Tous les clignotants du port de Djendjen sont au vert ces derniers mois. Et pour preuve, cette infrastructure portuaire a enregistré depuis octobre 2009, date de sa spécialisation dans la réception de tous types de véhicules, une augmentation de son activité de plus de 45%. Son chiffre d'affaires est passé, lui aussi, à plus de 100% se réjouit son P-dg, Mohamed Atmane, lors de l'émission Idaates de la radio locale de Jijel. La bonne santé financière actuelle de l'entreprise et les chiffres encourageants permettront de rembourser la dette, contractée auprès de la Banque Africaine de Développement (BAD), s'élevant à quelque 200 milliards de centimes, a souligné ce responsable. Il est clair que la décision des pouvoirs publics de faire décharger les véhicules au port de Djendjen, avec pas moins de « 190 mille réceptionnés en douze mois », est pour beaucoup dans ce regain de l'activité portuaire Le P-dg du port a précisé, par ailleurs, que « 95% des véhicules réceptionnés depuis une année en Algérie, ont transité par Djendjen, au sein duquel opèrent 25 concessionnaires ». Cette dynamique n'a pas été sans conséquence sur l'emploi au sein de l'entreprise, avec le recensement de 1000 agents journaliers et 600 autres permanents, sans parler, bien entendu, des emplois indirects générés. Interrogé sur la question des projets d'investissement en vue, Mohamed Atmane, a laissé entendre que, son entreprise «compte investir à l'avenir 25 milliards de centimes par an pour se doter de nouveaux équipements modernes, à même de donner un nouveau souffle au port de Djendjen». Le projet du terminal à containeurs sur un terrain de 78 hectares, le rétrécissement de la passe d'entrée et l'extension de la jetée Nord, figurent parmi les priorités des responsables du port. Néanmoins, le P-dg de l'entreprise n'a pas omis de souligner, sur les ondes de la radio, les difficultés auxquelles fait face le port aujourd'hui. La saturation des 20 hectares de terre-plein, dégagé à l'intérieur du port pour accueillir le trafic de véhicules, n'est plus en mesure de répondre aujourd'hui à une demande sans cesse croissante, quand on sait qu'un cars-carriers arrive parfois avec 6.500 véhicules, entre légers et lourds. A partir de là, « des contacts ont été entrepris avec les opérateurs concernés pour qu'ils trouvent des espaces d'entreposage à l'extérieur de l'enceinte portuaire », a indiqué le P-dg. Quant à la question de la concrétisation du contrat de concession d'un quai de 200 mètres linéaires, signé en novembre 2008, entre le port de Djendjen et l'entreprise émiratie DPW, pour servir de terminal à containeurs, là Mohamed Atmane n'est pas allé par quatre chemins, pour parler de problèmes endogènes et exogènes qui ont mis un frein à un lourd investissement. La crise économique mondiale est passée par là. Tous les clignotants du port de Djendjen sont au vert ces derniers mois. Et pour preuve, cette infrastructure portuaire a enregistré depuis octobre 2009, date de sa spécialisation dans la réception de tous types de véhicules, une augmentation de son activité de plus de 45%. Son chiffre d'affaires est passé, lui aussi, à plus de 100% se réjouit son P-dg, Mohamed Atmane, lors de l'émission Idaates de la radio locale de Jijel. La bonne santé financière actuelle de l'entreprise et les chiffres encourageants permettront de rembourser la dette, contractée auprès de la Banque Africaine de Développement (BAD), s'élevant à quelque 200 milliards de centimes, a souligné ce responsable. Il est clair que la décision des pouvoirs publics de faire décharger les véhicules au port de Djendjen, avec pas moins de « 190 mille réceptionnés en douze mois », est pour beaucoup dans ce regain de l'activité portuaire Le P-dg du port a précisé, par ailleurs, que « 95% des véhicules réceptionnés depuis une année en Algérie, ont transité par Djendjen, au sein duquel opèrent 25 concessionnaires ». Cette dynamique n'a pas été sans conséquence sur l'emploi au sein de l'entreprise, avec le recensement de 1000 agents journaliers et 600 autres permanents, sans parler, bien entendu, des emplois indirects générés. Interrogé sur la question des projets d'investissement en vue, Mohamed Atmane, a laissé entendre que, son entreprise «compte investir à l'avenir 25 milliards de centimes par an pour se doter de nouveaux équipements modernes, à même de donner un nouveau souffle au port de Djendjen». Le projet du terminal à containeurs sur un terrain de 78 hectares, le rétrécissement de la passe d'entrée et l'extension de la jetée Nord, figurent parmi les priorités des responsables du port. Néanmoins, le P-dg de l'entreprise n'a pas omis de souligner, sur les ondes de la radio, les difficultés auxquelles fait face le port aujourd'hui. La saturation des 20 hectares de terre-plein, dégagé à l'intérieur du port pour accueillir le trafic de véhicules, n'est plus en mesure de répondre aujourd'hui à une demande sans cesse croissante, quand on sait qu'un cars-carriers arrive parfois avec 6.500 véhicules, entre légers et lourds. A partir de là, « des contacts ont été entrepris avec les opérateurs concernés pour qu'ils trouvent des espaces d'entreposage à l'extérieur de l'enceinte portuaire », a indiqué le P-dg. Quant à la question de la concrétisation du contrat de concession d'un quai de 200 mètres linéaires, signé en novembre 2008, entre le port de Djendjen et l'entreprise émiratie DPW, pour servir de terminal à containeurs, là Mohamed Atmane n'est pas allé par quatre chemins, pour parler de problèmes endogènes et exogènes qui ont mis un frein à un lourd investissement. La crise économique mondiale est passée par là.