Le mouvement de grève déclenché le 5 du mois en cours par les intendants de l'éducation n'a pas eu d'écho à Constantine. La raison de cette totale défection trouve son explication dans l'«absence de représentants syndicaux » de ce secteur ; le mandat du bureau existant ayant déjà expiré. Il aura fallu, donc, réélire une nouvelle structure pour pouvoir rejoindre la Coordination nationale des personnels de l'intendance dans son mouvement de revendications. En référence aux déclarations du bureau de wilaya fraîchement installé, lors d'une conférence de presse organisée la semaine dernière, les travailleurs de cette branche viendront renforcer les rangs de l'action protestataire à partir du 13 de ce mois, soit le premier jour de la rentrée scolaire et réitérer l'attachement aux doléances brandies, dont celles relatives au régime indemnitaire d'expérience pédagogique et de l'indemnité de documentation pédagogique. L'exclusion des gestionnaires de l'éducation du régime indemnitaire des corps communs a contraint ces derniers à recourir au débrayage, ultime voie pour faire valoir leurs droits. Une action qui serait, en principe, soutenue par la tenue de rassemblement hebdomadaire devant la Direction de l'éducation de chaque wilaya. A Constantine, les conditions de travail de ces gestionnaires ne sont pas toujours idoines, selon certaines déclarations. L'on citera, dans la foulée, l'exemple du transport des fonds. «90% des établissements ne disposent pas de véhicules affectés à cette tâche», sera-t-il soutenu. A partir d'aujourd'hui, le cours de la gestion dans les établissements scolaires sera fortement perturbé. Première conséquence, la distribution de la prime de scolarité qui concerne les élèves nécessiteux. Elle sera tout simplement gelée, pénalisant ainsi des milliers de bénéficiaires. Le mouvement de grève déclenché le 5 du mois en cours par les intendants de l'éducation n'a pas eu d'écho à Constantine. La raison de cette totale défection trouve son explication dans l'«absence de représentants syndicaux » de ce secteur ; le mandat du bureau existant ayant déjà expiré. Il aura fallu, donc, réélire une nouvelle structure pour pouvoir rejoindre la Coordination nationale des personnels de l'intendance dans son mouvement de revendications. En référence aux déclarations du bureau de wilaya fraîchement installé, lors d'une conférence de presse organisée la semaine dernière, les travailleurs de cette branche viendront renforcer les rangs de l'action protestataire à partir du 13 de ce mois, soit le premier jour de la rentrée scolaire et réitérer l'attachement aux doléances brandies, dont celles relatives au régime indemnitaire d'expérience pédagogique et de l'indemnité de documentation pédagogique. L'exclusion des gestionnaires de l'éducation du régime indemnitaire des corps communs a contraint ces derniers à recourir au débrayage, ultime voie pour faire valoir leurs droits. Une action qui serait, en principe, soutenue par la tenue de rassemblement hebdomadaire devant la Direction de l'éducation de chaque wilaya. A Constantine, les conditions de travail de ces gestionnaires ne sont pas toujours idoines, selon certaines déclarations. L'on citera, dans la foulée, l'exemple du transport des fonds. «90% des établissements ne disposent pas de véhicules affectés à cette tâche», sera-t-il soutenu. A partir d'aujourd'hui, le cours de la gestion dans les établissements scolaires sera fortement perturbé. Première conséquence, la distribution de la prime de scolarité qui concerne les élèves nécessiteux. Elle sera tout simplement gelée, pénalisant ainsi des milliers de bénéficiaires.