Condamnés dans la majorité des cas à ne plus recouvrer leurs facultés, de nombreux malades ont été complètement guéris et ont repris une vie normale et réintégrer même la vie active nonobstant des coûts élevés qui ne sont pas à la portée de tout le monde. Condamnés dans la majorité des cas à ne plus recouvrer leurs facultés, de nombreux malades ont été complètement guéris et ont repris une vie normale et réintégrer même la vie active nonobstant des coûts élevés qui ne sont pas à la portée de tout le monde. C'est sous l'impulsion de l'éminent spécialiste ORL le professeur Abdelrahmane Saidia, ex-DG du CHU remplacé à ce poste récemment par son confrère le professeur Bachtarzi, que la technique des implants cochléaires a pris son essor en Algérie à l'hôpital Dorban à Annaba, reconnaît-on, à l'unanimité, aujourd'hui. Cette technique, maîtrisée à 100% par les praticiens algériens, a permis à des centaines de patients opérés à Annaba aux services ORL de l'hôpital Dorban de retrouver leurs facultés d'entendre et de parler dans les meilleurs délais de rétablissement. "Plus de 300 implants ont été jusqu'à ce jour pratiqués avec succès au niveau de l'hôpital Dorban sur des patients de tout âge, affirme-t-on à la direction de cet établissement hospitalier devenu leader en la matière à l'échelle nationale. Cette prise en charge médicale onéreuse en termes de coûts, eu égard aux spécificités du plateau médical et des équipements mobilisés, tourne au tour de plus d'une centaine de milliards, selon les premières estimations. "Ce sont des opérations très sophistiquées qui nécessitent un savoir-faire et une technicité très pointus", affirme un cadre de la direction du CHU Ibn Rochd qui connaît bien le dossier des implants cochléaires. "Les établissements privés ne pratiquent pas ce genre d'opérations. Au niveau d'Annaba, la demande existe mais les coûts sont dissuasifs", explique-t-il. Quasi condamnés dans la majorité des cas à ne plus recouvrer leurs facultés, de nombreux malades ont été complètement guéris et ont repris une vie normale et ont pu même réintégrer la vie active, confirme le Dr. Draouat, responsable au niveau de la ligue des malades. "J'étais désespéré pour le cas de mon fils âgé de 9 ans, témoigne Dahlab Saïd, chauffeur de taxi. Mais après l'opération exécutée au niveau de Dorban et dirigée par le professeur Saïdia en personne, mon fils Hacène a retrouvé miraculeusement l'usage de la parole et de l'ouïe. J'étais très méfiant au début, mais grâce à Dieu, mon fils est redevenu comme tous les autres. Il n'est plus un handicapé." En dépit des charges financières lourdes générées par ce service public spécialisé, les pouvoirs publics, eu égard à la demande, l'hôpital Dorban accueille les patients issus de plusieurs wilayas, notamment celles limitrophes, comme Guelma et El Taref. Les autorités concernées envisagent accroître la capacité opératoire de Dorban par un nouvel investissement conséquent pour 1011. C'est sous l'impulsion de l'éminent spécialiste ORL le professeur Abdelrahmane Saidia, ex-DG du CHU remplacé à ce poste récemment par son confrère le professeur Bachtarzi, que la technique des implants cochléaires a pris son essor en Algérie à l'hôpital Dorban à Annaba, reconnaît-on, à l'unanimité, aujourd'hui. Cette technique, maîtrisée à 100% par les praticiens algériens, a permis à des centaines de patients opérés à Annaba aux services ORL de l'hôpital Dorban de retrouver leurs facultés d'entendre et de parler dans les meilleurs délais de rétablissement. "Plus de 300 implants ont été jusqu'à ce jour pratiqués avec succès au niveau de l'hôpital Dorban sur des patients de tout âge, affirme-t-on à la direction de cet établissement hospitalier devenu leader en la matière à l'échelle nationale. Cette prise en charge médicale onéreuse en termes de coûts, eu égard aux spécificités du plateau médical et des équipements mobilisés, tourne au tour de plus d'une centaine de milliards, selon les premières estimations. "Ce sont des opérations très sophistiquées qui nécessitent un savoir-faire et une technicité très pointus", affirme un cadre de la direction du CHU Ibn Rochd qui connaît bien le dossier des implants cochléaires. "Les établissements privés ne pratiquent pas ce genre d'opérations. Au niveau d'Annaba, la demande existe mais les coûts sont dissuasifs", explique-t-il. Quasi condamnés dans la majorité des cas à ne plus recouvrer leurs facultés, de nombreux malades ont été complètement guéris et ont repris une vie normale et ont pu même réintégrer la vie active, confirme le Dr. Draouat, responsable au niveau de la ligue des malades. "J'étais désespéré pour le cas de mon fils âgé de 9 ans, témoigne Dahlab Saïd, chauffeur de taxi. Mais après l'opération exécutée au niveau de Dorban et dirigée par le professeur Saïdia en personne, mon fils Hacène a retrouvé miraculeusement l'usage de la parole et de l'ouïe. J'étais très méfiant au début, mais grâce à Dieu, mon fils est redevenu comme tous les autres. Il n'est plus un handicapé." En dépit des charges financières lourdes générées par ce service public spécialisé, les pouvoirs publics, eu égard à la demande, l'hôpital Dorban accueille les patients issus de plusieurs wilayas, notamment celles limitrophes, comme Guelma et El Taref. Les autorités concernées envisagent accroître la capacité opératoire de Dorban par un nouvel investissement conséquent pour 1011.