de contagion au sein de la zone euro, alors que le dollar reste soutenu par des indicateurs rassurants sur la reprise américaine. L'euro cotait 1,3415 dollar contre 1,3485 dollar lundi soir et reculait aussi face à la devise japonaise à 125,90 yens contre 127,26 yens la veille. Le dollar a baissé face au yen, à 93,85 yens contre 94,36 yens lundi soir. L'euro continue de pâtir des craintes sur l'endettement (des pays européens) et particulièrement de la Grèce qui doit prochainement tenter une nouvelle phase de refinancement, à hauteur d'environ 10 milliards d'euros, expliquaient les experts. Par ailleurs, le marché redoute une propagation de la crise grecque à d'autres pays de la périphérie de la zone euro en proie à des difficultés budgétaires, comme le Portugal, l'Espagne et l'Italie. Autre facteur de baisse de l'euro, l'amélioration des indicateurs aux Etats-Unis qui ont "enregistré une forte hausse des créations d'emploi en mars, et l'activité dans les services comme les promesses de ventes de logements (pour février) ont agréablement surpris", notaient les analystes qui précisent que ces chiffres annoncent que la reprise américaine bat à nouveau son plein. Dans ce contexte, les cambistes devaient être particulièrement attentifs à la publication hier des minutes de la réunion du 16 mars dernier des gouverneurs de la Réserve fédérale américaine (Fed), en quête d'indications sur la date d'un éventuel relèvement des taux de l'institution, maintenus proche de zéro depuis décembre 2008. La livre britannique perdait du terrain face à l'euro à 88,51 pence pour un euro, comme face au dollar à 1,5154 dollar. La monnaie helvétique se stabilisait face à l'euro à 1,4323 franc suisse pour un euro, et baissait face au dollar à 1,0676 franc suisse pour un dollar. L'once d'or valait 1.124,60 dollars contre 1.123,50 dollars jeudi soir. (APS) La monnaie européenne reculait davantage hier face au dollar pénalisée par un regain d'inquiétude sur la situation budgétaire de la Grèce et sur les risques de contagion au sein de la zone euro, alors que le dollar reste soutenu par des indicateurs rassurants sur la reprise américaine. L'euro cotait 1,3415 dollar contre 1,3485 dollar lundi soir et reculait aussi face à la devise japonaise à 125,90 yens contre 127,26 yens la veille. Le dollar a baissé face au yen, à 93,85 yens contre 94,36 yens lundi soir. L'euro continue de pâtir des craintes sur l'endettement (des pays européens) et particulièrement de la Grèce qui doit prochainement tenter une nouvelle phase de refinancement, à hauteur d'environ 10 milliards d'euros, expliquaient les experts. Par ailleurs, le marché redoute une propagation de la crise grecque à d'autres pays de la périphérie de la zone euro en proie à des difficultés budgétaires, comme le Portugal, l'Espagne et l'Italie. Autre facteur de baisse de l'euro, l'amélioration des indicateurs aux Etats-Unis qui ont "enregistré une forte hausse des créations d'emploi en mars, et l'activité dans les services comme les promesses de ventes de logements (pour février) ont agréablement surpris", notaient les analystes qui précisent que ces chiffres annoncent que la reprise américaine bat à nouveau son plein. Dans ce contexte, les cambistes devaient être particulièrement attentifs à la publication hier des minutes de la réunion du 16 mars dernier des gouverneurs de la Réserve fédérale américaine (Fed), en quête d'indications sur la date d'un éventuel relèvement des taux de l'institution, maintenus proche de zéro depuis décembre 2008. La livre britannique perdait du terrain face à l'euro à 88,51 pence pour un euro, comme face au dollar à 1,5154 dollar. La monnaie helvétique se stabilisait face à l'euro à 1,4323 franc suisse pour un euro, et baissait face au dollar à 1,0676 franc suisse pour un dollar. L'once d'or valait 1.124,60 dollars contre 1.123,50 dollars jeudi soir. (APS)