Selon l'Algex, l'offre domestique en produits de la pêche reste encore faible au vu du ratio de consommation annuelle de poisson par habitant (4,58 kg en 2001, 5,12 kg en 2006), toujours en deçà de la norme fixée par l'ONU (6,2kg). Elle indique qu'«avec une zone de pêche estimée à 9,5 millions d'hectares, un littoral de 1.200 km et des ressources halieutiques en zone côtière évaluées à 200.000 tonnes /an, l'Algérie dispose de réserves de 100.000 tonnes/an environ». Dans le souci d'une exploitation optimale des ressources halieutiques et à l'effet de pallier les nombreuses insuffisances du secteur, l'Algérie s'est engagée dans le cadre du plan quinquennal de soutien à la croissance (2005-2009), dans un ambitieux programme de valorisation des capacités aquacoles destiné à satisfaire la consommation intérieure, créer des milliers d'emplois et assurer un développement économique à travers l'exportation». Cependant, les opportunités de développement du secteur halieutique national sont en mesure de placer l'Algérie en bonne position pour intégrer et percer le marché extérieur, tant la coopération avec des armateurs et professionnels étrangers dans ce domaine commence à porter ses fruits, notamment, avec les entreprises hongroises qui ont une grande expérience dans l'aquaculture et l'élevage de poissons en eau douce. Des sociétés mixtes algéro-hongroises sont en collaboration à Sétif et à Aïn Defla. «Renouvellement, modernisation et réhabilitation de la flotte et des infrastructures portuaires, optimisation des capacités de production, notamment aquacoles et de transformation des produits de la pêche constituent les priorités de la politique de développement du secteur. Le bilan du secteur fait ressortir de nombreuses réalisations, mais les besoins nécessaires au développement de la filière restent considérables et d'autres actions sont programmées d'ici l'horizon 2014-2015» souligne l'Algex. En conclusion elle affirme que «comparativement aux pays voisins, l'Algérie reste un marché faiblement exportateur. Ses exportations ont totalisé 2.000 tonnes en 2009 représentant une valeur de 9,31 millions de dollars US. La crevette se réserve la part la plus importante avec une valeur de 4,76 millions de dollars US, suivie du thon rouge, du poulpe, de la sardine et de la langouste». A. A. Selon l'Algex, l'offre domestique en produits de la pêche reste encore faible au vu du ratio de consommation annuelle de poisson par habitant (4,58 kg en 2001, 5,12 kg en 2006), toujours en deçà de la norme fixée par l'ONU (6,2kg). Elle indique qu'«avec une zone de pêche estimée à 9,5 millions d'hectares, un littoral de 1.200 km et des ressources halieutiques en zone côtière évaluées à 200.000 tonnes /an, l'Algérie dispose de réserves de 100.000 tonnes/an environ». Dans le souci d'une exploitation optimale des ressources halieutiques et à l'effet de pallier les nombreuses insuffisances du secteur, l'Algérie s'est engagée dans le cadre du plan quinquennal de soutien à la croissance (2005-2009), dans un ambitieux programme de valorisation des capacités aquacoles destiné à satisfaire la consommation intérieure, créer des milliers d'emplois et assurer un développement économique à travers l'exportation». Cependant, les opportunités de développement du secteur halieutique national sont en mesure de placer l'Algérie en bonne position pour intégrer et percer le marché extérieur, tant la coopération avec des armateurs et professionnels étrangers dans ce domaine commence à porter ses fruits, notamment, avec les entreprises hongroises qui ont une grande expérience dans l'aquaculture et l'élevage de poissons en eau douce. Des sociétés mixtes algéro-hongroises sont en collaboration à Sétif et à Aïn Defla. «Renouvellement, modernisation et réhabilitation de la flotte et des infrastructures portuaires, optimisation des capacités de production, notamment aquacoles et de transformation des produits de la pêche constituent les priorités de la politique de développement du secteur. Le bilan du secteur fait ressortir de nombreuses réalisations, mais les besoins nécessaires au développement de la filière restent considérables et d'autres actions sont programmées d'ici l'horizon 2014-2015» souligne l'Algex. En conclusion elle affirme que «comparativement aux pays voisins, l'Algérie reste un marché faiblement exportateur. Ses exportations ont totalisé 2.000 tonnes en 2009 représentant une valeur de 9,31 millions de dollars US. La crevette se réserve la part la plus importante avec une valeur de 4,76 millions de dollars US, suivie du thon rouge, du poulpe, de la sardine et de la langouste». A. A.