À Annaba, la 4e ville du pays, dont le taux de criminalité n'a cessé ces dernières années à l'instar des autres grandes agglomérations, de grimper selon les statistiques publiées périodiquement par les services de sécurité (police et gendarmerie), de nombreux et importants projets de logistique pour le corps de la police ont été livrés ou seront réceptionnés pour l'année 2010. Ces infrastructures sont destinés selon le 1er responsable de la sûreté de wilaya, à renforcer le potentiel opérationnel de différents services de la police dans le cadre de ses missions de protection des biens et des personnes y compris la lutte contre le trafic des stupéfiants "un véritable fléau qui commence sérieusement à menacé la société annabie est le trafic de drogue" à maintes reprises tiré la sonnette d'alarme la presse. Ainsi l'on notera donc, le projet de construction d'un pôle à vocation agricole de lutte contre le trafic des stups dans la daïra d'El Hadjar et dont les travaux accusent une avancée considérable en termes de réalisation. Doté d'une enveloppe de 76 millions de dinars, ce projet prévoit également, outre les services opérationnels de répression des différents trafics de drogue, un service de laboratoire pour les nécessités d'analyses des stupéfiants saisis. «Ce service contribuera à l'éradication du trafic de drogue sur une importante zone géographique. C'est un dispositif à cible régional si Annaba est désignée comme sa base opérationnelle au hasard, tout a été étudié» estime un officier de la brigade. Il est sans doute utile, dans ce cas, de rappeler que selon les résultats d'une étude diffusée récemment et menée pour le compte d'un organisme affilié à l'Onu, sur le degré de confirmation de drogue dans les grandes villes d'Algérie, Annaba a eu le triste privilège d'être classée 2e après Oran dans ce sinistre palmarès. Pour renforcer son potentiel d'intervention, la police vient d'acquérir aussi une nouvelle sûreté urbaine implantée au pôle universitaire d'El Bouni. La proximité avec ce méga-campus est tout à fait significative des préoccupation des pouvoir publics en direction du milieu estudiantin, des stups à préserver des ravages de, la drogue. À Annaba, la 4e ville du pays, dont le taux de criminalité n'a cessé ces dernières années à l'instar des autres grandes agglomérations, de grimper selon les statistiques publiées périodiquement par les services de sécurité (police et gendarmerie), de nombreux et importants projets de logistique pour le corps de la police ont été livrés ou seront réceptionnés pour l'année 2010. Ces infrastructures sont destinés selon le 1er responsable de la sûreté de wilaya, à renforcer le potentiel opérationnel de différents services de la police dans le cadre de ses missions de protection des biens et des personnes y compris la lutte contre le trafic des stupéfiants "un véritable fléau qui commence sérieusement à menacé la société annabie est le trafic de drogue" à maintes reprises tiré la sonnette d'alarme la presse. Ainsi l'on notera donc, le projet de construction d'un pôle à vocation agricole de lutte contre le trafic des stups dans la daïra d'El Hadjar et dont les travaux accusent une avancée considérable en termes de réalisation. Doté d'une enveloppe de 76 millions de dinars, ce projet prévoit également, outre les services opérationnels de répression des différents trafics de drogue, un service de laboratoire pour les nécessités d'analyses des stupéfiants saisis. «Ce service contribuera à l'éradication du trafic de drogue sur une importante zone géographique. C'est un dispositif à cible régional si Annaba est désignée comme sa base opérationnelle au hasard, tout a été étudié» estime un officier de la brigade. Il est sans doute utile, dans ce cas, de rappeler que selon les résultats d'une étude diffusée récemment et menée pour le compte d'un organisme affilié à l'Onu, sur le degré de confirmation de drogue dans les grandes villes d'Algérie, Annaba a eu le triste privilège d'être classée 2e après Oran dans ce sinistre palmarès. Pour renforcer son potentiel d'intervention, la police vient d'acquérir aussi une nouvelle sûreté urbaine implantée au pôle universitaire d'El Bouni. La proximité avec ce méga-campus est tout à fait significative des préoccupation des pouvoir publics en direction du milieu estudiantin, des stups à préserver des ravages de, la drogue.