Le peuple sahraoui organise des manifestations pour réclamer et faire valoir son droit à l'autodétermination. Ces manifestations sont pacifiques et n'ont nullement trait à une quelconque violence, a estimé Said Ayachi, coordinateur des préparations de la conférence internationale à Alger, lors d'une conférence de presse tenue hier au siège du CNASPS. Cette conférence, qui regroupera entre 250 et 300 participants, dont 120 étrangers issus de différentes sphères, diplomatiques, parlementaires, universitaires et société civile, aura pour thème «Le droit des peuples à la résistance : le cas du peuple sahraoui», les 25 et 26 septembre. « Nous allons dire haut le droit du peuple sahraoui à résister pacifiquement en vue de faire valoir ses revendications », a soutenu M. Ayachi. Et d'ajouter : « Nous visons, par l'organisation de cette conférence internationale, dénoncer encore une fois les positions de la France et de l'Espagne qui bloquent tout le processus du conflit ». Il sera question, également, a-t-il affirmé, d'unir les voix des participants afin de dénoncer les violations des droits de l'Homme par le régime marocain dans les territoires occupés, ainsi que la spoliation des ressources naturelles du Sahara occidental. A travers cette participation massive, le Comité national algérien de soutien au peuple sahraoui (CNASPS), et les participants à cette rencontre, envisagent d'interpeller l'Union européenne (UE), quant à sa double position vis-à-vis du conflit au Sahara occidental, a-t-on expliqué. Le représentant de l'Union des juristes sahraoui, pour sa part, a affirmé que « ce sera l'occasion, avec la journée de la paix, de rappeler au monde qu'il n'y a pas de paix en Afrique du moment que le Sahara occidental est encore sous occupation ». Au moment où 14 nouveaux détenus ont entamé une grève de la faim, a-t-il dit, notre objectif premier est d'attirer l'attention des autres peuples et de leur communiquer le message d'un peuple qui souffre le martyr. Deux thèmes sont prévus lors de la conférence, qui sera tenue en plénières, à savoir «Le soutien au droit du peuple sahraoui à l'autodétermination» et «Solidarité avec la résistance sahraouie et dénonciation des violations systématiques des droits de l'Homme par l'occupant marocain». Environ 70 activistes sahraouis militants des droits de l'Homme sont attendus à cette conférence. Une délégation viendra des territoires occupés, a-t-on indiqué. A ce sujet, l'ambassadeur de la République arabe sahraoui démocratique (RASD), a affirmé ne pas exclure que les autorités coloniales marocaines s'en prennent aux membres de la délégation. La conférence sera sanctionnée par une déclaration finale qui sera élaborée par l'ensemble des participants, a-t-on ajouté. Le peuple sahraoui organise des manifestations pour réclamer et faire valoir son droit à l'autodétermination. Ces manifestations sont pacifiques et n'ont nullement trait à une quelconque violence, a estimé Said Ayachi, coordinateur des préparations de la conférence internationale à Alger, lors d'une conférence de presse tenue hier au siège du CNASPS. Cette conférence, qui regroupera entre 250 et 300 participants, dont 120 étrangers issus de différentes sphères, diplomatiques, parlementaires, universitaires et société civile, aura pour thème «Le droit des peuples à la résistance : le cas du peuple sahraoui», les 25 et 26 septembre. « Nous allons dire haut le droit du peuple sahraoui à résister pacifiquement en vue de faire valoir ses revendications », a soutenu M. Ayachi. Et d'ajouter : « Nous visons, par l'organisation de cette conférence internationale, dénoncer encore une fois les positions de la France et de l'Espagne qui bloquent tout le processus du conflit ». Il sera question, également, a-t-il affirmé, d'unir les voix des participants afin de dénoncer les violations des droits de l'Homme par le régime marocain dans les territoires occupés, ainsi que la spoliation des ressources naturelles du Sahara occidental. A travers cette participation massive, le Comité national algérien de soutien au peuple sahraoui (CNASPS), et les participants à cette rencontre, envisagent d'interpeller l'Union européenne (UE), quant à sa double position vis-à-vis du conflit au Sahara occidental, a-t-on expliqué. Le représentant de l'Union des juristes sahraoui, pour sa part, a affirmé que « ce sera l'occasion, avec la journée de la paix, de rappeler au monde qu'il n'y a pas de paix en Afrique du moment que le Sahara occidental est encore sous occupation ». Au moment où 14 nouveaux détenus ont entamé une grève de la faim, a-t-il dit, notre objectif premier est d'attirer l'attention des autres peuples et de leur communiquer le message d'un peuple qui souffre le martyr. Deux thèmes sont prévus lors de la conférence, qui sera tenue en plénières, à savoir «Le soutien au droit du peuple sahraoui à l'autodétermination» et «Solidarité avec la résistance sahraouie et dénonciation des violations systématiques des droits de l'Homme par l'occupant marocain». Environ 70 activistes sahraouis militants des droits de l'Homme sont attendus à cette conférence. Une délégation viendra des territoires occupés, a-t-on indiqué. A ce sujet, l'ambassadeur de la République arabe sahraoui démocratique (RASD), a affirmé ne pas exclure que les autorités coloniales marocaines s'en prennent aux membres de la délégation. La conférence sera sanctionnée par une déclaration finale qui sera élaborée par l'ensemble des participants, a-t-on ajouté.