Pour le président Abdelaziz, les autorités marocaines qui continuent à faire la sourde oreille aux souffrances des détenus sahraouis dans les prisons, ne cessent d'user de la force publique dans des actes de répression, de kidnapping, de torture et d'arrestation dans les régions occupées du Sahara Occidental. Pour le président Abdelaziz, les autorités marocaines qui continuent à faire la sourde oreille aux souffrances des détenus sahraouis dans les prisons, ne cessent d'user de la force publique dans des actes de répression, de kidnapping, de torture et d'arrestation dans les régions occupées du Sahara Occidental. L'agression dont ont été victimes les 12 défenseurs des droits de l'Homme lors de leur retour des camps des réfugiés, à l'aéroport d'El Aayoune (la capitale occupée du Sahara occidental), est l'œuvre des autorités marocaines, selon le président sahraoui Mohamed Abdelaziz, qui a souligné, dans une lettre adressée au secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, que les autorités marocaines oeuvrent «à instaurer un climat de racisme haineux et à encourager le chauvinisme aveugle» à travers «la mobilisation de milices de services de sécurité marocains en tenue de colons marocains pour perpétrer des actes de terreur mettant en danger la vie des citoyens sahraouis». Pour le président Abdelaziz, cité par l'Agence de presse sahraouie (SPS), «les autorités marocaines qui continuent à faire la sourde oreille aux souffrances des détenus sahraouis dans les prisons, ne cessent d'user de la force publique dans des actes de répression, de kidnapping, de torture et d'arrestation dans les régions occupées du Sahara occidental ». De son côté, la militante sahraouie des droits de l'Homme, Aminatou Haidar, a dit craindre un «nouveau massacre similaire à celui de Timor oriental» dans les territoires sahraouis occupés, au lendemain de la sauvage agression des défenseurs sahraouis des droits de l'Homme à El Ayoun par des colons marocains. Dans un communiqué rendu public à Madrid, la "Ghandi" Sahraouie Aminatou Haidar, dénonce le fait que «plus de 3.000 colons marocains se sont rendus en masse à l'aéroport d'El Ayoun pour agresser sauvagement les 12 activistes sahraouis qui rentraient des camps de réfugiés», soulignant que «les Sahraouis n'ont rien contre le peuple marocain, mais que leur gouvernement veut utiliser ce dernier dans ce conflit en incitant les colons à agresser la population sahraouie qui vit sous l'occupation». Lauréate de plusieurs distinctions, dont le dernier, reçu jeudi à Leganes, une localité proche de Madrid, le prix "Dolores Ibarruri" que lui a décerné la coalition d'Izquierda Unida (IU-Gauche Unie), Aminatou Haidar lance un appel également au président permanent de l'UE, Herman Van Rompuy à l'effet d'intervenir de «manière urgente» auprès du Maroc pour qu'il respecte les exigences européennes en matière de droits de l'Homme, et éviter ainsi la mort des six prisonniers de conscience sahraouis, en grève de la faim. Dans une lettre adressée à M. Van Rompuy, Aminatou Haïder estime qu'il faut «éviter, le plus rapidement possible, un dénouement tragique de la situation des six défenseurs sahraouis des droits de l'Homme détenus dans la prison de Sale (au Maroc), depuis leur arrestation en octobre dernier». S. B. L'agression dont ont été victimes les 12 défenseurs des droits de l'Homme lors de leur retour des camps des réfugiés, à l'aéroport d'El Aayoune (la capitale occupée du Sahara occidental), est l'œuvre des autorités marocaines, selon le président sahraoui Mohamed Abdelaziz, qui a souligné, dans une lettre adressée au secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, que les autorités marocaines oeuvrent «à instaurer un climat de racisme haineux et à encourager le chauvinisme aveugle» à travers «la mobilisation de milices de services de sécurité marocains en tenue de colons marocains pour perpétrer des actes de terreur mettant en danger la vie des citoyens sahraouis». Pour le président Abdelaziz, cité par l'Agence de presse sahraouie (SPS), «les autorités marocaines qui continuent à faire la sourde oreille aux souffrances des détenus sahraouis dans les prisons, ne cessent d'user de la force publique dans des actes de répression, de kidnapping, de torture et d'arrestation dans les régions occupées du Sahara occidental ». De son côté, la militante sahraouie des droits de l'Homme, Aminatou Haidar, a dit craindre un «nouveau massacre similaire à celui de Timor oriental» dans les territoires sahraouis occupés, au lendemain de la sauvage agression des défenseurs sahraouis des droits de l'Homme à El Ayoun par des colons marocains. Dans un communiqué rendu public à Madrid, la "Ghandi" Sahraouie Aminatou Haidar, dénonce le fait que «plus de 3.000 colons marocains se sont rendus en masse à l'aéroport d'El Ayoun pour agresser sauvagement les 12 activistes sahraouis qui rentraient des camps de réfugiés», soulignant que «les Sahraouis n'ont rien contre le peuple marocain, mais que leur gouvernement veut utiliser ce dernier dans ce conflit en incitant les colons à agresser la population sahraouie qui vit sous l'occupation». Lauréate de plusieurs distinctions, dont le dernier, reçu jeudi à Leganes, une localité proche de Madrid, le prix "Dolores Ibarruri" que lui a décerné la coalition d'Izquierda Unida (IU-Gauche Unie), Aminatou Haidar lance un appel également au président permanent de l'UE, Herman Van Rompuy à l'effet d'intervenir de «manière urgente» auprès du Maroc pour qu'il respecte les exigences européennes en matière de droits de l'Homme, et éviter ainsi la mort des six prisonniers de conscience sahraouis, en grève de la faim. Dans une lettre adressée à M. Van Rompuy, Aminatou Haïder estime qu'il faut «éviter, le plus rapidement possible, un dénouement tragique de la situation des six défenseurs sahraouis des droits de l'Homme détenus dans la prison de Sale (au Maroc), depuis leur arrestation en octobre dernier». S. B.