Le FLN est accusé par ses deux alliés, le MSP et surtout le RND, d'avoir fait cavalier seul et de s'être emparé de tous les postes qui reviennent à la partie algérienne au sein du Conseil consultatif de l'Union du Maghreb arabe (UMA), qui a tenu sa 7e session la semaine dernière à Alger et dont la présidence est revenue à l'Algérien Aissa Kheiri. Le FLN est accusé par ses deux alliés, le MSP et surtout le RND, d'avoir fait cavalier seul et de s'être emparé de tous les postes qui reviennent à la partie algérienne au sein du Conseil consultatif de l'Union du Maghreb arabe (UMA), qui a tenu sa 7e session la semaine dernière à Alger et dont la présidence est revenue à l'Algérien Aissa Kheiri. Apparemment, les trois partis de l'Alliance présidentielle n'arrivent plus à accorder leurs violons. Leurs positions divergentes, qui sont déjà légion, viennent d'apparaître de nouveau au grand jour. Le FLN est accusé par ses deux alliés, le MSP et surtout le RND, d'avoir fait cavalier seul et de s'être emparé de tous les postes qui reviennent à la partie algérienne au sein du Conseil consultatif de l'Union du Maghreb arabe (UMA), qui a tenu sa 7e session la semaine dernière à Alger et dont la présidence est revenue à l'Algérien Aissa Kheiri. En effet, en plus du poste de Kheiri qui a été investi de par sa qualité de président de la section algérienne du Conseil consultatif, le FLN a eu aussi un poste de vice-président, un poste de rapporteur ainsi que la présidence de deux commissions, celle des affaires politiques et celle de l'enfance. Courroucé par cette ambition hégémonique du FLN, le RND a vivement protesté auprès de Abdelkader Bensalah, président du Conseil de la nation, et Abdelaziz Ziari, président de l'APN. Miloud Chorfi, chef du groupe parlementaire du RND à l'APN et porte-parole du parti et Sedik Chiheb, membre du bureau national et vice-président de l'APN, ainsi que Benhalima Boutouigua, un autre vice-président de la chambre basse, ont boycotté le dîner offert en l'honneur des participants à cette 7e session pour exprimer leur colère. « Pour nous, cette répartition des postes n'a pas respecté le poids de la représentation du parti dans les deux chambres, cela sans oublier le fait que nous sommes aussi des partenaires au sein de l'Alliance présidentielle » nous a indiqué Miloud Chorfi. Mais pour ce dernier, joint hier, « nos protestations ont été concluantes puisqu'on nous a assuré que l'on va réparer cette erreur ». Cette tendance du FLN à vouloir imposer son hégémonie traduit, incontestablement, le malaise que traverse l'Alliance présidentielle, ce d'autant que même le MSP ne doit pas être satisfait de cette tournure. Un membre de la section algérienne du Conseil consultatif de l'UMA qui comprend une trentaine de parlementaires des deux chambres, le député Belkheir, a exprimé son opposition et son refus. « Kheiri a été installé à la présidence du fait qu'il s'est classé deuxième lors des élections qui se sont tenues il y a presque deux années et ce, en remplacement de l'ex-président, le senateur Besaci Laroussi, dont le mandat de senateur est arrivé à expiration. Or Aissa Kheiri a toujours réfuté cette élection en contestant par conséquent la légitimité de Besaci. De plus, si l'on considère le contenu du seul PV officiel, moi je suis toujours président d'une commission ». Cet imbroglio est à lui seul expressif de la manière avec laquelle la partie algérienne a géré cette question des structures du Conseil consultatif de l'UMA. Mais cette confusion, sans doute sciemment entretenue par le FLN qui dispose de la majorité dans les deux chambres du Parlement, traduit le peu d'égard que témoigne le vieux parti à ses partenaires au sein de l'Alliance présidentielle. Cette dernière, créée il y a six années maintenant, est plus que jamais une coquille vide tant ses désaccords sont notoires. Tout porte à croire que c'est l'accord conclu entre le RND et le PT lors du renouvellement partiel des membres du Conseil de la nation qui continue à rythmer les relations entre les deux partis. Et rien n'indique que ces divergences vont s'estomper ou même connaître un répit. Apparemment, les trois partis de l'Alliance présidentielle n'arrivent plus à accorder leurs violons. Leurs positions divergentes, qui sont déjà légion, viennent d'apparaître de nouveau au grand jour. Le FLN est accusé par ses deux alliés, le MSP et surtout le RND, d'avoir fait cavalier seul et de s'être emparé de tous les postes qui reviennent à la partie algérienne au sein du Conseil consultatif de l'Union du Maghreb arabe (UMA), qui a tenu sa 7e session la semaine dernière à Alger et dont la présidence est revenue à l'Algérien Aissa Kheiri. En effet, en plus du poste de Kheiri qui a été investi de par sa qualité de président de la section algérienne du Conseil consultatif, le FLN a eu aussi un poste de vice-président, un poste de rapporteur ainsi que la présidence de deux commissions, celle des affaires politiques et celle de l'enfance. Courroucé par cette ambition hégémonique du FLN, le RND a vivement protesté auprès de Abdelkader Bensalah, président du Conseil de la nation, et Abdelaziz Ziari, président de l'APN. Miloud Chorfi, chef du groupe parlementaire du RND à l'APN et porte-parole du parti et Sedik Chiheb, membre du bureau national et vice-président de l'APN, ainsi que Benhalima Boutouigua, un autre vice-président de la chambre basse, ont boycotté le dîner offert en l'honneur des participants à cette 7e session pour exprimer leur colère. « Pour nous, cette répartition des postes n'a pas respecté le poids de la représentation du parti dans les deux chambres, cela sans oublier le fait que nous sommes aussi des partenaires au sein de l'Alliance présidentielle » nous a indiqué Miloud Chorfi. Mais pour ce dernier, joint hier, « nos protestations ont été concluantes puisqu'on nous a assuré que l'on va réparer cette erreur ». Cette tendance du FLN à vouloir imposer son hégémonie traduit, incontestablement, le malaise que traverse l'Alliance présidentielle, ce d'autant que même le MSP ne doit pas être satisfait de cette tournure. Un membre de la section algérienne du Conseil consultatif de l'UMA qui comprend une trentaine de parlementaires des deux chambres, le député Belkheir, a exprimé son opposition et son refus. « Kheiri a été installé à la présidence du fait qu'il s'est classé deuxième lors des élections qui se sont tenues il y a presque deux années et ce, en remplacement de l'ex-président, le senateur Besaci Laroussi, dont le mandat de senateur est arrivé à expiration. Or Aissa Kheiri a toujours réfuté cette élection en contestant par conséquent la légitimité de Besaci. De plus, si l'on considère le contenu du seul PV officiel, moi je suis toujours président d'une commission ». Cet imbroglio est à lui seul expressif de la manière avec laquelle la partie algérienne a géré cette question des structures du Conseil consultatif de l'UMA. Mais cette confusion, sans doute sciemment entretenue par le FLN qui dispose de la majorité dans les deux chambres du Parlement, traduit le peu d'égard que témoigne le vieux parti à ses partenaires au sein de l'Alliance présidentielle. Cette dernière, créée il y a six années maintenant, est plus que jamais une coquille vide tant ses désaccords sont notoires. Tout porte à croire que c'est l'accord conclu entre le RND et le PT lors du renouvellement partiel des membres du Conseil de la nation qui continue à rythmer les relations entre les deux partis. Et rien n'indique que ces divergences vont s'estomper ou même connaître un répit.