La situation acridienne en Algérie se caractérise par une accalmie générale grâce au dispositif national d'intervention et de lutte assuré par des équipes techniques au niveau des zones habituellement touchées, a indiqué, hier, le ministère de l'Agriculture et du Développement rural dans un communiqué. Pour ce qui est du criquet pèlerin, des équipes de surveillance et de traitement de l'Institut national de la protection des végétaux (INPV), sont en place pour sillonner les zones situées au Sahara central et l'extrême Sud (Tamanrasset, Adrar,Tindouf, Bechar et Illizi). Le ministère précise que ce dispositif, composé actuellement de six (6) équipes, n'a jamais été levé, et ce, depuis la dernière invasion acridienne de 2004. Ce dispositif, rappelle-t-il, a été mis en place pour surveiller toutes les aires potentielles de reproduction de criquet et de procéder, le cas échéant, à des traitements préventifs. Ainsi, les dernières prospections faites par les équipes de surveillance ont relevé la présence limitée de criquets solitaires qui ont fait l'objet de traitements préventifs à même d'éviter le phénomène de reproduction et de grégarisation, ajoute la même source. Par ailleurs, "la présence d'ailés solitaires a été également signalée au Maroc où des traitements préventifs ont été effectués", note le ministère. I. A. La situation acridienne en Algérie se caractérise par une accalmie générale grâce au dispositif national d'intervention et de lutte assuré par des équipes techniques au niveau des zones habituellement touchées, a indiqué, hier, le ministère de l'Agriculture et du Développement rural dans un communiqué. Pour ce qui est du criquet pèlerin, des équipes de surveillance et de traitement de l'Institut national de la protection des végétaux (INPV), sont en place pour sillonner les zones situées au Sahara central et l'extrême Sud (Tamanrasset, Adrar,Tindouf, Bechar et Illizi). Le ministère précise que ce dispositif, composé actuellement de six (6) équipes, n'a jamais été levé, et ce, depuis la dernière invasion acridienne de 2004. Ce dispositif, rappelle-t-il, a été mis en place pour surveiller toutes les aires potentielles de reproduction de criquet et de procéder, le cas échéant, à des traitements préventifs. Ainsi, les dernières prospections faites par les équipes de surveillance ont relevé la présence limitée de criquets solitaires qui ont fait l'objet de traitements préventifs à même d'éviter le phénomène de reproduction et de grégarisation, ajoute la même source. Par ailleurs, "la présence d'ailés solitaires a été également signalée au Maroc où des traitements préventifs ont été effectués", note le ministère. I. A.