L'Agence nationale d'intermédiation et de régulation foncière (Aniref), compte élargir ses activités en se lançant dans la réalisation de zones industrielles pour promouvoir le foncier industriel. Dans une déclaration à l'APS, Hassiba Mokraoui, directrice générale de cet organisme public, a expliqué qu'il est question de réaliser, notamment, des bâtiments et hangars modulables qui abriteront les usines à installer, d'engager des travaux de viabilisation (réseaux d'électricité, gaz, eau...) et de mettre en place un dispositif de gardiennage. L'étude élaborée autour de ce projet, qui sera présentée dans les prochains jours au ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements, propose une vingtaine de régions parmi lesquelles, l'une abritera une zone industrielle-pilote dont les travaux de réalisation pourraient être entamés avant la fin de l'année en cours. La sélection de ces régions s'est faite sur la base de critères qui mettent en avant les régions du pays les mieux desservies par les réseaux routier et ferroviaire, ainsi que celles situées à proximité des ports et aéroports et disposant d'autres tissus industriels. Abordant le volet du financement et la réalisation de ces nouvelles zones industrielles et leur gestion, Mme Mokraoui explique que l'étude propose trois scénarios. Il s'agira, soit de céder de gré à gré à l'Aniref les assiettes foncières destinées à la réalisation de ces zones, soit que l'Etat reste propriétaire des terrains et accorde un mandat à cet organisme pour l'aménagement des zones, ou encore créer une société entre cette agence et un ou plusieurs partenaires privés pour la réalisation et la gestion des futures zones industrielles, explique la même responsable. Ines Amroude L'Agence nationale d'intermédiation et de régulation foncière (Aniref), compte élargir ses activités en se lançant dans la réalisation de zones industrielles pour promouvoir le foncier industriel. Dans une déclaration à l'APS, Hassiba Mokraoui, directrice générale de cet organisme public, a expliqué qu'il est question de réaliser, notamment, des bâtiments et hangars modulables qui abriteront les usines à installer, d'engager des travaux de viabilisation (réseaux d'électricité, gaz, eau...) et de mettre en place un dispositif de gardiennage. L'étude élaborée autour de ce projet, qui sera présentée dans les prochains jours au ministère de l'Industrie et de la Promotion des investissements, propose une vingtaine de régions parmi lesquelles, l'une abritera une zone industrielle-pilote dont les travaux de réalisation pourraient être entamés avant la fin de l'année en cours. La sélection de ces régions s'est faite sur la base de critères qui mettent en avant les régions du pays les mieux desservies par les réseaux routier et ferroviaire, ainsi que celles situées à proximité des ports et aéroports et disposant d'autres tissus industriels. Abordant le volet du financement et la réalisation de ces nouvelles zones industrielles et leur gestion, Mme Mokraoui explique que l'étude propose trois scénarios. Il s'agira, soit de céder de gré à gré à l'Aniref les assiettes foncières destinées à la réalisation de ces zones, soit que l'Etat reste propriétaire des terrains et accorde un mandat à cet organisme pour l'aménagement des zones, ou encore créer une société entre cette agence et un ou plusieurs partenaires privés pour la réalisation et la gestion des futures zones industrielles, explique la même responsable. Ines Amroude