La cite des 700-Logements à Bentalha a accueilli les rescapés du massacre du 19 septembre 1997 perpétré par les hordes terroristes. Aujourd'hui et en dehors d'une amélioration notable de leurs conditions de vie tout n'est pas rose pour ces familles qui viennent de commémorer à la mémoire des deux mille victimes ce tragique évènement ayant marqué leur vie à jamais. En dépit du recasement d'une partie des familles des victimes dans de nouveaux appartements dans cette cité urbaine au sein de laquelle la plupart des chefs de famille sont ou handicapés ou chômeurs. Le chômage concerne en réalité la majorité des personnes en âge de travailler et de ce fait l'oisiveté et tous ses corollaires guette la couche juvénile souvent infligée par les fléaux que les services concernés s'efforcent de combattre sans répit. Même l'ouverture, en 2007, d'une annexe de l'Agence nationale de l'emploi, Anem, n'a réussi à absorber qu'un minime taux de ce chômage handicapant. La situation est loin d'être reluisante dans le reste de la localité qui a par ailleurs bénéficié de travaux d'embellissement qui donne à ces sites semi-ruraux un aspect pimpant mettant un peu de baume aux cœurs des familles. Cette localité abrite plus de trois mille habitants après le retour de la population qui l'avait déserté en 1997. Des projets de reconstruction ont été engagés dans différents aspects socio-économiques afin de permettre le retour progressif des centaines de familles réfugiées un peu partout dans les zones urbaines à forte concentration humaines et où elles ont végété depuis dans une insupportable précarité. En dépit de toutes les insuffisances qui minent leur quotidien les résidants de Bentalha s'estiment heureux d'avoir recouvrer des toits décents et de pouvoir jouir des commodités urbaines mises en place à leur profit. Leur souci premier reste pour le moment la prise en charge des jeunes et donc mettre fin à un chômage ravageur. La cite des 700-Logements à Bentalha a accueilli les rescapés du massacre du 19 septembre 1997 perpétré par les hordes terroristes. Aujourd'hui et en dehors d'une amélioration notable de leurs conditions de vie tout n'est pas rose pour ces familles qui viennent de commémorer à la mémoire des deux mille victimes ce tragique évènement ayant marqué leur vie à jamais. En dépit du recasement d'une partie des familles des victimes dans de nouveaux appartements dans cette cité urbaine au sein de laquelle la plupart des chefs de famille sont ou handicapés ou chômeurs. Le chômage concerne en réalité la majorité des personnes en âge de travailler et de ce fait l'oisiveté et tous ses corollaires guette la couche juvénile souvent infligée par les fléaux que les services concernés s'efforcent de combattre sans répit. Même l'ouverture, en 2007, d'une annexe de l'Agence nationale de l'emploi, Anem, n'a réussi à absorber qu'un minime taux de ce chômage handicapant. La situation est loin d'être reluisante dans le reste de la localité qui a par ailleurs bénéficié de travaux d'embellissement qui donne à ces sites semi-ruraux un aspect pimpant mettant un peu de baume aux cœurs des familles. Cette localité abrite plus de trois mille habitants après le retour de la population qui l'avait déserté en 1997. Des projets de reconstruction ont été engagés dans différents aspects socio-économiques afin de permettre le retour progressif des centaines de familles réfugiées un peu partout dans les zones urbaines à forte concentration humaines et où elles ont végété depuis dans une insupportable précarité. En dépit de toutes les insuffisances qui minent leur quotidien les résidants de Bentalha s'estiment heureux d'avoir recouvrer des toits décents et de pouvoir jouir des commodités urbaines mises en place à leur profit. Leur souci premier reste pour le moment la prise en charge des jeunes et donc mettre fin à un chômage ravageur.