La hausse surprise des nouvelles demandes d'allocation chômage aux Etats-Unis, annoncée jeudi, a accentué la baisse des prix du brut, déjà affaiblis par le repli des Bourses mondiales. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai perdait 39 cents à 85,20 dollars par rapport à la clôture de mercredi sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, alors que celui de "brut léger texan" (WTI) pour la même échéance cédait 29 cents à 85,59 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). Selon les analystes, la baisse des prix est principalement due à un regain temporaire d'aversion au risque alimenté par la faiblesse des marchés d'actions. Le pétrole suivait jeudi les Bourses mondiales à la baisse après la publication d'une hausse inattendue des nouvelles inscriptions au chômage aux Etats-Unis au cours de la semaine close le 3 avril, à 460 mille nouvelles demandes d'allocations (en données corrigées des variations saisonnières), soit 4% de plus que la semaine précédente. Ces chiffres viennent estomper les espoirs d'une reprise rapide de la demande du premier consommateur mondial de pétrole. Les cours du pétrole avaient fortement rebondi en début de semaine, grimpant mardi à leur plus haut niveau depuis octobre 2008, atteignant 86,63 dollars à Londres et 87,09 dollars à New York, suite au rapport mensuel sur l'emploi aux Etats-Unis meilleur que prévu. Autre facteur baissier, l'augmentation plus que prévue des réserves du premier consommateur mondial de pétrole lors de la semaine achevée le 2 avril. La hausse surprise des nouvelles demandes d'allocation chômage aux Etats-Unis, annoncée jeudi, a accentué la baisse des prix du brut, déjà affaiblis par le repli des Bourses mondiales. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en mai perdait 39 cents à 85,20 dollars par rapport à la clôture de mercredi sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres, alors que celui de "brut léger texan" (WTI) pour la même échéance cédait 29 cents à 85,59 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). Selon les analystes, la baisse des prix est principalement due à un regain temporaire d'aversion au risque alimenté par la faiblesse des marchés d'actions. Le pétrole suivait jeudi les Bourses mondiales à la baisse après la publication d'une hausse inattendue des nouvelles inscriptions au chômage aux Etats-Unis au cours de la semaine close le 3 avril, à 460 mille nouvelles demandes d'allocations (en données corrigées des variations saisonnières), soit 4% de plus que la semaine précédente. Ces chiffres viennent estomper les espoirs d'une reprise rapide de la demande du premier consommateur mondial de pétrole. Les cours du pétrole avaient fortement rebondi en début de semaine, grimpant mardi à leur plus haut niveau depuis octobre 2008, atteignant 86,63 dollars à Londres et 87,09 dollars à New York, suite au rapport mensuel sur l'emploi aux Etats-Unis meilleur que prévu. Autre facteur baissier, l'augmentation plus que prévue des réserves du premier consommateur mondial de pétrole lors de la semaine achevée le 2 avril.