Une nouvelle piste thérapeutique a été dégagée par des chercheurs français concernant les troubles de la marche et les chutes dont souffrent les patients atteints de la maladie de Parkinson à un stade avancé. Ces troubles seraient dus à la perte de neurones dans une petite structure du cerveau, relève une étude réalisée par l'institut du cerveau et de la moelle épinière de l'université Pierre et Marie Curie de Paris, dont les résultats sont publiés dans l'édition d'août du Journal of Clinical Investigation. Les tremblements et les raideurs, caractéristiques de la maladie, sont dus à la mort de certains neurones utilisant la dopamine comme messager chimique (neurones dopaminergiques), selon l'étude, précisant que les symptômes moteurs disparaissent généralement grâce au traitement qui pallie le déficit en dopamine. Cependant, dans les formes avancées de la maladie, une résistance à ce traitement apparaît. Des troubles de la marche et des chutes surviennent, avertit la même source. Selon les chercheurs, les troubles de la marche, observés au stade avancé de la maladie, seraient liés à la dégénérescence d'un autre type de neurones, les neurones cholinergiques. Pour la démonstration, ils ont, notamment, combiné imagerie fonctionnelle (IRMf), anatomie et neurochirurgie. Leurs observations chez des sujets sains et malades ont permis de conclure à l'importance d'une petite structure du cerveau dans le contrôle de la marche et de la posture. Une nouvelle piste thérapeutique a été dégagée par des chercheurs français concernant les troubles de la marche et les chutes dont souffrent les patients atteints de la maladie de Parkinson à un stade avancé. Ces troubles seraient dus à la perte de neurones dans une petite structure du cerveau, relève une étude réalisée par l'institut du cerveau et de la moelle épinière de l'université Pierre et Marie Curie de Paris, dont les résultats sont publiés dans l'édition d'août du Journal of Clinical Investigation. Les tremblements et les raideurs, caractéristiques de la maladie, sont dus à la mort de certains neurones utilisant la dopamine comme messager chimique (neurones dopaminergiques), selon l'étude, précisant que les symptômes moteurs disparaissent généralement grâce au traitement qui pallie le déficit en dopamine. Cependant, dans les formes avancées de la maladie, une résistance à ce traitement apparaît. Des troubles de la marche et des chutes surviennent, avertit la même source. Selon les chercheurs, les troubles de la marche, observés au stade avancé de la maladie, seraient liés à la dégénérescence d'un autre type de neurones, les neurones cholinergiques. Pour la démonstration, ils ont, notamment, combiné imagerie fonctionnelle (IRMf), anatomie et neurochirurgie. Leurs observations chez des sujets sains et malades ont permis de conclure à l'importance d'une petite structure du cerveau dans le contrôle de la marche et de la posture.