La première mondiale du spectacle Nya a été donnée, samedi soir, au Théâtre national algérien (TNA). Les danseurs ont joué une chorégraphie de danse contemporaine signée Sofiane Abou Lagraâ, danseur et chorégraphe émérite de renommée mondiale. La première mondiale du spectacle Nya a été donnée, samedi soir, au Théâtre national algérien (TNA). Les danseurs ont joué une chorégraphie de danse contemporaine signée Sofiane Abou Lagraâ, danseur et chorégraphe émérite de renommée mondiale. Après avoir débuté les préparatifs depuis le mois de juin dernier, ils sont fins prêts, à en juger par le spectacle, qui a duré près d'une heure de temps. Le public, qui a admiré la chorégraphie, était présent en force et n'a cessé d'applaudir les jeunes danseurs à chacun de leur mouvement. Le spectacle Nya, qui a été conçu pour une première apparition en première mondiale, de la cellule de danse contemporaine, s'est déroulé en deux parties, accompagnées de chants de Houria Aïchi ainsi que du fameux Boléro de Ravel. «L'idée de produire ce spectacle, qui un projet ambitieux, et d'investir dans les jeunes danseurs algérien m'a effleuré à la clôture du festival panafricain en 2009», a déclaré Sofiane Abou Lagraâ au début du spectacle. Et d'ajouter : «C'est de là que j'ai décidé de présenter le projet à Mme la ministre de la Culture qui l'a accueilli à bras ouverts.» Avant de poursuivre qu'«entreprendre ce projet en Algérie, dans mon pays, est la concrétisation de tous mes rêves».Ce projet d'introduire cet art, jusque-là, méconnu, ou du moins non pratiqué en Algérie, a été initié en collaboration avec le ministère de la Culture. En janvier dernier, le casting national a regroupé environ 400 jeunes lauréats de toutes les régions du pays, a-t-on précisé. Après sélection des candidats, ils ont été une douzaine de danseurs à être retenus. Ces derniers ont alors pu bénéficier d'une formation intensive en danse contemporaine, classique et en yoga, assuré également par Nawal Abou Lagraâ, qui est une danseuse de renom et pédagogue, en sus d'autres professionnels du métier. La création de cette cellule de danse contemporaine au sein du Ballet national algérien a été vivement accueillie, rappelons-le, notamment par les artistes, en premier lieu les danseurs. Par ailleurs, le projet en question entre dans le cadre de la mise en place d'un pont culturel méditerranéen dont l'objectif premier consiste à développer cet art, explique-t-on. Il s'agit, entre autres, d'un programme triennal algéro-français qui s'articule autour de la compagnie La Baraka. Celle-ci a été créée par Sofiane Abou Lagraâ en 1997 à Lyon. D'ailleurs, a-t-on souligné, la troupe se rendra à Lyon dans les prochains jours où, annonce-t-on, sera à la biennale de danse contemporaine de cette même ville. Nya entamera par la suite une tournée européenne, où elle présentera son spectacle chorégraphique. Après avoir débuté les préparatifs depuis le mois de juin dernier, ils sont fins prêts, à en juger par le spectacle, qui a duré près d'une heure de temps. Le public, qui a admiré la chorégraphie, était présent en force et n'a cessé d'applaudir les jeunes danseurs à chacun de leur mouvement. Le spectacle Nya, qui a été conçu pour une première apparition en première mondiale, de la cellule de danse contemporaine, s'est déroulé en deux parties, accompagnées de chants de Houria Aïchi ainsi que du fameux Boléro de Ravel. «L'idée de produire ce spectacle, qui un projet ambitieux, et d'investir dans les jeunes danseurs algérien m'a effleuré à la clôture du festival panafricain en 2009», a déclaré Sofiane Abou Lagraâ au début du spectacle. Et d'ajouter : «C'est de là que j'ai décidé de présenter le projet à Mme la ministre de la Culture qui l'a accueilli à bras ouverts.» Avant de poursuivre qu'«entreprendre ce projet en Algérie, dans mon pays, est la concrétisation de tous mes rêves».Ce projet d'introduire cet art, jusque-là, méconnu, ou du moins non pratiqué en Algérie, a été initié en collaboration avec le ministère de la Culture. En janvier dernier, le casting national a regroupé environ 400 jeunes lauréats de toutes les régions du pays, a-t-on précisé. Après sélection des candidats, ils ont été une douzaine de danseurs à être retenus. Ces derniers ont alors pu bénéficier d'une formation intensive en danse contemporaine, classique et en yoga, assuré également par Nawal Abou Lagraâ, qui est une danseuse de renom et pédagogue, en sus d'autres professionnels du métier. La création de cette cellule de danse contemporaine au sein du Ballet national algérien a été vivement accueillie, rappelons-le, notamment par les artistes, en premier lieu les danseurs. Par ailleurs, le projet en question entre dans le cadre de la mise en place d'un pont culturel méditerranéen dont l'objectif premier consiste à développer cet art, explique-t-on. Il s'agit, entre autres, d'un programme triennal algéro-français qui s'articule autour de la compagnie La Baraka. Celle-ci a été créée par Sofiane Abou Lagraâ en 1997 à Lyon. D'ailleurs, a-t-on souligné, la troupe se rendra à Lyon dans les prochains jours où, annonce-t-on, sera à la biennale de danse contemporaine de cette même ville. Nya entamera par la suite une tournée européenne, où elle présentera son spectacle chorégraphique.