Comme à l'accoutumée, les prix des fruits et légumes flambent avec l'arrivée du mois sacré. Au 1er jour du Ramadhan certains prix ont doublé à l'image de l'haricot vert qui a grimpé de 60 à 120 DA/kg, le poivron qui est passé de 50 à 100 DA/kg ou encore l'ail qui a atteint le prix jamais égalé de 450 DA/kg. Au souk hebdomadaire de Henancha (souk du dimanche) l'ail oscille entre 350 et 400 DA/kg. Les commerçants ont imputé cela au déséquilibre entre l'offre et la demande, les importateurs ont réduit l'importation de ce produit alors que les agriculteurs locaux n'ont pu assurer l'autosuffisance du marché. Conclusion, les prix de l'ail ont flambé. Les viandes n'ont pas fait exception à la règle, le poulet à atteint 380 DA/kg, l'agneau 850 DA/kg alors que la viande rouge (congelée) est cédée à 560 DA/kg, un prix très loin de celui annoncé en grande pompe (400 DA/kg) lorsqu'on à parlé de la viande importée de l'inde, une viande que les Souk-Ahrassiens attendent toujours de voir la couleur. Poisson d'avril disent certains. La brioche sur les trottoirs à … 25 DA En dépit des appels avertissant le consommateur du danger que représente les produits vendus sur les trottoirs et malgré les descentes permanentes des services de la concurrence et des prix et des services de sécurité opérées même les week-ends, le pain continue à être vendu sur les trottoirs voire sur la chaussée même avec une négligence totale des règles d'hygiène et à des prix exorbitants. Ainsi le pain normal est vendu à 10 DA alors que la brioche est cédée à 25 DA. Les boulangeries à Souk-Ahras se comptent par dizaines et pourtant les vendeurs sur les trottoirs envahissent les rues et cités, la majorité de ces vendeurs se tassent au centre-ville à la route de Tébessa et rue de l'ALN devant les regards impuissants des services de sécurité qui, en tentant d'appliquer la loi, se trouvent quotidiennement confronté à des problèmes et trouvent des difficultés énormes à débarrasser la chaussée devant le refus des vendeurs à la sauvette d'obtempérer. Sidi Fredj : bonne récolte de figues de barbarie Plantée depuis quelques années à travers la commune frontalière de sidi Fredj, la figue de barbarie appelée localement hindi commence à donner ses fruits. « Cette année la récolte est bonne » en témoigne un agriculteur qui vient quotidiennement vendre son produit à la cité Berral Salah au prix concurrentiel de 2 DA/pièce. La commune de sidi Fredj est connue pour ses terres salées et infertiles, on a parié sur la figue de barbarie et ça a réussi. De Ouled Abbes à Ouled Atia des centaines d'hectares de ce fruit longent la route qui lie le chef lieu de commune « El Bordj » à El Ouenza (w : Tébessa). A Souk-Ahras comme à Tébessa, ce fruit est vendu en détail à 5 DA/pièce, et devant la montée vertigineuse des prix des autres fruits, la figue de barbarie est devenue la reine des tables en ce mois sacré. Le matin on découvre d'énormes quantités sur les trottoirs, l'après midi tout est vendu. Seulement, les détaillants doivent nettoyer les trottoirs au lieu de laisser les peaux sur la chaussée, un acte de civisme qui ne coûte rien. Comme à l'accoutumée, les prix des fruits et légumes flambent avec l'arrivée du mois sacré. Au 1er jour du Ramadhan certains prix ont doublé à l'image de l'haricot vert qui a grimpé de 60 à 120 DA/kg, le poivron qui est passé de 50 à 100 DA/kg ou encore l'ail qui a atteint le prix jamais égalé de 450 DA/kg. Au souk hebdomadaire de Henancha (souk du dimanche) l'ail oscille entre 350 et 400 DA/kg. Les commerçants ont imputé cela au déséquilibre entre l'offre et la demande, les importateurs ont réduit l'importation de ce produit alors que les agriculteurs locaux n'ont pu assurer l'autosuffisance du marché. Conclusion, les prix de l'ail ont flambé. Les viandes n'ont pas fait exception à la règle, le poulet à atteint 380 DA/kg, l'agneau 850 DA/kg alors que la viande rouge (congelée) est cédée à 560 DA/kg, un prix très loin de celui annoncé en grande pompe (400 DA/kg) lorsqu'on à parlé de la viande importée de l'inde, une viande que les Souk-Ahrassiens attendent toujours de voir la couleur. Poisson d'avril disent certains. La brioche sur les trottoirs à … 25 DA En dépit des appels avertissant le consommateur du danger que représente les produits vendus sur les trottoirs et malgré les descentes permanentes des services de la concurrence et des prix et des services de sécurité opérées même les week-ends, le pain continue à être vendu sur les trottoirs voire sur la chaussée même avec une négligence totale des règles d'hygiène et à des prix exorbitants. Ainsi le pain normal est vendu à 10 DA alors que la brioche est cédée à 25 DA. Les boulangeries à Souk-Ahras se comptent par dizaines et pourtant les vendeurs sur les trottoirs envahissent les rues et cités, la majorité de ces vendeurs se tassent au centre-ville à la route de Tébessa et rue de l'ALN devant les regards impuissants des services de sécurité qui, en tentant d'appliquer la loi, se trouvent quotidiennement confronté à des problèmes et trouvent des difficultés énormes à débarrasser la chaussée devant le refus des vendeurs à la sauvette d'obtempérer. Sidi Fredj : bonne récolte de figues de barbarie Plantée depuis quelques années à travers la commune frontalière de sidi Fredj, la figue de barbarie appelée localement hindi commence à donner ses fruits. « Cette année la récolte est bonne » en témoigne un agriculteur qui vient quotidiennement vendre son produit à la cité Berral Salah au prix concurrentiel de 2 DA/pièce. La commune de sidi Fredj est connue pour ses terres salées et infertiles, on a parié sur la figue de barbarie et ça a réussi. De Ouled Abbes à Ouled Atia des centaines d'hectares de ce fruit longent la route qui lie le chef lieu de commune « El Bordj » à El Ouenza (w : Tébessa). A Souk-Ahras comme à Tébessa, ce fruit est vendu en détail à 5 DA/pièce, et devant la montée vertigineuse des prix des autres fruits, la figue de barbarie est devenue la reine des tables en ce mois sacré. Le matin on découvre d'énormes quantités sur les trottoirs, l'après midi tout est vendu. Seulement, les détaillants doivent nettoyer les trottoirs au lieu de laisser les peaux sur la chaussée, un acte de civisme qui ne coûte rien.