C'est aujourd'hui que doit se tenir une conférence internationale sur l'Afghanistan à Kaboul à laquelle prendront part plus de soixante participants. Les forces de la coalition vont devoir approuver un calendrier de retrait de leur troupes d'ici 2014. Du reste, avant cette conférence certains pays avaient annoncé leur retrait des territoires comme la Grande-Bretagne, les Etats-Unis. C'est aujourd'hui que doit se tenir une conférence internationale sur l'Afghanistan à Kaboul à laquelle prendront part plus de soixante participants. Les forces de la coalition vont devoir approuver un calendrier de retrait de leur troupes d'ici 2014. Du reste, avant cette conférence certains pays avaient annoncé leur retrait des territoires comme la Grande-Bretagne, les Etats-Unis. David Cameron, Premier ministre britannique dont le pays fournit le second contingent en Afghanistan après les Etats-Unis, il avait exprimé son souhait d'organiser le retour des troupes avant les prochaines élections britanniques en 2015. Quant au président américain président Barack Obama, il a fixé à juillet 2011 le début du retrait des troupes américaines de ce pays, déstabilisé depuis des années par les violences des rebelles talibans, chassés du pouvoir en 2001. D'autres questions, dont le développement et la sécurité en Afghanistan, seront aussi au menu de la conférence de Kaboul qui se tiendra en présence du chef de l'Onu, Ban Ki-Moon et de la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton. La rencontre de mardi aura lieu sept mois après celle organisée à Londres (Grande-Bretagne), lors de laquelle la communauté internationale avait réaffirmé son soutien au gouvernement afghan. Dimanche, selon l'APS, un journal britannique avait rapporté qu'un projet de déclaration avait été envoyé à des diplomates de haut rang samedi dernier par le représentant spécial de l'ONU en Afghanistan, Staffan de Mistura. Dans ce document, les puissances étrangères ont décidé de poursuivre, pendant la période de transition, leurs efforts "de renforcement de la sécurité et continueront à entraîner, équiper et financer les forces armées afghanes", avait indiqué le quotidien The Independent. La rencontre de mardi aura lieu sept mois après celle organisée à Londres (Grande Bretagne), lors de laquelle la communauté internationale avait réaffirmé son soutien au gouvernement afghan. Pour concrétiser ce soutien, le gouvernement britannique a annoncé dimanche une hausse de 40% de son aide au développement de l'Afghanistan, qui passera des 500 millions de livres (592 millions d'euros) prévus, à 700 millions sur les quatre prochaines années. Dans un entretien accordé dimanche à la chaîne de télévision ABC, le vice-président américain Joe Biden a estimé qu'il était "trop tôt" pour évaluer si des progrès ont été effectués en Afghanistan, où les forces internationales doivent atteindre prochainement les 150 mille soldats. M. Biden a également qualifié de "début d'une transition" la décision du président Barack Obama d'imposer le début du retrait des troupes américaines en juillet 2011. Il par ailleurs tenu à assurer que des "progrès considérables" ont été réalisés par les forces internationales dans leur lutte contre les rebelles talibans en Afghanistan. La situation sécuritaire reste toujours détériorée en Afghanistan, secoué ces trois derniers jours par des attentats meurtriers qui ont fait plus de trente morts, des civils et des soldats. David Cameron, Premier ministre britannique dont le pays fournit le second contingent en Afghanistan après les Etats-Unis, il avait exprimé son souhait d'organiser le retour des troupes avant les prochaines élections britanniques en 2015. Quant au président américain président Barack Obama, il a fixé à juillet 2011 le début du retrait des troupes américaines de ce pays, déstabilisé depuis des années par les violences des rebelles talibans, chassés du pouvoir en 2001. D'autres questions, dont le développement et la sécurité en Afghanistan, seront aussi au menu de la conférence de Kaboul qui se tiendra en présence du chef de l'Onu, Ban Ki-Moon et de la secrétaire d'Etat américaine Hillary Clinton. La rencontre de mardi aura lieu sept mois après celle organisée à Londres (Grande-Bretagne), lors de laquelle la communauté internationale avait réaffirmé son soutien au gouvernement afghan. Dimanche, selon l'APS, un journal britannique avait rapporté qu'un projet de déclaration avait été envoyé à des diplomates de haut rang samedi dernier par le représentant spécial de l'ONU en Afghanistan, Staffan de Mistura. Dans ce document, les puissances étrangères ont décidé de poursuivre, pendant la période de transition, leurs efforts "de renforcement de la sécurité et continueront à entraîner, équiper et financer les forces armées afghanes", avait indiqué le quotidien The Independent. La rencontre de mardi aura lieu sept mois après celle organisée à Londres (Grande Bretagne), lors de laquelle la communauté internationale avait réaffirmé son soutien au gouvernement afghan. Pour concrétiser ce soutien, le gouvernement britannique a annoncé dimanche une hausse de 40% de son aide au développement de l'Afghanistan, qui passera des 500 millions de livres (592 millions d'euros) prévus, à 700 millions sur les quatre prochaines années. Dans un entretien accordé dimanche à la chaîne de télévision ABC, le vice-président américain Joe Biden a estimé qu'il était "trop tôt" pour évaluer si des progrès ont été effectués en Afghanistan, où les forces internationales doivent atteindre prochainement les 150 mille soldats. M. Biden a également qualifié de "début d'une transition" la décision du président Barack Obama d'imposer le début du retrait des troupes américaines en juillet 2011. Il par ailleurs tenu à assurer que des "progrès considérables" ont été réalisés par les forces internationales dans leur lutte contre les rebelles talibans en Afghanistan. La situation sécuritaire reste toujours détériorée en Afghanistan, secoué ces trois derniers jours par des attentats meurtriers qui ont fait plus de trente morts, des civils et des soldats.