Le Fonds de garantie des crédits aux PME (FGAR), qui est une institution publique, a présenté hier le bilan de ses activités ainsi que les perspectives du nouveau programme quinquennal à l'horizon 2014. Le Fonds de garantie des crédits aux PME (FGAR), qui est une institution publique, a présenté hier le bilan de ses activités ainsi que les perspectives du nouveau programme quinquennal à l'horizon 2014. Cet organisme de l'Etat table sur la création de 200 milles PME d'ici à 2014, a-t-on appris. Face au développement du marché et de l'économie nationale, notamment pour ce qui est des PME, il ne va pas sans causer de contraintes à cette institution, a indiqué Youcef Humissi, directeur général du FGAR, hier, au forum d'El Moudjahid, à Alger. En effet, selon lui, plusieurs problématiques se posent encore, notamment en matière de financement des PME. Parmi celles-ci, il citera entre autres, la faiblesse accusée en matière de fonds propres, l'absence ou l'insuffisance, dans certains cas, de garanties à présenter à la banque du côté des nouvelles entreprises. Il mentionnera également les coûts élevés de la gestion des crédits de petits montants, mais aussi, la faiblesse enregistrée dans le taux de récupération des garanties réelles mises en jeu. «Pour la majorité des PME, la vie des projets présentés, pour la plupart, voire à 50 %, meurent au bout de trois ans», a-t-il estimé. Créée en 2002, le FGAR s'est vu assigner plusieurs objectifs, dont celui de faciliter l'accès aux financements bancaires à moyen terme afin de supporter le démarrage et l'expansion des PME, et ce en accordant des garanties de crédits aux banques commerciales, à l'effet de compléter le montage financier de projets viables et orientées vers la création et/ou le développement d'entreprises, a-t-on indiqué. Cette institution, sous tutelle du ministère de l'Industrie, de la Petite et Moyenne Entreprise et de la Promotion de l'investissement, permet aux PME d'octroyer la garantie des crédits. Parmi ses principales missions, a-t-on souligné, elle permet de garantir les relais des programmes mis en place en faveur des PME par les institutions internationales, et assurer de ce fait, le conseil et l'assistance technique en faveur des PME bénéficiaires de la garantie du fonds. Il entreprend également tout projet de partenariat avec les institutions activant dans le cadre de la promotion et du développement de la PME. En outre, il engage toute action visant l'adoption des mesures relatives à la promotion et au soutien de la PME dans le cadre de la garantie des crédits d'investissements. Les statistiques au 30 juin dernier, révèlent qu'en matière de nombre de garanties accordée, ce dernier se chiffre à 420, pour un coût global de 10.205.699.755 DA. Ces projets permettront la création de 23.229 postes d'emploi, a-t-on souligné. Ces postes et projets sont répartis sur plusieurs secteurs d'activité, à savoir l'industrie, l'agriculture, le BTHP, les services, le transport et le tourisme. La répartition des offres de garanties par région, jusqu'au mois de juin de l'année en cours, est de l'ordre de 18% pour la région Ouest, 28% pour l'Est et seulement 4% pour la région du Sud. Pour sa part la région Centre, faut-il le dire, a bénéficié de la part du lion avec notamment 50% d'offres de garanties. S'agissant des perspectives tracées, dans le cadre du nouveau quinquennat, le FGAR prévoit la segmentation du marché de la garantie financière, l'accompagnement de PME ayant bénéficié d'actions de mise à niveau auprès de l'ANDPME, la mise en place d'antennes régionaux, en sus de la diversification par le lancement d'un nouveau produit relatif à la garantie des crédits d'exploitation, qui se trouve être en cours de réflexion. Cet organisme de l'Etat table sur la création de 200 milles PME d'ici à 2014, a-t-on appris. Face au développement du marché et de l'économie nationale, notamment pour ce qui est des PME, il ne va pas sans causer de contraintes à cette institution, a indiqué Youcef Humissi, directeur général du FGAR, hier, au forum d'El Moudjahid, à Alger. En effet, selon lui, plusieurs problématiques se posent encore, notamment en matière de financement des PME. Parmi celles-ci, il citera entre autres, la faiblesse accusée en matière de fonds propres, l'absence ou l'insuffisance, dans certains cas, de garanties à présenter à la banque du côté des nouvelles entreprises. Il mentionnera également les coûts élevés de la gestion des crédits de petits montants, mais aussi, la faiblesse enregistrée dans le taux de récupération des garanties réelles mises en jeu. «Pour la majorité des PME, la vie des projets présentés, pour la plupart, voire à 50 %, meurent au bout de trois ans», a-t-il estimé. Créée en 2002, le FGAR s'est vu assigner plusieurs objectifs, dont celui de faciliter l'accès aux financements bancaires à moyen terme afin de supporter le démarrage et l'expansion des PME, et ce en accordant des garanties de crédits aux banques commerciales, à l'effet de compléter le montage financier de projets viables et orientées vers la création et/ou le développement d'entreprises, a-t-on indiqué. Cette institution, sous tutelle du ministère de l'Industrie, de la Petite et Moyenne Entreprise et de la Promotion de l'investissement, permet aux PME d'octroyer la garantie des crédits. Parmi ses principales missions, a-t-on souligné, elle permet de garantir les relais des programmes mis en place en faveur des PME par les institutions internationales, et assurer de ce fait, le conseil et l'assistance technique en faveur des PME bénéficiaires de la garantie du fonds. Il entreprend également tout projet de partenariat avec les institutions activant dans le cadre de la promotion et du développement de la PME. En outre, il engage toute action visant l'adoption des mesures relatives à la promotion et au soutien de la PME dans le cadre de la garantie des crédits d'investissements. Les statistiques au 30 juin dernier, révèlent qu'en matière de nombre de garanties accordée, ce dernier se chiffre à 420, pour un coût global de 10.205.699.755 DA. Ces projets permettront la création de 23.229 postes d'emploi, a-t-on souligné. Ces postes et projets sont répartis sur plusieurs secteurs d'activité, à savoir l'industrie, l'agriculture, le BTHP, les services, le transport et le tourisme. La répartition des offres de garanties par région, jusqu'au mois de juin de l'année en cours, est de l'ordre de 18% pour la région Ouest, 28% pour l'Est et seulement 4% pour la région du Sud. Pour sa part la région Centre, faut-il le dire, a bénéficié de la part du lion avec notamment 50% d'offres de garanties. S'agissant des perspectives tracées, dans le cadre du nouveau quinquennat, le FGAR prévoit la segmentation du marché de la garantie financière, l'accompagnement de PME ayant bénéficié d'actions de mise à niveau auprès de l'ANDPME, la mise en place d'antennes régionaux, en sus de la diversification par le lancement d'un nouveau produit relatif à la garantie des crédits d'exploitation, qui se trouve être en cours de réflexion.