Les habitants des régions nord-est de la commune de Chabet El- Ameur à l'est de Boumerdès se plaignent du retard enregistré pour l'achèvement des travaux de remblaiement du pont Bouiri. Lancés en février dernier, les travaux sont à l'arrêt depuis plus d'une vingtaine de jours. Selon un animateur du mouvement associatifdu village Aït Said, l'arrêt des travaux est dû au travaux inachevés par l'ENGOA concernant la finition de cet ouvrage d'art. L'enveloppe financière allouée à la reconstruction de cet ouvrage est de l'ordre de 12 millions de dinars. Ce matelas financier s'ajoute aux 420 millions de centimes débloqués en 2007 pour la réalisation d'un passage provisoire, qui n'a d'ailleurs tenu que quelques heures en raison de pluies torrentielles. «Au départ, les travaux n'ont pu être lancés en raison d'oppositions de propriétaires terriens. Actuellement le problème est résolu, et l'entreprise engagée pour le remblaiement peine à terminer ses travaux», nous dira un délégué du village. «Nous continuons à traverser sur un passage provisoire qui a été réalisé grâce au comité de village», explique notre interlocuteur. Les habitants de ce village de même que ceux du village Azzouza, sont durement pénalisés par cette situation qui perdure. «Nous sommes abandonnés depuis plusieurs annéesà notre propre sort», nous dira un villageois. Ceux quisont le plus pénalisés sont les transporteurs qui ddénoncent l'état lamentable de la route reliant leur localité au chef-lieu communal. Ladite route est parsemée de crevasses, elle est quasiment impraticable. Les écoliers éprouvent d'énormes difficultés à rejoindre leurs écoles. L'hiver dernier, et en raison de l'inexistence d'un pont, les élèves scolarisés au lycée du chef-lieu, ont été contraints de faire le détour de plus de 20 km en passant par les Issers. À cela s'ajoute l'absence de transport scolaire à travers la région. Pour rappel, l'ancien pont s'est effondré suite à des pluies diluviennes qui se sont abattues sur la région en 2007. Depuis le calvaire des villageois n'a pas connu de fin. ils continuent de traverser en empruntant le passage provisoire. Par ailleurs, il est à signaler que 90% du réseau routier de la commune de Chabet El-Ameur est quasiment impraticable, cela sans oublier l'état de déliquescence dans laquelle se trouve l'aménagement urbain. Les habitants des régions nord-est de la commune de Chabet El- Ameur à l'est de Boumerdès se plaignent du retard enregistré pour l'achèvement des travaux de remblaiement du pont Bouiri. Lancés en février dernier, les travaux sont à l'arrêt depuis plus d'une vingtaine de jours. Selon un animateur du mouvement associatifdu village Aït Said, l'arrêt des travaux est dû au travaux inachevés par l'ENGOA concernant la finition de cet ouvrage d'art. L'enveloppe financière allouée à la reconstruction de cet ouvrage est de l'ordre de 12 millions de dinars. Ce matelas financier s'ajoute aux 420 millions de centimes débloqués en 2007 pour la réalisation d'un passage provisoire, qui n'a d'ailleurs tenu que quelques heures en raison de pluies torrentielles. «Au départ, les travaux n'ont pu être lancés en raison d'oppositions de propriétaires terriens. Actuellement le problème est résolu, et l'entreprise engagée pour le remblaiement peine à terminer ses travaux», nous dira un délégué du village. «Nous continuons à traverser sur un passage provisoire qui a été réalisé grâce au comité de village», explique notre interlocuteur. Les habitants de ce village de même que ceux du village Azzouza, sont durement pénalisés par cette situation qui perdure. «Nous sommes abandonnés depuis plusieurs annéesà notre propre sort», nous dira un villageois. Ceux quisont le plus pénalisés sont les transporteurs qui ddénoncent l'état lamentable de la route reliant leur localité au chef-lieu communal. Ladite route est parsemée de crevasses, elle est quasiment impraticable. Les écoliers éprouvent d'énormes difficultés à rejoindre leurs écoles. L'hiver dernier, et en raison de l'inexistence d'un pont, les élèves scolarisés au lycée du chef-lieu, ont été contraints de faire le détour de plus de 20 km en passant par les Issers. À cela s'ajoute l'absence de transport scolaire à travers la région. Pour rappel, l'ancien pont s'est effondré suite à des pluies diluviennes qui se sont abattues sur la région en 2007. Depuis le calvaire des villageois n'a pas connu de fin. ils continuent de traverser en empruntant le passage provisoire. Par ailleurs, il est à signaler que 90% du réseau routier de la commune de Chabet El-Ameur est quasiment impraticable, cela sans oublier l'état de déliquescence dans laquelle se trouve l'aménagement urbain.