L'exportation de la datte algérienne connaît, ces derniers temps, un certain boom, en ce sens qu'elle se classe parmi les produits agroalimentaires les plus commercialisés sur le marché international, en rapportant plus de 20 millions de dollars chaque année. L'exportation de la datte algérienne connaît, ces derniers temps, un certain boom, en ce sens qu'elle se classe parmi les produits agroalimentaires les plus commercialisés sur le marché international, en rapportant plus de 20 millions de dollars chaque année. Entre 2010 et 2014, l'Algérie envisage de multiplier par cinq les quantités de dattes destinées pour le marché extérieur, notamment européen où la datte ‘'Deglet Nour'' est bien prisée, aussi bien par notre communauté émigrée que par les consommateurs des pays de l'Union européenne, lesquels apprécient bien d'ailleurs les primeurs et les agrumes provenant d'Algérie. Pour Salim Haddoud, producteur de dattes à Tolga (plus large superficie de palmeraies, wilaya de Biskra) et président du Comité interprofessionnel de la datte, «l'atteinte de cet ambitieux objectif et la réalisation de ces performances doivent être accompagnées, cependant, par l'amélioration de la chaîne logistique et, surtout, les moyens de transport, condition sine qua non de voire le volume d'exportation de datte quintupler en l'espace de 4 à 5 années». L'exportation de la datte algérienne connaît, ces derniers temps, un certain boom, en ce sens qu'elle se classe parmi les produits agroalimentaires les plus commercialisés sur le marché international, en rapportant plus de 20 millions de dollars chaque année, sachant que ‘'Deglet Nour'' est, de loin, la meilleure datte au niveau du Maghreb et même sur la place extérieure et ce, même si les quantités exportées demeurent, bien entendu, insuffisantes par rapport aux capacités productives du pays. Avec 12 mille tonnes commercialisées sur le marché extérieur en 2009 (soit 2% de sa production globale qui est de l'ordre de 600 mille tonnes), la production de datte algérienne pourrait avoir une percée fulgurante dans les années à venir dans la mesure où le ministère de l'Agriculture et du Développement rural a pris, récemment, un certain nombre de mesures et de décisions destinées à stimuler et encourager davantage la production de ‘'Deglet Nour', notamment avec les directives et les orientations du ministre Rachid Benaîssa, dont la devise consiste à toujours produire plus pour mieux exporter. En 2014, l'exportation de datte pourrait rapporter environ 100 millions de dollars au pays. Cette démarche pour les dattes va dans le même sens que pour ce qui concerne la production d'orge où l'Algérie est devenue un pays exportateur (notamment vers la Tunisie) de ce produit, après avoir dégagé un important excédent de production en 2010. Haddoud nous a précisé que le succès des opérations d'exportation de datte passe inéluctablement par les bonnes conditions de travail du producteur, en passant par l'emballage et le conditionnement, ainsi que le transport.Appréciant bien la datte délicieuse, calorifique et énergétique de la datte algérienne, de nombreux investisseurs hollandais, et même l'ambassadeur des Pays-Bas à Alger, ont montré leur souhait de voir ‘'Deglet Nour'' vendue massivement en Hollande. L'agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex) et le programme d'aide aux entreprises à l'exportation, Optimexport, multiplient les démarches et les rencontres entre les professionnels de la filière datte afin de les orienter et les assister dans leurs activités exportatrices, et justement, l'entreprise de dattes de Salim Haddoud et frères est sélectionnée pour bénéficier des programmes d'expertise et de formation d'Optimexport. Quant à la Cagex (Compagnie de garantie des exportations), elle s'implique davantage en termes de promotion de l'assurance des produits à l'exportation et de la gestion des risques. Le ‘'couloir vert'' mis en place récemment a pour objectif essentiel de faciliter la tâche des exportateurs potentiels, notamment en matière administrative et de dédouanement des marchandises à l‘embarquement. Entre 2010 et 2014, l'Algérie envisage de multiplier par cinq les quantités de dattes destinées pour le marché extérieur, notamment européen où la datte ‘'Deglet Nour'' est bien prisée, aussi bien par notre communauté émigrée que par les consommateurs des pays de l'Union européenne, lesquels apprécient bien d'ailleurs les primeurs et les agrumes provenant d'Algérie. Pour Salim Haddoud, producteur de dattes à Tolga (plus large superficie de palmeraies, wilaya de Biskra) et président du Comité interprofessionnel de la datte, «l'atteinte de cet ambitieux objectif et la réalisation de ces performances doivent être accompagnées, cependant, par l'amélioration de la chaîne logistique et, surtout, les moyens de transport, condition sine qua non de voire le volume d'exportation de datte quintupler en l'espace de 4 à 5 années». L'exportation de la datte algérienne connaît, ces derniers temps, un certain boom, en ce sens qu'elle se classe parmi les produits agroalimentaires les plus commercialisés sur le marché international, en rapportant plus de 20 millions de dollars chaque année, sachant que ‘'Deglet Nour'' est, de loin, la meilleure datte au niveau du Maghreb et même sur la place extérieure et ce, même si les quantités exportées demeurent, bien entendu, insuffisantes par rapport aux capacités productives du pays. Avec 12 mille tonnes commercialisées sur le marché extérieur en 2009 (soit 2% de sa production globale qui est de l'ordre de 600 mille tonnes), la production de datte algérienne pourrait avoir une percée fulgurante dans les années à venir dans la mesure où le ministère de l'Agriculture et du Développement rural a pris, récemment, un certain nombre de mesures et de décisions destinées à stimuler et encourager davantage la production de ‘'Deglet Nour', notamment avec les directives et les orientations du ministre Rachid Benaîssa, dont la devise consiste à toujours produire plus pour mieux exporter. En 2014, l'exportation de datte pourrait rapporter environ 100 millions de dollars au pays. Cette démarche pour les dattes va dans le même sens que pour ce qui concerne la production d'orge où l'Algérie est devenue un pays exportateur (notamment vers la Tunisie) de ce produit, après avoir dégagé un important excédent de production en 2010. Haddoud nous a précisé que le succès des opérations d'exportation de datte passe inéluctablement par les bonnes conditions de travail du producteur, en passant par l'emballage et le conditionnement, ainsi que le transport.Appréciant bien la datte délicieuse, calorifique et énergétique de la datte algérienne, de nombreux investisseurs hollandais, et même l'ambassadeur des Pays-Bas à Alger, ont montré leur souhait de voir ‘'Deglet Nour'' vendue massivement en Hollande. L'agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex) et le programme d'aide aux entreprises à l'exportation, Optimexport, multiplient les démarches et les rencontres entre les professionnels de la filière datte afin de les orienter et les assister dans leurs activités exportatrices, et justement, l'entreprise de dattes de Salim Haddoud et frères est sélectionnée pour bénéficier des programmes d'expertise et de formation d'Optimexport. Quant à la Cagex (Compagnie de garantie des exportations), elle s'implique davantage en termes de promotion de l'assurance des produits à l'exportation et de la gestion des risques. Le ‘'couloir vert'' mis en place récemment a pour objectif essentiel de faciliter la tâche des exportateurs potentiels, notamment en matière administrative et de dédouanement des marchandises à l‘embarquement.