Les services de sécurité ont éradiqué ce marché de la honte et les marchands informels ont plié bagages pour s'installer dans des locaux appropriés qu'ils ont loués dans cette cité ou bien ils ont opté pour une stalle au nouveau marché, un imposant R+2, qui a ouvert ses portes à quelques centaines de mètres plus loin. Les services de sécurité ont éradiqué ce marché de la honte et les marchands informels ont plié bagages pour s'installer dans des locaux appropriés qu'ils ont loués dans cette cité ou bien ils ont opté pour une stalle au nouveau marché, un imposant R+2, qui a ouvert ses portes à quelques centaines de mètres plus loin. Entamée début avril dernier au niveau du marché couvert du boulevard du volontariat qui accueille quotidiennement des milliers de clients des deux sexes, l'opération de la chasse aux marchands informels et à la sauvette se poursuit activement dans plusieurs secteurs du chef-lieu de wilaya. D'énormes moyens humains et matériels ont été mobilisés par les autorités locales qui sont déterminées à éradiquer ce fléau qui gangrène l'environnement et pénalise la qualité de vie de la population . La cité Ain-Defla secteur A, appelée communément Fougerolles, respire à présent après un calvaire qui aura duré près d' une vingtaine d'années. En effet, faisant fi de la réglementation en vigueur, des dizaines de marchands de fruits et légumes avaient installé leurs étals constitués de tôles de zinc, poutres, roseaux, bâches et madriers, sur les trottoirs, la chaussée, le parking et même devant l'entrée des immeubles collectifs. Les riverains ont longtemps souffert des nuisances sonores de l'aube à la tombée de la nuit, des décharges sauvages engendrées par la plupart des commerçants non patentés qui se permettaient de squatter des espaces de servitude et même le terrain de jeux des enfants du quartier. Les maitresses de maison étaient dans l' obligation de fermer les fenêtres pour se soustraire au brouhaha et aux obscénités proférées par certains énergumènes. La circulation des véhicules et notamment celle des bus du transport urbain qui empruntaient la rue principale était un véritable enfer puisque la chaussée était encombrée de Mazda, camionnettes des mandataires et aussi par l'afflux des acheteurs. Omniprésents, les services de sécurité ont éradiqué ce marché de la honte et les marchands informels ont plié bagages pour s'installer dans des locaux appropriés qu'ils ont loués dans cette cité ou bien ils ont opté pour une stalle au nouveau marché, un imposant R+2, qui a ouvert ses portes à quelques centaines de mètres plus loin. Les résidants ont accueilli avec soulagement cette action louable puisque leur environnement a retrouvé sa vocation et sa quiétude. D' autre part, une action similaire a été opérée dernièrement à la cité M'Rabet Messaoud où un marché informel implanté face à l'école Bachir Habbèche a été démantelé. Des camions de l'APC ont emporté les stands hétéroclites et les marchands informels recensés par les services compétents ont été sommés de quitter les lieux. Il leur a été proposé de s'installer au nouveau marché couvert ou bien au niveau site situé derrière l' OPOW Souidani Boudjema. Les services de sécurité veillent au grain pour appliquer à la lettre les instructions du ministère de l'Intérieur dans le souci d'assainir les villes et villages du territoire national de ce fléau des marchands informels. Entamée début avril dernier au niveau du marché couvert du boulevard du volontariat qui accueille quotidiennement des milliers de clients des deux sexes, l'opération de la chasse aux marchands informels et à la sauvette se poursuit activement dans plusieurs secteurs du chef-lieu de wilaya. D'énormes moyens humains et matériels ont été mobilisés par les autorités locales qui sont déterminées à éradiquer ce fléau qui gangrène l'environnement et pénalise la qualité de vie de la population . La cité Ain-Defla secteur A, appelée communément Fougerolles, respire à présent après un calvaire qui aura duré près d' une vingtaine d'années. En effet, faisant fi de la réglementation en vigueur, des dizaines de marchands de fruits et légumes avaient installé leurs étals constitués de tôles de zinc, poutres, roseaux, bâches et madriers, sur les trottoirs, la chaussée, le parking et même devant l'entrée des immeubles collectifs. Les riverains ont longtemps souffert des nuisances sonores de l'aube à la tombée de la nuit, des décharges sauvages engendrées par la plupart des commerçants non patentés qui se permettaient de squatter des espaces de servitude et même le terrain de jeux des enfants du quartier. Les maitresses de maison étaient dans l' obligation de fermer les fenêtres pour se soustraire au brouhaha et aux obscénités proférées par certains énergumènes. La circulation des véhicules et notamment celle des bus du transport urbain qui empruntaient la rue principale était un véritable enfer puisque la chaussée était encombrée de Mazda, camionnettes des mandataires et aussi par l'afflux des acheteurs. Omniprésents, les services de sécurité ont éradiqué ce marché de la honte et les marchands informels ont plié bagages pour s'installer dans des locaux appropriés qu'ils ont loués dans cette cité ou bien ils ont opté pour une stalle au nouveau marché, un imposant R+2, qui a ouvert ses portes à quelques centaines de mètres plus loin. Les résidants ont accueilli avec soulagement cette action louable puisque leur environnement a retrouvé sa vocation et sa quiétude. D' autre part, une action similaire a été opérée dernièrement à la cité M'Rabet Messaoud où un marché informel implanté face à l'école Bachir Habbèche a été démantelé. Des camions de l'APC ont emporté les stands hétéroclites et les marchands informels recensés par les services compétents ont été sommés de quitter les lieux. Il leur a été proposé de s'installer au nouveau marché couvert ou bien au niveau site situé derrière l' OPOW Souidani Boudjema. Les services de sécurité veillent au grain pour appliquer à la lettre les instructions du ministère de l'Intérieur dans le souci d'assainir les villes et villages du territoire national de ce fléau des marchands informels.