La monnaie unique accentuait son recul face au dollar hier, les cambistes profitant d'une brève incursion de l'euro au-dessus de 1,38 dollar, une première depuis mars, pour engranger quelques bénéfices, à l'orée d'une semaine chargée sur le plan macroéconomique. L'euro cotait 1,3687 dollar contre 1,3787 dollar vendredi. Face à la devise nippone, la monnaie unique européenne perdait du terrain à 113,92 yens contre 114,79 yens vendredi vers 21H00 GMT. L'euro avait atteint 115,24 yens, au-dessus des 115 yens pour la première fois depuis le 18 mai, la presse nippone prêtant à la Banque du Japon (BoJ) l'intention d'assouplir davantage sa politique monétaire. Le dollar était presque stable face à la devise japonaise à 83,23 yens contre 83,25 yens vendredi soir. La veille, la monnaie unique européenne était montée jusqu'à 1,3807 dollar, son niveau le plus fort depuis le 17 mars, portée par les propos du Premier ministre chinois Wen Jiabao, qui s'est déclaré ce week-end en faveur d'un soutien à l'euro et à la Grèce, notaient des analystes. Lors d'un discours devant le Parlement grec, M. Wen a rappelé que depuis l'explosion de la crise, la Chine s'est dit déterminée à "soutenir la stabilité de l'euro" et a promis "de ne pas réduire le pourcentage des obligations européennes qui font partie des réserves de changes chinoises". Les cambistes cherchaient ainsi à s'assurer quelques bénéfices alors que les inquiétudes sur la santé budgétaire de certains pays de la zone euro, principalement la Grèce, l'Irlande, le Portugal, et l'Espagne, "semblent être un peu oubliées", notaient les analystes de Commerzbank. Cependant, cette situation ne devrait pas durer, prévenaient les experts. En effet, ces inquiétudes pouvaient resurgir hier alors que le gouvernement grec doit présenter un avant-projet de budget pour 2011 ancré sur la rigueur, prévoyant une réduction du déficit public a 7,6% du PIB. De son côté, le dollar restait sous pression alors que les marchés s'attendent à une annonce prochaine par la Réserve fédérale américaine (Fed) de nouvelles mesures afin d'empêcher un ralentissement trop marqué de la reprise de la première économie mondiale. La monnaie unique accentuait son recul face au dollar hier, les cambistes profitant d'une brève incursion de l'euro au-dessus de 1,38 dollar, une première depuis mars, pour engranger quelques bénéfices, à l'orée d'une semaine chargée sur le plan macroéconomique. L'euro cotait 1,3687 dollar contre 1,3787 dollar vendredi. Face à la devise nippone, la monnaie unique européenne perdait du terrain à 113,92 yens contre 114,79 yens vendredi vers 21H00 GMT. L'euro avait atteint 115,24 yens, au-dessus des 115 yens pour la première fois depuis le 18 mai, la presse nippone prêtant à la Banque du Japon (BoJ) l'intention d'assouplir davantage sa politique monétaire. Le dollar était presque stable face à la devise japonaise à 83,23 yens contre 83,25 yens vendredi soir. La veille, la monnaie unique européenne était montée jusqu'à 1,3807 dollar, son niveau le plus fort depuis le 17 mars, portée par les propos du Premier ministre chinois Wen Jiabao, qui s'est déclaré ce week-end en faveur d'un soutien à l'euro et à la Grèce, notaient des analystes. Lors d'un discours devant le Parlement grec, M. Wen a rappelé que depuis l'explosion de la crise, la Chine s'est dit déterminée à "soutenir la stabilité de l'euro" et a promis "de ne pas réduire le pourcentage des obligations européennes qui font partie des réserves de changes chinoises". Les cambistes cherchaient ainsi à s'assurer quelques bénéfices alors que les inquiétudes sur la santé budgétaire de certains pays de la zone euro, principalement la Grèce, l'Irlande, le Portugal, et l'Espagne, "semblent être un peu oubliées", notaient les analystes de Commerzbank. Cependant, cette situation ne devrait pas durer, prévenaient les experts. En effet, ces inquiétudes pouvaient resurgir hier alors que le gouvernement grec doit présenter un avant-projet de budget pour 2011 ancré sur la rigueur, prévoyant une réduction du déficit public a 7,6% du PIB. De son côté, le dollar restait sous pression alors que les marchés s'attendent à une annonce prochaine par la Réserve fédérale américaine (Fed) de nouvelles mesures afin d'empêcher un ralentissement trop marqué de la reprise de la première économie mondiale.