Passés les premiers jours du mois de Ramadan marqués par les engouements habituels autour des étals des marchés des fruits et légumes, la deuxième quinzaine met à épreuves les bourses des parents des exigences de l'habillement pour enfant en perspective de l'Aïd. C'est ainsi qu'après une éprouvante première quinzaine marquée par des pics inhabituels de la viande blanche mais aussi ceux des prix des fruits et légumes pour le cas de certains produits, l'épreuve de l'Aïd s'annonce aussi précoce mais redoutable pour les bourses fragiles. «Autant habiller ses enfants avant l'heure, afin d'éviter les désagréments de dernière minute», semblent s'accorder à dire les parents pour meubler les dernières soirées du mois sacré. Depuis le quinzième jour du mois sacré, les magasins d'habillement sont carrément pris d'assaut par des familles entières. Tantôt c'est la qualité des prix qui est dissuasive pour les parents dont l'objectif demeure avant tout de vêtir leur progéniture de la tête aux pieds, tantôt c'est la qualité des effets vestimentaires proposée « made in » qui est à l'origine du réflexe fort embarrassant, celui d'accomplir une mission qui s'inscrit bien dans le rituel.«Naguère on se souciait moins du choix de l'habillement des enfants », témoignent les parents pour qui le marché actuel n'offre guère d'opportunités aux bonnes affaires sur le plan de la qualité-prix s'entend. C'est le quartier principal de la cité « Dallas », plus à l'Est de la ville qui accueille l'engouement des foules. Il s'agit d'un ensemble de boutiques égayées par les lumières et les enseignes qui attirent le plus de circulation automobile aux premières heures de la soirée. Pour les riverains, c'est le moment fort de la journée tant attendu par les commerçants car la matinée et l'après midi sous le soleil de plomb du mois d'août rendent la cité presque inerte. Au cours de l'après midi, mis à par la virée incontournable des jeûneurs du côté du marché des fruits et légumes ce sont les quelques grappes humaines qui sont observées autour des étals de la confiserie traditionnelle « Zalabia ». Une alternative de « tuer » le temps à quelques heures de la rupture du jeûne. Au moment de l'appel du muezzin, les rues sont quasi-désertes mis à part quelques commerces ambulants tenus par des jeunes qui préfèrent veiller devant la marchandise exposée tout en assurant une relève, le temps de goûter à la soupe du resto d'à côté. Car le retour de l'animation de la ville est précoce et les premiers arrivants ne tardent pas à occuper les cafés en attendant la grande foule de la soirée, composées essentiellement de familles qui effectuent le devoir d'habiller leurs enfants. Une ronde compacte qui durera au-delà de minuit. Passés les premiers jours du mois de Ramadan marqués par les engouements habituels autour des étals des marchés des fruits et légumes, la deuxième quinzaine met à épreuves les bourses des parents des exigences de l'habillement pour enfant en perspective de l'Aïd. C'est ainsi qu'après une éprouvante première quinzaine marquée par des pics inhabituels de la viande blanche mais aussi ceux des prix des fruits et légumes pour le cas de certains produits, l'épreuve de l'Aïd s'annonce aussi précoce mais redoutable pour les bourses fragiles. «Autant habiller ses enfants avant l'heure, afin d'éviter les désagréments de dernière minute», semblent s'accorder à dire les parents pour meubler les dernières soirées du mois sacré. Depuis le quinzième jour du mois sacré, les magasins d'habillement sont carrément pris d'assaut par des familles entières. Tantôt c'est la qualité des prix qui est dissuasive pour les parents dont l'objectif demeure avant tout de vêtir leur progéniture de la tête aux pieds, tantôt c'est la qualité des effets vestimentaires proposée « made in » qui est à l'origine du réflexe fort embarrassant, celui d'accomplir une mission qui s'inscrit bien dans le rituel.«Naguère on se souciait moins du choix de l'habillement des enfants », témoignent les parents pour qui le marché actuel n'offre guère d'opportunités aux bonnes affaires sur le plan de la qualité-prix s'entend. C'est le quartier principal de la cité « Dallas », plus à l'Est de la ville qui accueille l'engouement des foules. Il s'agit d'un ensemble de boutiques égayées par les lumières et les enseignes qui attirent le plus de circulation automobile aux premières heures de la soirée. Pour les riverains, c'est le moment fort de la journée tant attendu par les commerçants car la matinée et l'après midi sous le soleil de plomb du mois d'août rendent la cité presque inerte. Au cours de l'après midi, mis à par la virée incontournable des jeûneurs du côté du marché des fruits et légumes ce sont les quelques grappes humaines qui sont observées autour des étals de la confiserie traditionnelle « Zalabia ». Une alternative de « tuer » le temps à quelques heures de la rupture du jeûne. Au moment de l'appel du muezzin, les rues sont quasi-désertes mis à part quelques commerces ambulants tenus par des jeunes qui préfèrent veiller devant la marchandise exposée tout en assurant une relève, le temps de goûter à la soupe du resto d'à côté. Car le retour de l'animation de la ville est précoce et les premiers arrivants ne tardent pas à occuper les cafés en attendant la grande foule de la soirée, composées essentiellement de familles qui effectuent le devoir d'habiller leurs enfants. Une ronde compacte qui durera au-delà de minuit.