Il n'y a pas plus douloureux de se voir impuissant devant la souffrance d'un malade. Un malade algérien qui voit contrairement à des millions d'autres dans le monde, sa chance de guérison donc de vie baissée. La personne atteinte de cancer dans notre pays à l'instar de tous ceux atteints de maladies chroniques, comptent les jours de leurs vies attachées à ces soins médiocres qu'on présente aujourd'hui mais aussi à la rupture récurrente des médicaments vitaux. Les malades déplorent une dégradation inacceptable de leur prise en charge, en raison des pannes répétitives dans les soins de radiothérapie et des ruptures perpétuelles des produits anticancéreux vitaux. La mauvaise gestion fausse tout dans notre pays puisque les moyens existent sachant que plus de 50 % du budget des hôpitaux sont destinés aux pathologies cancéreuses mais, sur le terrain, la réalité est malheureusement tout autre. Cela sans parler des perturbations sans précédent touchant les services de radiothérapie qui sont presque tous en panne et souvent en même temps, ce qu pénalise fortement les malades notamment aux centre anticancéreux d'Oran où vont des milliers de malades atteints de cancer de toute la région ouest du pays. Face aux pannes et la surcharge, les malades se retrouvent avec des rendez-vous trop éloignés. Ainsi les malades qui ne sont pas passés par la radiothérapie sont repris en catastrophe pour une autre cure de chimiothérapie et ce, afin de réduire les dégâts causés par la maladie. Ce sont souvent des malades qui sont repris en état de récidive, métastasés ou, pis, qui ne reviennent plus pour cause de décès. Les pouvoirs publics doivent intervenir et mettre fin au drame que vivent les malades cancéreux. Il faut que les pouvoirs publics sachent aujourd'hui que cinq centres de radiothérapie à travers le pays est un nombre insuffisant. Sachant qu'aujourd'hui dans notre pays nombreux sont les médecins désespérés par les moyens existants conseillent à leurs malades d'aller faire la radiothérapie en Tunisie, un pays voisins qui s'est éloigné de nous en matière de soins, d'accueil et de prise en charge. Nos responsables doivent aujourd'hui revoir sérieusement dans ce dossier, trouver des solutions et réagir rapidement pour sauver ces vies. Et ces milliers de malades démunis qui meurent chaque jours deux fois, une par la douleur et la souffrance de la maladie et la deuxième par la négligence des autorités concernées. Il n'y a pas plus douloureux de se voir impuissant devant la souffrance d'un malade. Un malade algérien qui voit contrairement à des millions d'autres dans le monde, sa chance de guérison donc de vie baissée. La personne atteinte de cancer dans notre pays à l'instar de tous ceux atteints de maladies chroniques, comptent les jours de leurs vies attachées à ces soins médiocres qu'on présente aujourd'hui mais aussi à la rupture récurrente des médicaments vitaux. Les malades déplorent une dégradation inacceptable de leur prise en charge, en raison des pannes répétitives dans les soins de radiothérapie et des ruptures perpétuelles des produits anticancéreux vitaux. La mauvaise gestion fausse tout dans notre pays puisque les moyens existent sachant que plus de 50 % du budget des hôpitaux sont destinés aux pathologies cancéreuses mais, sur le terrain, la réalité est malheureusement tout autre. Cela sans parler des perturbations sans précédent touchant les services de radiothérapie qui sont presque tous en panne et souvent en même temps, ce qu pénalise fortement les malades notamment aux centre anticancéreux d'Oran où vont des milliers de malades atteints de cancer de toute la région ouest du pays. Face aux pannes et la surcharge, les malades se retrouvent avec des rendez-vous trop éloignés. Ainsi les malades qui ne sont pas passés par la radiothérapie sont repris en catastrophe pour une autre cure de chimiothérapie et ce, afin de réduire les dégâts causés par la maladie. Ce sont souvent des malades qui sont repris en état de récidive, métastasés ou, pis, qui ne reviennent plus pour cause de décès. Les pouvoirs publics doivent intervenir et mettre fin au drame que vivent les malades cancéreux. Il faut que les pouvoirs publics sachent aujourd'hui que cinq centres de radiothérapie à travers le pays est un nombre insuffisant. Sachant qu'aujourd'hui dans notre pays nombreux sont les médecins désespérés par les moyens existants conseillent à leurs malades d'aller faire la radiothérapie en Tunisie, un pays voisins qui s'est éloigné de nous en matière de soins, d'accueil et de prise en charge. Nos responsables doivent aujourd'hui revoir sérieusement dans ce dossier, trouver des solutions et réagir rapidement pour sauver ces vies. Et ces milliers de malades démunis qui meurent chaque jours deux fois, une par la douleur et la souffrance de la maladie et la deuxième par la négligence des autorités concernées.