Silvio Berlusconi a affiché, hier, sa confiance dans la capacité de son gouvernement à obtenir la majorité au Parlement et écarté l'éventualité d'élections anticipées. Le président du Conseil a lié l'avenir de sa coalition de droite à l'adoption d'une série de textes de lois sur lesquels il demande un vote de confiance. Mais les dissensions apparus entre Berlusconi et son ancien allié Gianfranco Fini, qui peut compter sur l'appui de 34 députés et dix sénateurs, signifient que le gouvernement ne peut plus compter sur une majorité automatique au parlement. "Il serait impardonnable que pour des raisons d'intérêt purement personnel, ce soutien soit réduit et qu'on trahisse au passage le mandat et la confiance des électeurs", écrit Berlusconi dans un message à ses partisans mis en ligne sur le site internet de son Parti de la liberté. "Si cela devait se produire, nous nous retournerions vers les électeurs qui sauraient à qui donner leur voix. Mais je suis sûr que cela ne se produira pas", poursuit-il. L'avenir du cabinet italien est l'objet de spéculations incessantes depuis l'été et la rupture consommée, fin juillet, entre Berlusconi et Fini, président de la Chambre des députés et cofondateur du Parti de la liberté. APS Silvio Berlusconi a affiché, hier, sa confiance dans la capacité de son gouvernement à obtenir la majorité au Parlement et écarté l'éventualité d'élections anticipées. Le président du Conseil a lié l'avenir de sa coalition de droite à l'adoption d'une série de textes de lois sur lesquels il demande un vote de confiance. Mais les dissensions apparus entre Berlusconi et son ancien allié Gianfranco Fini, qui peut compter sur l'appui de 34 députés et dix sénateurs, signifient que le gouvernement ne peut plus compter sur une majorité automatique au parlement. "Il serait impardonnable que pour des raisons d'intérêt purement personnel, ce soutien soit réduit et qu'on trahisse au passage le mandat et la confiance des électeurs", écrit Berlusconi dans un message à ses partisans mis en ligne sur le site internet de son Parti de la liberté. "Si cela devait se produire, nous nous retournerions vers les électeurs qui sauraient à qui donner leur voix. Mais je suis sûr que cela ne se produira pas", poursuit-il. L'avenir du cabinet italien est l'objet de spéculations incessantes depuis l'été et la rupture consommée, fin juillet, entre Berlusconi et Fini, président de la Chambre des députés et cofondateur du Parti de la liberté. APS