La mercuriale affiche une tendance à la baisse à un peu plus d'un mois du Ramadhan. Les prix des légumes sont très attrayants, alors que ceux des fruits restent plus ou moins élevés. En somme, les tarifs affichent une baisse comparativement aux semaines et mois écoulés. Les oignons stagnent à 30 DA alors qu'ils caracolaient à 120 DA il n'y a pas quelques mois. La tomate elle, se dégonfle jusqu'à 25 unités, alors qu'elle atteignait les 180 DA auparavant. Certes, la production est abondante, notamment pour la tomate, qui a enregistré un excèdent qui a inquiété les producteurs mêmes. «Pourvu que ça dure !», s'exclame une vieille femme abordée hier au marché Reda-Houhou (ex-Clauzel) d'Alger. L'exclamation de cette femme n'est pas fortuite puisqu'à l'approche du mois sacré du Ramadhan, «les prix vont doubler, voire même tripler», ajoute-t-elle pour expliquer son étonnement. La courgette et la pomme de terre, fortement présentes dans la marmite des Algériens, affichent respectivement 30 et 40 DA. Pour la patate une grande quantité, qui provient des champs de Oued-Souf, inonde le marché depuis plusieurs semaines déjà, d'où la stabilisation des prix, au grand bonheur des petites bourses. Les concombres et les aubergines restent figés à 40 DA. Cependant, la salade et la carotte (50 DA) demeurent relativement élevés. Le poivron et le piment continuent de saigner le panier de la ménagère, l'Algérien ne pouvant plus se passer de ces deux légumes fétiches. Si le poivron est coté à 70 DA, le piment lui est non négociable au-dessous de 90 DA. Qui s'y frotte s'y pique ! Enfin, les haricots restent stationnaires à 60 DA, imperturbables en dépit de l'abondance de la récolte. Côté fruits, la tendance des prix reste assez élevée. Hormis la pastèque, réputée comme étant le «fruit des pauvres», cédée à 35 DA le kilogramme, les autres fruits de saison laissent les petites bourses sur leur… soif ! Si la pêche la moins chère sur le marché est cotée à 70 DA, la pomme elle caracole à 140 DA. La prune oscille entre 70 et 120 DA et la nectarine moyenne est cédée à 100 DA le kilo. Des prix jugés assez élevés par l'ensemble des consommateurs qui redoutent l'avènement du mois de Ramadhan, où les marchands voient l'occasion propice pour s'enrichir. Par ailleurs, les prix des viandes affichent une tendance mitigée. Ceux du poulet ne donnent plus la chair de poule comme il y a quelques mois ! Cédé à 280 DA le kilo, le poulet est plus ou moins abordable, en témoigne l'engouement des consommateurs sur le marché. La viande rouge, elle, reste élevée, au-dessus des 800 DA, et ce, malgré la concurrence de la viande congelée cédée autour de 400 DA. La mercuriale affiche une tendance à la baisse à un peu plus d'un mois du Ramadhan. Les prix des légumes sont très attrayants, alors que ceux des fruits restent plus ou moins élevés. En somme, les tarifs affichent une baisse comparativement aux semaines et mois écoulés. Les oignons stagnent à 30 DA alors qu'ils caracolaient à 120 DA il n'y a pas quelques mois. La tomate elle, se dégonfle jusqu'à 25 unités, alors qu'elle atteignait les 180 DA auparavant. Certes, la production est abondante, notamment pour la tomate, qui a enregistré un excèdent qui a inquiété les producteurs mêmes. «Pourvu que ça dure !», s'exclame une vieille femme abordée hier au marché Reda-Houhou (ex-Clauzel) d'Alger. L'exclamation de cette femme n'est pas fortuite puisqu'à l'approche du mois sacré du Ramadhan, «les prix vont doubler, voire même tripler», ajoute-t-elle pour expliquer son étonnement. La courgette et la pomme de terre, fortement présentes dans la marmite des Algériens, affichent respectivement 30 et 40 DA. Pour la patate une grande quantité, qui provient des champs de Oued-Souf, inonde le marché depuis plusieurs semaines déjà, d'où la stabilisation des prix, au grand bonheur des petites bourses. Les concombres et les aubergines restent figés à 40 DA. Cependant, la salade et la carotte (50 DA) demeurent relativement élevés. Le poivron et le piment continuent de saigner le panier de la ménagère, l'Algérien ne pouvant plus se passer de ces deux légumes fétiches. Si le poivron est coté à 70 DA, le piment lui est non négociable au-dessous de 90 DA. Qui s'y frotte s'y pique ! Enfin, les haricots restent stationnaires à 60 DA, imperturbables en dépit de l'abondance de la récolte. Côté fruits, la tendance des prix reste assez élevée. Hormis la pastèque, réputée comme étant le «fruit des pauvres», cédée à 35 DA le kilogramme, les autres fruits de saison laissent les petites bourses sur leur… soif ! Si la pêche la moins chère sur le marché est cotée à 70 DA, la pomme elle caracole à 140 DA. La prune oscille entre 70 et 120 DA et la nectarine moyenne est cédée à 100 DA le kilo. Des prix jugés assez élevés par l'ensemble des consommateurs qui redoutent l'avènement du mois de Ramadhan, où les marchands voient l'occasion propice pour s'enrichir. Par ailleurs, les prix des viandes affichent une tendance mitigée. Ceux du poulet ne donnent plus la chair de poule comme il y a quelques mois ! Cédé à 280 DA le kilo, le poulet est plus ou moins abordable, en témoigne l'engouement des consommateurs sur le marché. La viande rouge, elle, reste élevée, au-dessus des 800 DA, et ce, malgré la concurrence de la viande congelée cédée autour de 400 DA.