La représentation de la République arabe sahraouie démocratique en Belgique et le Comité Belge de soutien au peuple sahraoui, se sont retrouvés jeudi soir à Bruxelles pour fêter le 37e anniversaire de la création de Front Polisario. La représentation de la République arabe sahraouie démocratique en Belgique et le Comité Belge de soutien au peuple sahraoui, se sont retrouvés jeudi soir à Bruxelles pour fêter le 37e anniversaire de la création de Front Polisario. Une rencontre a eu lieu jeudi dernier à Alger entre l'Union nationale des étudiants algériens (UNEA), l'Union générale des étudiants libres (UGEL) et l'Union des étudiants sahraouis (UES), à l'occasion de la célébration du 37e anniversaire du déclenchement de la lutte armée du peuple sahraoui. Cette rencontre à laquelle ont assisté l'ambassadeur de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) en Algérie, Brahim Ghali, et le président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS), Mahrez Lamari a été l'occasion aux étudiants sahraouis de rappeler que la guerre de libération menée par le peuple algérien demeure un exemple pour tous les peuples opprimés, en quête de liberté, saluant « le rôle de l'Algérie dans la défense des causes justes et son soutien à la cause sahraouie et au droit du peuple du Sahara Occidental à l'autodétermination ». Il est à rappeler que deux accords ont été signés à Alger, entre l'UGEL et l'UES, visant à établir une coopération en vue de faire connaître la lutte du peuple sahraoui dans les fora nationaux et internationaux. Ils prévoient aussi un soutien aux activités culturelles des étudiants sahraouis dans les universités algériennes et la création d'un club d'amitié. Par ailleurs, la représentation de la République arabe sahraouie démocratique en Belgique et le Comité Belge de soutien au peuple sahraoui, se sont retrouvés jeudi soir à Bruxelles pour fêter le 37e anniversaire de la création de Front Polisario, date également qui marque le déclenchement de la lutte armée contre le colonialisme espagnol. Sahraouis, Algériens et Marocains, ainsi que plusieurs organisations internationales des droits de l'Homme membres du Comité ont mis à profit cette occasion pour rappeler le difficile combat de ce peuple « valeureux » qui lutte pour son droit à l'autodétermination, dans un contexte marquée par un manquement flagrant de la communauté internationale. Le représentant de la RASD, Mohamed Sidati a souligné que « cette commémoration intervient dans un contexte particulièrement crucial où les espoirs des Sahraouis, qui ont beaucoup cru dans la voie pacifique de la résolution du conflit, et surtout dans l'engagement de la communauté internationale à parvenir à cette solution pacifique et mettre en œuvre ses résolutions concernant l'autodétermination du peuple sahraoui par un référendum libre et démocratique, ont été dépités ». Il estime que les Nations unies et la communauté internationale « ne font pas suffisamment ce qu'il faut pour qu'il en soit ainsi » et souligne que les Sahraouis « sont à des moments d'interrogation, à des moments où ils se demandent quand la communauté internationale se mobilisera pour leur permettre de parachever pacifiquement l'indépendance et la souveraineté du Sahara Occidental ». Le président de la Coordination européenne des comités de soutien au peuple sahraoui (Eucoco). Pierre Galand, quant à lui, a saisi cette occasion pour qualifier de « grave » le fait que la communauté internationale, qui a promis depuis 20 ans d'accorder par des moyens pacifiques ces droits à ce peuple, n'ait pas respecté ses engagements et annonce la réunion prochaine avec la Task force de l'Eucoco, pour notamment préparer la 36e conférence de soutien au peuple sahraoui qui aura lieu la fin du mois d'octobre en France, et l'accueil de nombreux enfants sahraouis des camps de regugiés dans des pays européens. Une rencontre a eu lieu jeudi dernier à Alger entre l'Union nationale des étudiants algériens (UNEA), l'Union générale des étudiants libres (UGEL) et l'Union des étudiants sahraouis (UES), à l'occasion de la célébration du 37e anniversaire du déclenchement de la lutte armée du peuple sahraoui. Cette rencontre à laquelle ont assisté l'ambassadeur de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) en Algérie, Brahim Ghali, et le président du Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS), Mahrez Lamari a été l'occasion aux étudiants sahraouis de rappeler que la guerre de libération menée par le peuple algérien demeure un exemple pour tous les peuples opprimés, en quête de liberté, saluant « le rôle de l'Algérie dans la défense des causes justes et son soutien à la cause sahraouie et au droit du peuple du Sahara Occidental à l'autodétermination ». Il est à rappeler que deux accords ont été signés à Alger, entre l'UGEL et l'UES, visant à établir une coopération en vue de faire connaître la lutte du peuple sahraoui dans les fora nationaux et internationaux. Ils prévoient aussi un soutien aux activités culturelles des étudiants sahraouis dans les universités algériennes et la création d'un club d'amitié. Par ailleurs, la représentation de la République arabe sahraouie démocratique en Belgique et le Comité Belge de soutien au peuple sahraoui, se sont retrouvés jeudi soir à Bruxelles pour fêter le 37e anniversaire de la création de Front Polisario, date également qui marque le déclenchement de la lutte armée contre le colonialisme espagnol. Sahraouis, Algériens et Marocains, ainsi que plusieurs organisations internationales des droits de l'Homme membres du Comité ont mis à profit cette occasion pour rappeler le difficile combat de ce peuple « valeureux » qui lutte pour son droit à l'autodétermination, dans un contexte marquée par un manquement flagrant de la communauté internationale. Le représentant de la RASD, Mohamed Sidati a souligné que « cette commémoration intervient dans un contexte particulièrement crucial où les espoirs des Sahraouis, qui ont beaucoup cru dans la voie pacifique de la résolution du conflit, et surtout dans l'engagement de la communauté internationale à parvenir à cette solution pacifique et mettre en œuvre ses résolutions concernant l'autodétermination du peuple sahraoui par un référendum libre et démocratique, ont été dépités ». Il estime que les Nations unies et la communauté internationale « ne font pas suffisamment ce qu'il faut pour qu'il en soit ainsi » et souligne que les Sahraouis « sont à des moments d'interrogation, à des moments où ils se demandent quand la communauté internationale se mobilisera pour leur permettre de parachever pacifiquement l'indépendance et la souveraineté du Sahara Occidental ». Le président de la Coordination européenne des comités de soutien au peuple sahraoui (Eucoco). Pierre Galand, quant à lui, a saisi cette occasion pour qualifier de « grave » le fait que la communauté internationale, qui a promis depuis 20 ans d'accorder par des moyens pacifiques ces droits à ce peuple, n'ait pas respecté ses engagements et annonce la réunion prochaine avec la Task force de l'Eucoco, pour notamment préparer la 36e conférence de soutien au peuple sahraoui qui aura lieu la fin du mois d'octobre en France, et l'accueil de nombreux enfants sahraouis des camps de regugiés dans des pays européens.