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«Nous ne pouvons pas obliger un malade à se soigner»
Dr Abderahmane Habibeche, psychiatre et médecin-chef
Publié dans Le Midi Libre le 09 - 05 - 2010

«Actuellement, il existe deux centres de désintoxication qui sont opérationnels, à Blida et Sidi chahmi, deux CIST actifs, ceux de Annaba et de Sétif et le centre d'écoute de Bab el Oued; ce n'est pas du tout suffisant vu le nombre de demandeurs qui ne cesse d'augmenter», affirme le Dr Habibeche  psychiatre et médecin-chef au centre de désintoxication de Blida. Et de continuer : «On a un établi un programme pour créer 53 centres d'intérêt de soin pour les toxicomanes (CIST) à travers tout le territoire national où le toxicomane vient en consultation seulement sur avis du psychiatre ou du psychologue et ou le suivi sera à titre ambulatoire et 15 centres de désintoxication où le toxicomane peut bénéficier d'une hospitalisation. La durée de prise en charge dans ces centres, comme l'explique ce psychiatre, est de 21 jours qui se font sur deux volets : médicamenteux et psychothérapique, où il sera pris en charge par des psychologues et des psychiatres. Après la cure de 21 jours, le patient sera suivi durant une année de sevrage par des consultations régulières avec des psychologues et psychiatres. Quand à la tranche d'age des toxicomanes elle varie entre 20 et 40 ans, avec une prédominance d'hommes. Selon le Dr Habibeche, les rechutes ne sont pas à exclure, particulièrement si le patient se retrouve dans le même environnement qu'au départ (problèmes familiaux, problèmes de travails…) «Il est clair qu'il retombera facilement dans la toxicomanie, car la personnalité du toxicomane est une personnalité fragile et psychopathologie». Quand aux décès par overdose, le Dr Habibeche nous dit en ignorer le nombre et qu'il faudrait se renseigner auprès des services de médecine légale.
O. A. A.
«Actuellement, il existe deux centres de désintoxication qui sont opérationnels, à Blida et Sidi chahmi, deux CIST actifs, ceux de Annaba et de Sétif et le centre d'écoute de Bab el Oued; ce n'est pas du tout suffisant vu le nombre de demandeurs qui ne cesse d'augmenter», affirme le Dr Habibeche  psychiatre et médecin-chef au centre de désintoxication de Blida. Et de continuer : «On a un établi un programme pour créer 53 centres d'intérêt de soin pour les toxicomanes (CIST) à travers tout le territoire national où le toxicomane vient en consultation seulement sur avis du psychiatre ou du psychologue et ou le suivi sera à titre ambulatoire et 15 centres de désintoxication où le toxicomane peut bénéficier d'une hospitalisation. La durée de prise en charge dans ces centres, comme l'explique ce psychiatre, est de 21 jours qui se font sur deux volets : médicamenteux et psychothérapique, où il sera pris en charge par des psychologues et des psychiatres. Après la cure de 21 jours, le patient sera suivi durant une année de sevrage par des consultations régulières avec des psychologues et psychiatres. Quand à la tranche d'age des toxicomanes elle varie entre 20 et 40 ans, avec une prédominance d'hommes. Selon le Dr Habibeche, les rechutes ne sont pas à exclure, particulièrement si le patient se retrouve dans le même environnement qu'au départ (problèmes familiaux, problèmes de travails…) «Il est clair qu'il retombera facilement dans la toxicomanie, car la personnalité du toxicomane est une personnalité fragile et psychopathologie». Quand aux décès par overdose, le Dr Habibeche nous dit en ignorer le nombre et qu'il faudrait se renseigner auprès des services de médecine légale.
O. A. A.


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