La course vers les échéances électorales (communales et législatives) est enclenchée par les partis politiques, notamment le RND qui investit le champ politique d'une manière assidue et traduit sur le terrain certaines initiatives politiques qui déroutent les observateurs et ses alliés de la coalition présidentielle. La course vers les échéances électorales (communales et législatives) est enclenchée par les partis politiques, notamment le RND qui investit le champ politique d'une manière assidue et traduit sur le terrain certaines initiatives politiques qui déroutent les observateurs et ses alliés de la coalition présidentielle. L'épisode de l'accord conclu entre le Parti des travailleurs (PT) de Louisa Hanoune, proche des thèses trotskistes et le Rassemblement national démocratique (RND) de tendance libérale que dirige Ahmed Ouyahia et qui chapeaute également le premier ministère avait soulevé des vagues au sein de l'Alliance présidentielle. Et pour cause, les observateurs se perdent en conjectures et n'arrivent pas à expliquer les affinités entre un parti politique qui se dit d'obédience gauchiste, le PT et le RND de Ahmed Ouyahia dont l'idéologie est très éloignée des thèses que défend Louisa Hanoune. Accord politique «conjoncturel» avait soutenu Louisa Hanoune qui avait expliqué que «rien n'interdit à son parti de signer des accords politiques avec des partis nationaux», qui sont des «enjeux de grande importance», pour son parti. Si l'on se fie aux programmes politiques de ces deux partis, il n'est nulle trace de points de convergence. Et à en croire le porte-parole du RND, Miloud Chorfi, qui est intervenu, samedi dernier, à l'ouverture d'une conférence de wilaya organisée par le RND dans le cadre de la commémoration du 65e anniversaire des massacres du 8 Mai 1945, «la signature d'accords politiques avec d'autres partis ne signifie pas l'abandon de l'Alliance présidentielle». Le porte-parole du RND prend-il le soin de rassurer ses partenaires de l'Alliance présidentielle en prévision de la conclusion d'autres accords politiques avec d'autres partis politiques outre le PT. Pragmatisme politique du RND et du PT ou réelle volonté des deux formations politiques de faire de cet accord « une dimension importante et à la hauteur des enjeux », face à une conjoncture politique et économique difficile que traverse le pays. Il reste que c'est, jusqu'à ce jour, le RND qui a tiré les dividendes à la faveur de cet accord qui lie les deux partis politiques. Les élus locaux du PT ont reçu consignes de leur direction de voter en faveur des candidats du RND, à de rares exceptions, lors des élections pour le renouvellement partiel des membres du conseil de la Nation le 29 décembre. La consigne a été appliquée à la lettre par les édiles de Louisa Hanoune. L'épisode des élections sénatoriales a été mal vécu par le FLN et le MSP, membres de l'Alliance présidentielle qui n'ont pas compris que le RND ait dérogé à une certaine «éthique politique» et fait cause commune avec «un adversaire» politique de la coalition présidentielle. Toujours est-il que pour Mohamed Djemâa, chargé de la communication et des affaires juridiques au sein du MSP de Bouguerra Soltani, contacté hier par nos soins, «les affaires de l'Alliance présidentielle ont repris normalement leur cours après l'épisode des sénatoriales», assurant que «l'Alliance présidentielle existe toujours» et qu'«il n'y a rien de nouveau». Il refuse de commenter les informations qui laissent entendre que le RND envisagerait de conclure d'autres accords politiques avec d'autres partis politiques. Au FLN, le chargé de la communication, Aïssi Kassa a été plus sec dans sa réponse à la question que l'on lui a posée sur cette éventualité que l'on prête au RND. Il dit qu' «il n'a pas d'information» et que cela relève, selon lui «de conjectures de journalistes». L'épisode de l'accord conclu entre le Parti des travailleurs (PT) de Louisa Hanoune, proche des thèses trotskistes et le Rassemblement national démocratique (RND) de tendance libérale que dirige Ahmed Ouyahia et qui chapeaute également le premier ministère avait soulevé des vagues au sein de l'Alliance présidentielle. Et pour cause, les observateurs se perdent en conjectures et n'arrivent pas à expliquer les affinités entre un parti politique qui se dit d'obédience gauchiste, le PT et le RND de Ahmed Ouyahia dont l'idéologie est très éloignée des thèses que défend Louisa Hanoune. Accord politique «conjoncturel» avait soutenu Louisa Hanoune qui avait expliqué que «rien n'interdit à son parti de signer des accords politiques avec des partis nationaux», qui sont des «enjeux de grande importance», pour son parti. Si l'on se fie aux programmes politiques de ces deux partis, il n'est nulle trace de points de convergence. Et à en croire le porte-parole du RND, Miloud Chorfi, qui est intervenu, samedi dernier, à l'ouverture d'une conférence de wilaya organisée par le RND dans le cadre de la commémoration du 65e anniversaire des massacres du 8 Mai 1945, «la signature d'accords politiques avec d'autres partis ne signifie pas l'abandon de l'Alliance présidentielle». Le porte-parole du RND prend-il le soin de rassurer ses partenaires de l'Alliance présidentielle en prévision de la conclusion d'autres accords politiques avec d'autres partis politiques outre le PT. Pragmatisme politique du RND et du PT ou réelle volonté des deux formations politiques de faire de cet accord « une dimension importante et à la hauteur des enjeux », face à une conjoncture politique et économique difficile que traverse le pays. Il reste que c'est, jusqu'à ce jour, le RND qui a tiré les dividendes à la faveur de cet accord qui lie les deux partis politiques. Les élus locaux du PT ont reçu consignes de leur direction de voter en faveur des candidats du RND, à de rares exceptions, lors des élections pour le renouvellement partiel des membres du conseil de la Nation le 29 décembre. La consigne a été appliquée à la lettre par les édiles de Louisa Hanoune. L'épisode des élections sénatoriales a été mal vécu par le FLN et le MSP, membres de l'Alliance présidentielle qui n'ont pas compris que le RND ait dérogé à une certaine «éthique politique» et fait cause commune avec «un adversaire» politique de la coalition présidentielle. Toujours est-il que pour Mohamed Djemâa, chargé de la communication et des affaires juridiques au sein du MSP de Bouguerra Soltani, contacté hier par nos soins, «les affaires de l'Alliance présidentielle ont repris normalement leur cours après l'épisode des sénatoriales», assurant que «l'Alliance présidentielle existe toujours» et qu'«il n'y a rien de nouveau». Il refuse de commenter les informations qui laissent entendre que le RND envisagerait de conclure d'autres accords politiques avec d'autres partis politiques. Au FLN, le chargé de la communication, Aïssi Kassa a été plus sec dans sa réponse à la question que l'on lui a posée sur cette éventualité que l'on prête au RND. Il dit qu' «il n'a pas d'information» et que cela relève, selon lui «de conjectures de journalistes».