Les bureaux de vote ont ouvert portes vendredi matin au Burundi pour les élections législatives boycottées par l'opposition. L'opération a débuté peu après 6h00 (4h00 GMT) avec quelques petits retards "mais dans la plupart des bureaux de vote, tout se passe bien", a indiqué à la presse le commissaire chargé de la communication au sein de la commission électorale nationale indépendante, Prosper Ntahorwamiye. Hormis le parti Uprona, les principaux partis d'opposition ont maintenu le boycott entamé lors de la présidentielle du 28 juin qui a vu la réélection du président Pierre Nkurunziza, seul candidat en lice, évoquant de graves irrégularités dans le précédent scrutin communal de fin mai. Selon un porte-parole de l'armée, Gaspard Baratuza, les mesures de sécurité ont été renforcées sur l'ensemble du pays après l'attentat commis en Ouganda il y a quelques jours, revendiqué par les rebelles somaliens "shebab". Ce scrutin législatif se tient après les élections présidentielle du 28 juin dernier, et communales organisées le 24 mai, dont les résultats ont été vivement contestés par l'opposition, qui a dénoncé "des fraudes massives". Les bureaux de vote ont ouvert portes vendredi matin au Burundi pour les élections législatives boycottées par l'opposition. L'opération a débuté peu après 6h00 (4h00 GMT) avec quelques petits retards "mais dans la plupart des bureaux de vote, tout se passe bien", a indiqué à la presse le commissaire chargé de la communication au sein de la commission électorale nationale indépendante, Prosper Ntahorwamiye. Hormis le parti Uprona, les principaux partis d'opposition ont maintenu le boycott entamé lors de la présidentielle du 28 juin qui a vu la réélection du président Pierre Nkurunziza, seul candidat en lice, évoquant de graves irrégularités dans le précédent scrutin communal de fin mai. Selon un porte-parole de l'armée, Gaspard Baratuza, les mesures de sécurité ont été renforcées sur l'ensemble du pays après l'attentat commis en Ouganda il y a quelques jours, revendiqué par les rebelles somaliens "shebab". Ce scrutin législatif se tient après les élections présidentielle du 28 juin dernier, et communales organisées le 24 mai, dont les résultats ont été vivement contestés par l'opposition, qui a dénoncé "des fraudes massives".