Les centaines d'éleveurs de cheptel ovin, bovin et poulets dans la localité de Baraki se réjouissent d'apprendre que dans quelques jours ils pourront enfin bénéficier de quantités appréciables d'aliments indispensables à la continuité de leur profession. La disponibilité de ces aliments intervient suite l'achat par l'Onab de vingt mille tonnes de maïs, destinées à l'alimentation animale. Actuellement les aliments sont bien vendus dans quelques espaces de vente de la Mitidja, mais à des prix plus chers que ceux appliqués avant 2007. Les éleveurs se plaignent de la rareté de ces produits et en cas de disponibilité qu'ils leur soient proposés à des prix exhorbitants Au fait, la pénurie d'aliments de bétail et de volaille, qui persiste depuis plusieurs semaines, se traduit par l'augmentation à plus de trois mille dinars le quintal, et elle se répercute de surcroît sur le prix des viandes rouges et blanches qui sont bien au dessus du pouvoir d'achat des familles déjà bien érodé. En dépit d'une bonne récolte, estimée à plusieurs millions d'orge indispensable à l'alimentation ovine, l'importation d'autres aliments pour bovin et volaille demeure inévitable afin de renforcer l'alimentation animale qui, selon certains éleveurs, risquerait de subir de fâcheuses conséquences si la flambée des prix des aliments persiste après l'été. C'est pourquoi les cadres de l'Onab ont eu recours à la multiplication des quantités d'aliments en vue de réduire l'impact de la spéculation et ce, en dépit de la tendance haussière des prix de maïs par exemple, qui est à 160 dollars sur les marchés mondiaux. Toutefois, pour atténuer la facture lourde de l'importation, on opte, cette fois-ci, pour le maïs provenant des Etats-Unis et d'Amérique latine. Les arguments de l'Onab se focalisent sur la bonne qualité de produits de ladite provenance. Certains spécialistes appréhendent la persistance de la hausse des prix pour de longues semaines encore et de ce fait préconisent le recours au fourrage localement produit. Les centaines d'éleveurs de cheptel ovin, bovin et poulets dans la localité de Baraki se réjouissent d'apprendre que dans quelques jours ils pourront enfin bénéficier de quantités appréciables d'aliments indispensables à la continuité de leur profession. La disponibilité de ces aliments intervient suite l'achat par l'Onab de vingt mille tonnes de maïs, destinées à l'alimentation animale. Actuellement les aliments sont bien vendus dans quelques espaces de vente de la Mitidja, mais à des prix plus chers que ceux appliqués avant 2007. Les éleveurs se plaignent de la rareté de ces produits et en cas de disponibilité qu'ils leur soient proposés à des prix exhorbitants Au fait, la pénurie d'aliments de bétail et de volaille, qui persiste depuis plusieurs semaines, se traduit par l'augmentation à plus de trois mille dinars le quintal, et elle se répercute de surcroît sur le prix des viandes rouges et blanches qui sont bien au dessus du pouvoir d'achat des familles déjà bien érodé. En dépit d'une bonne récolte, estimée à plusieurs millions d'orge indispensable à l'alimentation ovine, l'importation d'autres aliments pour bovin et volaille demeure inévitable afin de renforcer l'alimentation animale qui, selon certains éleveurs, risquerait de subir de fâcheuses conséquences si la flambée des prix des aliments persiste après l'été. C'est pourquoi les cadres de l'Onab ont eu recours à la multiplication des quantités d'aliments en vue de réduire l'impact de la spéculation et ce, en dépit de la tendance haussière des prix de maïs par exemple, qui est à 160 dollars sur les marchés mondiaux. Toutefois, pour atténuer la facture lourde de l'importation, on opte, cette fois-ci, pour le maïs provenant des Etats-Unis et d'Amérique latine. Les arguments de l'Onab se focalisent sur la bonne qualité de produits de ladite provenance. Certains spécialistes appréhendent la persistance de la hausse des prix pour de longues semaines encore et de ce fait préconisent le recours au fourrage localement produit.