Près de 40 mille élèves sur les 89.923 élèves scolarisés, tous cycles confondus, dans la wilaya d'El-Tarf bénéficient d'un repas chaud assuré par les 125 cantines scolaires réparties à travers la wilaya d'El-Tarf, qui compte 254 établissements primaires disséminés à travers les vingt-quatre communes composant la wilaya pour sept daïras, dont trois sont sur la bande frontalière. Près de 40 mille élèves sur les 89.923 élèves scolarisés, tous cycles confondus, dans la wilaya d'El-Tarf bénéficient d'un repas chaud assuré par les 125 cantines scolaires réparties à travers la wilaya d'El-Tarf, qui compte 254 établissements primaires disséminés à travers les vingt-quatre communes composant la wilaya pour sept daïras, dont trois sont sur la bande frontalière. Les repas sont assurés pour l'ensemble des élèves, néanmoins, la wilaya accuse un retard de 101 cantines équipées. A noter que les jeunes potaches sont restaurés dans 74 salles de cours aménagées en cantines, mais qui accusent un manque de personnel criant, et ce sont souvent les directeurs d'école qui se chargent des éléves. Les scolarisés de la zone rurale, notamment, souffrent le martyre à cause du froid glacial durant l'hiver, vu que les classes ne sont pas équipées de chauffage, ainsi que du manque de bus de ramassage scolaire. En effet, les véhicules octroyés depuis un peu plus de trois ans pour assurer le transport aux démunis sont accaparés par les Assemblées populaire communes qui n'ont mis en fonction qu'un tiers, les deux tiers restants sont souvent utilisés pour le transport du personnel administratif pour servir à d'autres fins. Ainsi donc, plusieurs parents ont eu l'ingénieuse idée de déménager vers les bourgs et agglomérations proches des écoles de leur progéniture, tels Dréan, El-Tarf, El-Kala… Beaucoup d'efforts ont été déployés ces dernières années dans ce domaine, avec l'ouverture de nombreuses cantines pour permettre aux jeunes écoliers, collégiens et lycéens d'apaiser leur faim. D'autres établissements suivront cette démarche encouragée non seulement par la Direction de l'éducation mais surtout par le premier responsable de la willaya qui ne ménage aucun effort dans ce sens. Pour preuve, il a eu à visiter une soixantaine d'établissements scolaires où il s'est enquis sur place de leur situation. Plusieurs établissements auraient bénéficié d'une enveloppe tant pour regler le problème de la restauration, que pour la réhabilitation de celles qui menacent la vie des élèves ainsi que pour le transport scolaire dans une région caractérisée par des caprices climatiques imprévisibles, allant du pluvieux glacial au torride poussiéreux dans les localités de Bougous, Oum Teboul, Chihani, Chébaïta Mokhtar... Le taux d'exclusion avait atteint, pour l'année écoulée, 12,06% dû, en particulier, aux conditions défavorables de scolarisation dont souffrent aussi bien les élèves que les enseignants exerçant en zones rurales où le taux d'occupation des classes dépasse celui des capacités d'accueil pour une parité des genres. Le problème a été plusieurs fois soulevé dans ces mêmes colonnes. Il faut reconnaître que l'Algérie est le seul pays en Afrique à offrir à ses enfants scolarisés à tous les cycles des repas chauds, c'est-à-dire des repas subventionnés, et à assurer le transport scolaire gratuitement. Enfin, notons que la santé scolaire est assurée par les quatorze centres de dépistage. Pour cette année, au mois d'avril dernier, 80.427 élèves ont été dépistés et pris en charge par des spécialistes. L'Algerie est le seul pays en Afrique, pour ne pas dire dans le monde, à assurer la gratuité du ramassage scolaire, de la scolarité, de la restauration et de la santé scolaire. Les repas offerts aux jeunes potaches sont subventionnés par l'Etat dans les trois cycles confondus. Les repas sont assurés pour l'ensemble des élèves, néanmoins, la wilaya accuse un retard de 101 cantines équipées. A noter que les jeunes potaches sont restaurés dans 74 salles de cours aménagées en cantines, mais qui accusent un manque de personnel criant, et ce sont souvent les directeurs d'école qui se chargent des éléves. Les scolarisés de la zone rurale, notamment, souffrent le martyre à cause du froid glacial durant l'hiver, vu que les classes ne sont pas équipées de chauffage, ainsi que du manque de bus de ramassage scolaire. En effet, les véhicules octroyés depuis un peu plus de trois ans pour assurer le transport aux démunis sont accaparés par les Assemblées populaire communes qui n'ont mis en fonction qu'un tiers, les deux tiers restants sont souvent utilisés pour le transport du personnel administratif pour servir à d'autres fins. Ainsi donc, plusieurs parents ont eu l'ingénieuse idée de déménager vers les bourgs et agglomérations proches des écoles de leur progéniture, tels Dréan, El-Tarf, El-Kala… Beaucoup d'efforts ont été déployés ces dernières années dans ce domaine, avec l'ouverture de nombreuses cantines pour permettre aux jeunes écoliers, collégiens et lycéens d'apaiser leur faim. D'autres établissements suivront cette démarche encouragée non seulement par la Direction de l'éducation mais surtout par le premier responsable de la willaya qui ne ménage aucun effort dans ce sens. Pour preuve, il a eu à visiter une soixantaine d'établissements scolaires où il s'est enquis sur place de leur situation. Plusieurs établissements auraient bénéficié d'une enveloppe tant pour regler le problème de la restauration, que pour la réhabilitation de celles qui menacent la vie des élèves ainsi que pour le transport scolaire dans une région caractérisée par des caprices climatiques imprévisibles, allant du pluvieux glacial au torride poussiéreux dans les localités de Bougous, Oum Teboul, Chihani, Chébaïta Mokhtar... Le taux d'exclusion avait atteint, pour l'année écoulée, 12,06% dû, en particulier, aux conditions défavorables de scolarisation dont souffrent aussi bien les élèves que les enseignants exerçant en zones rurales où le taux d'occupation des classes dépasse celui des capacités d'accueil pour une parité des genres. Le problème a été plusieurs fois soulevé dans ces mêmes colonnes. Il faut reconnaître que l'Algérie est le seul pays en Afrique à offrir à ses enfants scolarisés à tous les cycles des repas chauds, c'est-à-dire des repas subventionnés, et à assurer le transport scolaire gratuitement. Enfin, notons que la santé scolaire est assurée par les quatorze centres de dépistage. Pour cette année, au mois d'avril dernier, 80.427 élèves ont été dépistés et pris en charge par des spécialistes. L'Algerie est le seul pays en Afrique, pour ne pas dire dans le monde, à assurer la gratuité du ramassage scolaire, de la scolarité, de la restauration et de la santé scolaire. Les repas offerts aux jeunes potaches sont subventionnés par l'Etat dans les trois cycles confondus.