Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a confirmé l'accord de Moscou à un projet de résolution à l'Onu prévoyant de nouvelles sanctions contre l'Iran, a indiqué le ministère des Affaires étrangères hier. M. Lavrov en a fait part à son homologue américaine Hillary Clinton lors d'une conversation téléphonique mardi. "L'étape suivante consiste à poursuivre le travail au sein du Conseil de sécurité (de l'Onu) où les membres non permanents pourront exprimer leur opinion sur le projet", indique un communiqué du ministère. Cette résolution, d'inspiration américaine prévoit un renforcement des sanctions contre l'Iran malgré un plan turco-brésilien pour permettre l'enrichissement d'uranium iranien à l'étranger. "Il faut en même temps analyser la situation de la manière la plus minutieuse qui soit en raison de l'adoption" du compromis négocié par la Turquie et le Brésil, note le ministère russe. M. Lavrov a, par ailleurs, mis en garde Mme Clinton contre l'adoption de sanctions supplémentaires et unilatérales par les Etats-Unis et l'Union européenne. Le projet de résolution prévoit que l'Iran ne pourra investir à l'étranger dans certaines activités sensibles comme les mines d'uranium et que ses navires pourront être inspectés en haute mer. Le projet interdit aussi la vente à Téhéran de huit nouveaux types d'armements lourds, notamment des chars. Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a confirmé l'accord de Moscou à un projet de résolution à l'Onu prévoyant de nouvelles sanctions contre l'Iran, a indiqué le ministère des Affaires étrangères hier. M. Lavrov en a fait part à son homologue américaine Hillary Clinton lors d'une conversation téléphonique mardi. "L'étape suivante consiste à poursuivre le travail au sein du Conseil de sécurité (de l'Onu) où les membres non permanents pourront exprimer leur opinion sur le projet", indique un communiqué du ministère. Cette résolution, d'inspiration américaine prévoit un renforcement des sanctions contre l'Iran malgré un plan turco-brésilien pour permettre l'enrichissement d'uranium iranien à l'étranger. "Il faut en même temps analyser la situation de la manière la plus minutieuse qui soit en raison de l'adoption" du compromis négocié par la Turquie et le Brésil, note le ministère russe. M. Lavrov a, par ailleurs, mis en garde Mme Clinton contre l'adoption de sanctions supplémentaires et unilatérales par les Etats-Unis et l'Union européenne. Le projet de résolution prévoit que l'Iran ne pourra investir à l'étranger dans certaines activités sensibles comme les mines d'uranium et que ses navires pourront être inspectés en haute mer. Le projet interdit aussi la vente à Téhéran de huit nouveaux types d'armements lourds, notamment des chars.