A voir les trottoirs de la ville de Souk-Ahras, on aurait dit qu'ils n'ont jamais été refaits. Et pourtant, en 2008, une large opération d'aménagement a touché tous les trottoirs et a coûté aux contribuables des sommes colossales. Que s'est-il passé donc ? A vu d'œil et sans avoir recours aux spécialistes, on distingue que le problème réside dans la qualité des travaux ; une qualité qui laisse à désirer, à tel point qu'après une année à peine, la majorité des trottoirs ont été fissurés et les carreaux décollés. Si c'est le cas au centre-ville, aux quartiers c'est encore pire. Dans certaines cités, à l'image de Haï Echahid, Haï Ellouz, Chaâbani, Berral-Salah, Diar Ezzarga, pour ne citer que celles-là, sortir la nuit est synonyme de danger à cause des trottoirs et des chaussées accidentés, des avaloirs et des niches découverts et parfois un éclairage public défectueux. La responsabilité dans tout cela est collective : l'APC, la DUCH, l'ONA, les services des télécommunications, les entrepreneurs, le citoyen. «Chacun doit assumer sa part de responsabilité, car nos enfants qui n'ont pas où aller sont quotidiennement exposés aux dangers en jouant», lance le président d'une association de quartier qui, dit-il, a frappé à toutes les portes pour l'aménagement de son quartier sans résultat aucun. A voir les trottoirs de la ville de Souk-Ahras, on aurait dit qu'ils n'ont jamais été refaits. Et pourtant, en 2008, une large opération d'aménagement a touché tous les trottoirs et a coûté aux contribuables des sommes colossales. Que s'est-il passé donc ? A vu d'œil et sans avoir recours aux spécialistes, on distingue que le problème réside dans la qualité des travaux ; une qualité qui laisse à désirer, à tel point qu'après une année à peine, la majorité des trottoirs ont été fissurés et les carreaux décollés. Si c'est le cas au centre-ville, aux quartiers c'est encore pire. Dans certaines cités, à l'image de Haï Echahid, Haï Ellouz, Chaâbani, Berral-Salah, Diar Ezzarga, pour ne citer que celles-là, sortir la nuit est synonyme de danger à cause des trottoirs et des chaussées accidentés, des avaloirs et des niches découverts et parfois un éclairage public défectueux. La responsabilité dans tout cela est collective : l'APC, la DUCH, l'ONA, les services des télécommunications, les entrepreneurs, le citoyen. «Chacun doit assumer sa part de responsabilité, car nos enfants qui n'ont pas où aller sont quotidiennement exposés aux dangers en jouant», lance le président d'une association de quartier qui, dit-il, a frappé à toutes les portes pour l'aménagement de son quartier sans résultat aucun.